Le déni de la perversion, à la française, résume l’état piteux de la société humaine, particulièrement en hexagonie.
Un président macron qui est resté le pervers infantile qu’il a été, son épouse trogneux l’incestuelle absoute par la bourgeoisie crasse, et aujourd’hui un premier ministre dans un déni délirant de la réalité humaine.
Ces gens bénéficiant de la prescription bien commode instaurée par eux-mêmes ou leurs équivalents, tels l’incestueur duhamel olivier ou le pédocriminel matzneff —la liste est bien trop longue pour les citer tous— ne devraient avoir qu’une seule vision du futur: la taule.
L’hexagonie dans ses hautes sphères qui jonchent les caniveaux et les égouts est un ramassis de pourritures et de pervers sadiques et jouisseurs du malheur de tous, des enfants violés et torturés aux Palestiniens génocidés en appelant à la grandeur d’âme sans sourciller.
bayrou en taule
bayrou en taule
bayrou, c’est un peu l’endormisseur des citoyens, façon le scouarnec le pédocriminel… c’est sympa après les années de covidisme totalitaire. #confiance_dans_les toubibs_et_autres_”puissants” … 🙁
Buter sarkozy et tous ses sinistres, buter hollande et tous ses ministres, buter macron et tous ses ministres (y’en a plein! ouééé!).
Tous les buter puisque l’intérêt général ils chient dessus, eux, les sinistres, les sous-sinistres et tous les grand fonctionnaires qui n’en sont pas.
Epargner ceux qui ont encore quelque morale, au sens du bien général. Mais buter, éliminer physiquement, tuer, tous les autres qui s’empiffrent sur le dos des citoyens en leur faisant croire que “c’est pour leur bien” (lire Alice Miller). https://www.arte.tv/fr/videos/111769-000-A/etat-limite
On verra, pour ceux qui ont lu la littérature psychanalytique, que l’on est bien en deça de la réalité psychique, mais que la réalité clinique de l’hôpital public en France est terrible et qu’elle ne parviendra pas à rattraper le besoin de soin.
Terrible constat, terrible réalité. Ce sont les salauds putards qui doivent périr et non les malades, quand bien même les malades devraient.
Tout comme le surfeur d’argent qui annonce le cataclysme universel du mangeur de planètes, le niveau zéro de Todd est une façon de dire la perversion ultime, la perversion narcissique ou morale, telle que la décrivait Racamier au départ, qui dévore l’humanité ou ce qu’il en reste.
A cet(te) aulne (bien dru(e) 😉 ), les netanyounou ou macroneux, aussi bien que les trumpeux sont des égéries de cette folie perverse.
Bon, encore un article fort sympathique, mais qui tourne autour du pot de la perversion sans jamais la nommer sauf à lui donner d’autres noms:
Lis donc! damné Todd! Lis donc Racamier (et Jung et Freud, et tutti quanti!) et rends-toi compte que tu essayes de recréer ce qui existe déjà (hélas).
Mais si ton propos peut toucher quelques nez-d’-bœufs, alors okay ^^
… puisque ce sont de dociles et volontaires moutons!
“En 1948, un certain Clinton Rossiter théorise sans la moindre provocation la constitutional dictatorship : la vie des sociétés contemporaines est si fragile qu’il faut réserver la possibilité pour le gouvernement constitutionnel d’avoir recours à tout moment aux pouvoirs exceptionnels, donc à la dictature, pour résoudre les
problèmes urgents qui se présentent. C’est d’ailleurs ce que le Conseil d’État invitait en septembre 2021 le gouvernement français à assumer en lui suggérant d’élaborer « un cadre global, à la fois juridique et opérationnel, destiné à renforcer l’efficacité de l’action des pouvoirs publics confrontés à des crises majeures tout en préservant les principes républicains ». La dictature est depuis la Rome antique une institution républicaine. Quand une situation exceptionnelle exige des pouvoirs exceptionnels pour rétablir les conditions du fonctionnement social normal, on nomme un dictateur pour un temps donné. Ce qui caractérise la structure de la vie métropolitaine, c’est que cette situation est devenue constante, et avec elle le besoin de dictature.
Si bien que, en effet, lorsque nous dénonçons la « dictature sanitaire », seuls des aveugles qui ne connaissent rien à l’histoire peuvent dire que nous exagérons.
Nous sommes plutôt en deça de la vérité.
La métropole, c’est la dictature de la vulnérabilité.
La biopolitique, c’est la tyrannie de la faiblesse.”
