On maudit les analystes qui se glissent dans le sale? 🙂
Tiens, je vais mettre quelques-unes de mes pages marquées ici:
“Lacan a pu écrire, à propos de Sándor Ferenczi, que c’était « l’auteur de la première génération le plus pertinent à questionner ce qui est requis de la personne du psychanalyste ». Mais on voit le paradoxe. Ce qui est requis de cette personne, c’est qu’elle s’efface comme personne.
Ne reste-t-il rien alors du sujet analyste ?”
in: https://www.cairn.info/revue-la-revue-lacanienne-2009-3-page-22.htm