Le pervers face à la création artistique

Face à la représentation de sa culpabilité, qu’il nie depuis tout petit, depuis qu’il a choisi de rester pervers (Freud〉, le pervers tente d’exercer un pouvoir qu’il n’a pas, celui de la loi même qu’il conteste dans sa totalité.
Le petit manu macron, dont chacun aimerait qu’il soit neutralisé définitivement, peu importe la méthode, croit encore tel l’enfant pervers qu’il est resté, qu’il a un quelconque pouvoir sur le monde, au nom de sa mère dont la responsabilité est totale, autant que de l’absence du père.
Tu n’obtiendras rien du côté de la justice concernant l’art et la liberté d’expression de la colère, petit manu. Le miroir te fait peur car il te renvoie ton vide.

Décapiter l’état de sa perversion afin de jouir, un temps, de son absence. Un temps; c’est déjà ça.

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