« La différence entre une pensée vraie et un mensonge consiste dans le fait que le mensonge requiert logiquement un penseur et non la pensée vraie. Il n’y a besoin de personne pour concevoir la pensée vraie. […] Les seules pensées auxquelles un penseur est absolument nécessaire sont les mensonges. »
(Wilfred R. Bion, L’Attention et l’Interprétation, 1970)
Deux têtes de vainqueurs qui ne se cachent pas et qui veulent envoyer au chômage les graphistes (3D ou autres) avec l’aide de la (soi-disant) intelligence artificielle, afin que les patrons des boîtes de jeux vidéo s’en mettent encore plus plein les poches sans même bouger une couille.
C’est vraiment sympa l’idiocracy et les jeunes débiles qui la servent (je suis certain qu’ils ont plein d’arguments, mais comme dirait Didier Super dans une de ses chanson: “TA GUEULE”, j’ajouterai avec vulgarité “CONNARDS”)
Qu’est-ce que la jeunesse peut être conne parfois, au lieu d’être consciente de ce qu’elle a entre les mains…
J’espère que ces “génies” vont vite trouver comment créer du fric et de quoi manger “grâce à l’intelligence artificielle”… Si toutefois il reste des humains à qui cela pourrait servir, bien sûr.
Rien de paradoxal là-dedans. Commençons par une bibliographie qui, d’intuition, risque d’être bien maigre.
Une tentative d’explication de la violence des droitards et autres fascistes.
https://elucid.media/societe/la-connerie-a-pris-le-pouvoir-comprendre-le-cerveau-de-nos-elites
“Jacques Généreux est professeur d’économie, une matière qu’il enseigne depuis près de trente-cinq ans. Pourfendeur de longue date du néolibéralisme et de l’absurdité des politiques économiques menée depuis 30 ans, Jacques Généreux a écrit de nombreux ouvrages fondamentaux pour proposer une économie plus égalitaire et rationnelle. Face au refus de nos élites de mettre fin au sabotage de la France, il explore dans son dernier livre “Quand la connerie économique prend le pouvoir” une nouvelle thèse à la croisée entre l’économie et les sciences cognitives : celle de la bêtise.”
Benoît COQUARD est sociologue à l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae). Il travaille depuis plusieurs années sur les milieux ruraux et sur les classes populaires. Dans cette interview par Olivier Berruyer pour Élucid, Benoit Coquart lève le voile sur les fantasmes autour de ceux qui vivent dans les campagnes. Entre l’idée que ces citoyens incarnent « le vrai peuple oublié », et celle qui les condamne comme des « racistes » et des « ignorants », la réalité se révèle bien plus étonnante, et très loin de toutes les représentations médiatiques habituelles.
Comment la Ciivise a-t-elle pu voir le jour? Comme la “Commission Indépendante sur l’Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants” a-t-elle pu être créée sous ce qu’il faut bien appeler le règne d’un pervers narcissique de président de la République et de son épouse pédocriminelle incestuelle?
C’est peut-être bien là que se trouve l’origine de cette création qui n’aura vécu que trois ans (la Ciivise est aujourd’hui entachée de viol, de manipulation et d’humiliation perverse de la part de sa nouvelle présidente, une médecin aux mœurs pour le moins discutables en matière d’expertise traumatique, elle aime à refaire les gestes liés aux traumas sexuels…). Il est probable que ces organismes privés tels que mckinsey ou blackrock ou je-ne-sais-quoi encore aient été influencés, avec leur “ADN” à deux neurones, par l’histoire perverse du couple devenu présidentiel par leur truchement et un hasard triste.
Finalement, un couple pervers refusant la différence des générations, forniquant entre adulte et enfant, devenu plus bestial qu’humain (alors qu’aucun animal ne fornique avec ses petits…) et présidant à la destinée de 70 millions de personnes (les Français) est une source d’inspiration pour toute entité néo-libérale capitaliste ayant pour but de faire de l’argent et des écrans de fumée.
Peut-être était-ce là un écran de fumée que la Ciivise, pour ces idiots qui se prennent pour des cerveaux et qui servent qui un “état”, qui un “ami”, qui “une nation”, qui “un objet supérieur” tel les attali et autres pseudo cerveaux profiteurs de la misère des populeux pour continuer d’amasser richesses et vanités.
La folie aura donc quand même montré le juge Durand et sa parole impeccable à tous, alors que le totalitarisme, par ailleurs, devient la norme suite au covidisme, une nouvelle religion médico-totalitaire.
