La dissociation est un phénomène de protection, une méthode de survie cérébrale.
Je dirais qu’elle est plus efficace que la décompensation, tout en étant également dangereuse.
La dissociation traduit cependant un état bien plus grave que les petits arrangements des névroses communes, soit, ennuyeuses, mais au final peu handicapantes.
La dissociation originale devient avec le temps moins efficace, elle est alors remplacée par des dissociations de substitution, telles que tous les comportements dits à risque, incluant toutes les formes de toxicomanies.
Alors que je m’en sortais péniblement grâce à l’analyse, que je menais le combat contre la domination que j’ai subie durant toute mon enfance, et que les principaux symptômes de dissociation tombaient un à un, voilà que la figure du crétin dominant est venu tout foutre en l’air, comme si le destin tragique s’acharnait.
Ce petit enculeur de mouches de macron, lui-même dominé par sa vioque (je me doute bien que leurs histoires familiales sont probablement terribles, mais bon, ils ne s’en portent justement que trop bien, grâce au déni, le leur et celui de toute la société humaine) s’amuse à jouer avec le monde tel le dictateur de Chaplin avec son ballon.
L’incurie des parents, des familles, baignées dans la pédagogie vénéneuse transmise depuis tant de générations, au point que quasiment personne ne s’en soucie ou trouve alors que finalement tout cela est rien moins que “normal”, est la cause de toutes les barrières non pas au bonheur, mais à une vie sereinement vécue.
La défiance est totale, plus personne ne s’aventure à aller aux urgences médicales puisque l’on ne sait même pas, en hexagonie, qui est malade, parce que la politique du test est absente. Quand bien même on saurait, la seule protection, des masques faciaux en papier, fait défaut.
Ce sont donc des manquements graves à la santé de la population qui vont s’accumuler, en plus des morts dus au virus, en plus de la faillite de l’économie mondiale.
Voilà ce que tous les dominants soi-disant élus démocratiquement donnent, du haut de leur milliards et conseils stupides, aux population humaines sans lesquelles ils ne sont rien d’autres que pathétiques pantins.
Leurs morts atroces ne changeraient rien à la terre brûlée qu’ils laissent déjà, chantres du néolibéralisme ubrique et de la bêtise la plus crasse.