Caton* mis dans nos âmes (?)
De la merde, je vous le dis.
L’avantage, c’est qu’elle ressort par un trou unique, sauf à pisser dans un violon, à en suer sang et eau, à cracher du glaviot, à pleurer toutes les armes du monde.
Mais voilà! avant que d’être expulsée, elle nourrit, la salaude. Et certains s’en repaissent avidement.
Ceux détournés par de vilains pédagogues — il y en a — en profitent même, s’ils parviennent à quelques succès, à instiller leur poison au plus grand nombre.
Ce sont là affaires d’hominidés langagiers qu’il nous faut cannibaliser afin de leur rendre leur forme d’étron putrescent, leur odeur nauséabonde et leur inconsistance.
* Caton (le vioc) est le prototype du connard fasciste, du politicien d’extrême-droite, au profil manipulateur paranoïaque.
Voir https://fr.wikipedia.org/wiki/Caton_l’Ancien
“À cette époque-là, au Sénat, il termine chacun de ses discours, quel qu’en soit le sujet, par ces mots : « Ceterum censeo Carthaginem esse delendam » (ce qui signifie : « En outre, je suis d’avis qu’il faut détruire Carthage ») ou, plus simplement, « Delenda est Carthago » (litt. « Carthage est à détruire ! »). Cette phrase le rend aussi très célèbre à Rome. Célèbre pour son éloquence et la force de persuasion de ses discours, il parvient à convaincre le Sénat de la nécessité de détruire Carthage en utilisant le fameux argument de la figue, cueillie à Carthage et encore fraîche malgré son voyage jusqu’à Rome, prouvant ainsi que Carthage n’est pas si éloignée que le pensent certains sénateurs.”