Comment se fait-il que je n’ai aucun rôle? Aucun rôle dans cette société d’humains pour la plupart aveugles d’esprit et fortement médiocres?
Qu’est donc cette grande cicatrice que j’ai sur le front, finalement bien visible, et maintenant encore plus avec la non repousse des cheveux, et dont je ne me souviens pas me l’être faite?
Comment se fait-il que l’on me refuse (temporairement j’espère) la psychanalyse dont j’ai hautement besoin, pour laquelle je sacrifie le peu de biens dont je jouis et qui m’est indispensable pour ma santé?
Il ne faudrait pas que je tienne un de ceux qui assument la responsabilité de ce confinement stupide – comme le démontre les rares personnes universitaires sensées – au risque de les tuer de coups, à mains nues. Défoncer le visage de ce président macron.
Pourtant je me doute bien que sa mère est certainement responsable de son idylle avec sa vieille prof de théâtre, elle-même probablement abusée par son père.
Va savoir.
Cependant, l’argent dont bénéficient ces gens-là a pu et continue de masquer la triste réalité de leurs vies. Et chacun aime cela.
Chacun a vécu la merde et, préférant ne jamais la voir, et sous prétexte d’avoir ceci ou cela, de pouvoir se défouler qui sur ses propres enfants, qui sur ses subalternes, qui sur “les autres” dont le caractère de différenciation est multiple, préfère s’arranger de l’insoutenable.
C’est intéressant, cela. Cet intérêt que je porte à la relation pédocriminelle à tendance incestueuse de manu macron et de brigitte trogneux.
Pas que leurs personnes m’intéressent; mais moi, que cela dit-il de moi? De ma relation avec mes salauds de parents, finalement.
On peut tout faire à un bébé, un nourrisson, un enfant.
C’est vrai que je lui défoncerais bien la gueule à cette petite merde de manu macron. Devoir obéir à un gosse dépourvu de conscience, motivé par l’unique désir de sa jouissance superficielle. Le mec décide de MA santé, avec les pouvoirs de la force publique… Hallucinant.
Je ne comprends pas comment ceux qui savent peuvent supporter tant de niaiserie de la part de ceux qui décident pour tous les autres.
Et puis, j’imagine tous les autres qui sont dans mon cas ou plus ou moins.
Il y a trop de pouvoir de certains sur tous les autres et l’organisation sociale de nos sociétés, il y a peu encore tolérable, les rend aujourd’hui terrifiantes, comme dans les pires scenarii de fiction.