La plupart des citoyens, quelles que soient leur catégorie, sont devenus idiots. Médecins s’accrochant à leur statut mais devenus débiles (étymologiquement parlant), fonctionnant en mode automatique, aux ordres. Politicards pervers concourant pour le prix du plus pervers. Citoyens noyés et mourants dans un flot de stupidités déversées en continu sur les écrans dont bien peu savent se désasservir.
La sexualisation des enfants dès la naissance, dans le monde néo-libéral capitaliste des fous pervers, à destination de l’établissement d’un régime totalitaire décervelant mondial.
Le nœud pervers est à considérer parmi des individus adultes, bien qu’il trouve évidemment de précoces racines dans la période de la puberté.
La folie perverse, comme la définit Racamier, est l’état le plus maximal de la perversion narcissique qui ne s’applique dès lors plus à une cellule familiale ou de petite taille, mais à une échelle nationale ou supra-nationale. La puissance acquise par le pervers, qui se trouve ainsi à la tête de corps armés, et qui détient également la puissance administrative et donc de coercition sur les populations, est telle que la fuite vers la mort et le thanatos est inéluctable. Au mieux, dit Racamier, un échec politique cuisant (ou un deuil puissant, ajouterai-je) peut amener le fou pervers à la dépression et au suicide ( http://www.lornet-design.net/la-folie-narcissique-racamier/ ).
La perception par les populations de la folie narcissique diffère en raison de leur éducation et de leur instruction, mais peut se résumer à deux réactions notables: la colère et la violence, provoquées par les provocations et humiliations répétées du pervers (parfois jusqu’aux agirs mortels) ou la perversion sexuelle, dans le cas d’un bénéfice (une participation à la toute-puissance du pervers, une sorte d’appartenance à son ‘groupe’) et d’une personnalité plutôt névrotique.
Dans le premier cas, la réaction est négative, elle coûte (comme tout commerce avec un pervers d’ailleurs) à celui sous son emprise car personne n’aime conserver un sentiment de colère et une envie de violence trop longtemps. Or, les agirs du pervers sont incessants: la nature de sa folie demande qu’il aille chercher toujours plus loin, de façon plus humiliante voire débilitante, dans les recoins des âmes qu’il ne peut comprendre.
La colère ne semble pouvoir s’apaiser qu’avec la disparition du pervers, des agissements qu’il commettait et du champ de ses manipulations.
La réaction névrotique perverse sexuelle qui pourrait sembler plus positive, au moins à en juger par son acceptation sociale plus répandue, est cependant surtout une réaction perverse par nature. L’excitation produite par la domination du pervers engage ses acolytes ou collaborateurs ainsi que ses victimes-complices (voir Eiguer) à s’essayer à ce qui leur vient à l’esprit: l’utilisation du corps sexuel comme échappatoire inconsciente.
Il n’y a pas de mouvement de perversion narcissique qui irait d’un adulte pervers moral à un autre qui le deviendrait également. Racamier (voir ouvrage cité dans le lien supra) établit sans aucun doute la genèse de la perversion narcissique dans la période qualifiée d’antœdipe. On peut donc facilement faire coïncider la nature perverse choisie par un jeune enfant avec sa première décennie de vie, voire sa petite enfance.
Un pervers trouvera des collaborateurs eux aussi pervers ou compatibles, dont il profitera des failles existantes, mais il ne transformera pas la nature psychique des autres. Il la pervertira selon ses besoins et le terrain qu’il trouvera chez eux.
Dans le cas d’un chef d’état, le problème social que pose l’établissement d’un tel noyau pervers au sein d’un gouvernement réduit considérablement les moyens d’action pour réduire au maximum la capacité de nuisances d’un tel individu. La solution saine et évidente, l’évitement, la fuite, l’ostracisation (encore qu’il pourrait tirer jouissance d’un tel épisode) est impossible puisque la vie sociale est régie par la vie politique et les décisions, prises par le pouvoir… qui est au pouvoir.
Il y a également à déplorer la lenteur, l’inertie de la vie politique à l’heure d’une propagande totale et constante: la société thermo-nucléaire électrique du XXIe siècle nous permet d’être en contact avec le monde entier, en direct et à tous endroits. Il n’est que plus aisé pour ceux qui détiennent les canaux d’informations (aujourd’hui les grand groupes capitalistes néo-libéraux et les milliardaires) d’instiller dans les esprits connectés une sorte de virus mental en les occupant à autre chose qu’à la pensée critique.
Les populations étant plutôt saines concernant leur vie privée et intime autant que sexuelle, en majorité, la réaction perverse sexuelle est évacuée et il reste la réaction violente dont la seule issue semble la disparition de l’origine du mal, le pervers et son noyau constitué.