S’il est un terme pléonasmatique de ce qu’est l’essence ontologique de la France ou des Français et Françaises en général, c’est bien la niaiserie.
Oh, il y en a bien quelques-uns qui se départissent de cet engluage, c’est certain (Branco, Sauron, Lacan, Dolto, et moi ^^ hihi).
Je m’efforce de trouver, par moult messages et autres polies démarches, des modèles photographiques.
Bien sûr, il y a des déconvenues. Merde! Il n’y a QUE des déconvenues 🙁
Quelques jeunes foutrasses se permettent même de me dire qu’un blog n’est pas un book (en fransse il faut avoir un pseudo book sur une plate-forme de MERDE pour arriver à faire croire aux esprits couillons qu’il y a un brin de sérieux…).
Putaing! Ya vraiment des gourdasses niveau maternelle bac moins 500 et des crétins sans jugeote qui réclament un SIRET qu’ils sont infoutus (les salopards décérébrés) de trouver!
Ma patience n’a pourtant aucune limite, malgré les injures et le vocable peu choisi (?) que j’aime à employer.
Tout récemment, une jeune fraîchement arrivée dans le tout-petit-paris de la photo s’est même permise de remettre en doute ma culture punk.
Fausse féministe, probablement, qui doit voir dans le mot buzzcocks un outil de vibration sexuelle, au lieu d’un groupe d’étudiants en philo du nord de l’Angleterre qui a fait fureur à l’époque punk. Et ce n’est que l’un des plus connus.
J’en ai marre, les amis. Je vais sortir le tromblon et les coups vont partir pendant les nettoyages récurrents.
Ou tout simplement, je vais quitter ce pays de merde et ses connards de citoyens 🙂
Mon bien très cher 🙂
Un artiste, qui plus est photographe, qui aime à en mourir le groupe “The velvet underground” ne peut être qu’un violeur en puissance, sinon avéré, puisque ce nom signifie “le tunnel de velours” et est tiré d’un magazine porno!
Tout à vous! et bien du courage dans ce monde de courges pourries et dégoulinantes, qu’elles soient modèles ou photographes.