Les dits “réseaux sociaux”, instruments de l’ère numérique de domination mais également formidable outil de liens, que j’appelle les zo-zos, penchent souvent vers une sorte de morale numérique dictée par la fallaciosité des lois édictées par les dirigeants des sociétés humaines, nationales.
Grâce au réseau (fixe mais plus encore mobile), elles se propagent bien au-delà des frontières de ces états, ignorant ainsi les contextes culturels et anthropologiques. Les dirigeants, comme ceux des médias dont l’exemple français en est une perle, sont tous milliardaires et partagent la même hubris totalitaire.
Faire défaut, après quelques tentatives, à ces zo-zos, est une pause nécessaire qui s’avèrera peut-être ultime et définitive, je n’en sais rien encore.
L’outil ne peut et ne doit devenir le maître de celui qui l’utilise, c’est contre la “nature” même de la maîtrise (aussi vaine soit-elle). la maîtrise n’étant en rien comparable au pathologique contrôle, que justement ces totalitaires veulent imposer.
La part du vivant, même sous les coups violents et mortels de la débilité humaine, se doit de rester prépondérante, avec sa violence animale, son instinct court-circuitant toute pensée, et cependant source d’une certaine jouissance.