Bah, d’un autre côté, quand ses propres géniteurs ainsi que tout un village se sont évertués à ne rien voir… Tiens je pense au suicide par fusil à pompe du fils du boulanger conseiller communal, aussi, tiens… Que de gens biens, ces Français, dirait ce connard de macron, comme il le fait en parlant d’un gros porc qui, en plus de ne plus pouvoir la voir, ne sait pas tenir sa queue.
Enfin bref. Un bon mois après une vraie grippe compliquée d’une pneumopathie (lobe supérieur droit) avérée à la radio, traitée 7 jours par amoxi… je n’ai plus de médecin traitant généraliste. Il est retourné dans son pays d’origine tellement la France l’a déçu, alors qu’elle avait été son rêve, étudiant…
Il a eu le temps de faire une ordo pour un pneumo (y’a un micro nodule)… mais le chu de Roanne exige qu’on apporte en mains propres les ordonnances AVANT de prendre RDV… Sûr que je vais faire 80 bornes pour qu’on me dise “ha ben non”…
le fameux TRI des patients si cher aux nazis et aux covidistes totalitaires et aux fadas de la T2A (tarification à l’acte).
Je vis dans un pays de merde, un pays du tiers-monde rempli de merde, dirigé par des crétins pervers à l’ouest, au regard vide et aux paroles délirantes.
Bon, il me reste quelques antibio strepto… c’est pas le top mais bon. J’aimerais bien ne plus cracher des glaviots de pus plein de sang.
J’aimerais bien ne plus avoir cette douleur thoraco postérieure droite (significatif d’une inflammation de la plèvre).
J’aimerais bien être moins qualifié qu’un putain de toubib en T2A qui voit que le bout de sa lorgnette via son esprit étriqué, sans jamais considérer le patient globalement (ha ben on n’a pas le temps, manque d’effectif! disent les fils de pute qui votent macron-hollande-sarko-etc qui laminent les services publics). Mais bordel de connards.
Je préfère crever chez moi, si je devais, que de crever dans la merde des couloirs des urgences, dans le stress et le brouhaha de la pisse de vieux et des personnels crétins, après une attente de 2 jours.
Sans dec’.
J’ai grandi sans confiance, me méfiant de chaque crasse qu’auraient pu me faire ceux qui auraient dû m’épauler et m’aider à me développer, jusqu’à en devenir paranoïde.
Je suis encore plus méfiant avec tous ces crétins qui se sont faits injectés et qui pour la plupart gobent toujours le délire jusqu’à ce qu’ils l’avalent de travers.
Plus aucune confiance.