La collection publiée des “18 vues de Kyoto” est finalement complète avec la troisième et dernière série, “META”, dont le but sociologique devrait être évident aux yeux avertis (voir la mise à jour de la page concernant cette série photo-graphique sur le Japon).
Le nouveau catalogue 2017 incluant cette troisième et dernière série présente des versions web des photos sans leurs cadres ni leur cartouches adventices, mais pour s’en faire une idée, le précédent catalogue 2016 est toujours accessible.
Evidemment, ces œuvres sont toujours disponibles vu que tirées à deux exemplaires chacune, et malgré la vente de deux d’entre elles.
[pour ceux qui estiment que sur Instagram, c’est plusse mieux cool parce que c’est en HD, je leur dis que ce genre de plate-forme, sans rien apporter à ses contributeurs, s’enrichit à leurs dépens dans 99% des cas, et ça me pose un gros souci :)]
J’ajoute à cette aparté vindicative que le partage est avant tout un échange et pas une filouterie, a contrario de la logique normative des GAFA (google, apple, facebook, amazon, on peut en ajouter bien d’autres) et autres prétendants à la domination de l’humanité et à son esclavagisation (sic) volontaire.
Bref :).
La série originale est complétée par une série de 7 ‘variations’ qui feront l’objet d’une prochaine publication, en fonction de la lumière disponible en ces temps pollués atmosphériquement (re sic) et politiquement. Ces variations seront également mises en vente à un prix très raisonnable.
Il n’est pas exclu qu’une série inédite et privée vienne s’adjoindre aux “18 vues de Kyoto”, parce que d’une, c’est moi qui décide en tant que démiurge, et que deux, certains autres clichés le méritent grandement. De même, les deux artefacts prévus initialement sont en cours de création. Leurs prix risque d’être prohibitif.
En attendant, il est temps de s’atteler à d’autres aventures graphiques.