Pour faire plaisir à certains et les sortir doucement de leur déni, on pourrait parler de dictature sanitaire, en se basant sur le prétexte utilisé pour la mettre en place: un virus peu mortel mais assez contagieux.
Le pouvoir politique des (pseudo) démocraties occidentales des pays riches aurait dû être une façon de gérer la cité, les pays, par l’entremise de l’état: offrir aux populations la sûreté des services publics pour lesquels chacun à sa mesure contribue via les impôts et taxes; les hôpitaux, les assurances pécuniaires contre les aléas de la vie comme le chômage, les services de l’énergie utilisée avec parcimonie et conscience, le cadre de vie respectant la biosphère de l’humanité, des moyens de communications et de rencontre, etc.
L’hubris des dominants, couplé avec les avancées terribles de la science (le nucléaire) et l’élaboration d’un système de domination (le capitalisme) des masses par quelques nantis ont détruit totalement les visées de la cité humaine.
Les ressources sont pillées, polluées à les rendre mortelles et toxiques et donc inutilisables, les écosystèmes sont niés et exploités jusqu’à leur fin totale.
Sans respect de la vie partagée par tous sur une planète finie et irremplaçable, les catastrophes que l’on crée soi-même sont là.
2020 est la troisième année de sécheresse en France, les températures sont toutes largement plus chaudes que celles d’un climat tempéré. Le continent européen glisse doucement vers un climat tropical voire désertique.
Lorsqu’une moitié d’année sans pluie se termine, c’est par des pluies continues et diluviennes, suivies de tempêtes aux vents violents. Il ne neige quasiment plus en hiver ni ne pleut et si la neige devait revenir ce serait pour tomber en abondance et être nuisible, du moins pour les humains et le vivant qui leur est nécessaire.
L’hubris des dominants a trouvé mieux que quelques crimes sanglants pour détruire les dominés. Fini les clavaudes du terrorisme, mais on peut toujours saupoudrer pour faire remonter le niveau de peur et la bêtise des masses.
Non, c’est la peur de la mort suite à maladie que les dominants instaurent aujourd’hui comme axe de leurs dictatures.
La liberté des populations est restreinte pour être anéantie avec jouissance.
Un virus du rhume, de la grippe, même s’il est mortel pour les médicalement faibles comme ceux ayant déjà de graves maladies et les vieux, fait partie de la vie.
De la même façon que la mort, un virus microscopique ne s’éradique pas; ni avec un confinement idiot et non ciblé, ni avec des couvre-feux, ni avec des amendes.
Ces (pseudo) solutions sont les outils de la dictature et de la domination des hiérarchiquement puissants pour écraser et manipuler les masses.
Très peu de voix s’élèvent contre la marche forcée de l’humanité, ou plutôt des pays riches, vers une fin totale et inéluctable sous la férule des inconscients auxquels ils ont donné les pleins pouvoirs.