Archive for the ‘Photographie’ Category

Toute communication est totale illusion

jeudi, novembre 14th, 2019

Triptyque augmenté (2019)

mardi, novembre 12th, 2019

Le fameux triptyque de Bacon est privé de crucifixion. Qu’est-ce donc que je crucifie ici?

Krishnamurti me guide aimablement, bien que mort, en ce moment. Il est d’une grande aide à s’approcher de lui.
Il dit: la véritable paix est créatrice, donc destructrice.


Ci-dessous le texte initial devant accompagner cet article.

Voici donc l’expression de ma vulnérabilité, à la fois réponse à “L’origine de la guerre” d’Orlan, à “L’origine du monde” de Courbet et à tous leurs avatars -dont les miens font partie, évidemment.
[si je réponds à ma propre réponse, ça finit quand?]

Un des éléments du triptyque est donc intitulé “L’origine de la paix”, dans une sorte de sépia qui n’en est évidemment pas un.
L’élément fait de “off color material” est celui en violacé qui veut rappeler les procédés bizarroïdes de tirage argentique. Il est intitulé “No breed vanity”.
Ces deux clichés sont à la fois un hommage à Mapplethorpe, qui reprend ses amours picturaux, mais également une tentative spontanée d’exprimer mon propre ressenti (je n’avais pas connaissance de l’existence de Mapplethorpe il y a encore peu et ce n’est pas lui qui m’a montré la beauté des fleurs et des corps, des sexes).
Mapplethorpe n’est donc pas mon inspirateur (aspirateur?) mais un être photographe que je considère comme une sorte d’alter ego dans l’art.
C’est peut-être fort présomptueux (je sens bien les esprits chagrins qui pensent toutes ces bêtises), mais pour le coup, ses photos me sont proches dans ce qu’elles insinuent.
Il n’y a rien d’autre qu’une communauté de vision artistique, un quelque chose en soi commun, une sensibilité. Bien sûr, la provocation, aussi, mais qui vient seulement ensuite.

Je me fous de la cote de l’art et du marché, et j’adhère à ce que Romuald et PJ tournent en une simple question: “marché de l’art ou art du marché?”

Je pensais auto-censurer la vision directe de l’image en la cachant derrière un lien évocateur et de mise en garde. Finalement, non.
Il n’y a là qu’art et rien n’est répréhensible, pas plus du point de vue du droit que du point de vue médical (!).
Quand bien même la morale de certains serait choquée, qu’importe.

L’acte artistique permet la folie et la sublime et il est évident qu’à la manière d’Orlan, travailler son propre corps épargne de la souffrance de celui des autres.
De l’énergie gagnée.

La performance a duré le temps de la prise de vue, peu avant la clôture de l’exposition Arts Poncin 2019 donnée pour 19 heures.
Alors que déjà nombre d’artistes remballaient leurs œuvres, certains ayant eu la chance d’en vendre participant ainsi à la vie de l’association qui a permis l’exposition, j’ai substitué deux œuvres à deux autres afin de compléter le triptyque tout en l’augmentant d’une quatrième œuvre.

J’aime bien le terme d’ “augmenter”, il fait écho à ce qu’on appelle aujourd’hui l’humain augmenté, dans toute la bêtise du terme.

Nous ne sommes plus ni des hommes ni des femmes, mais des objets, des variables d’ajustement, des ressources.
Je dis non.

L’aspect symbolique est éradiqué des discours tout autant que l’aspect anatomique, physiologique, sans parler même de l’aspect psychologique.
Je dis non.

Irina

lundi, novembre 4th, 2019

Irina Ionesco déclare à propos de son travail de photographe :

“La photographie est pour moi un élément essentiellement poétique, je l’envisage comme une écriture théâtrale, où je fixe dans un déroulement obsessionnel et incessant tous mes fantasmes. Chaque séance, mise en scène, est conçue comme une séquence théâtrale, intègre la femme dans un univers de rêve, où elle-même est mythique, multiple, inventée, et revêt tour à tour les facettes des mille miroirs dans lesquels l’artiste se plonge. Je ne conçois l’érotisme qu’à travers une dimension métaphysique. J’aime l’excès, l’onirisme, l’insolite. Aussi, je fais mienne cette phrase de Baudelaire : “Dans l’art, il n’y a que le bizarre qui soit beau”.

https://irina-ionesco.com/biographie/

Je viens de voir “my little princess” de Eva Ionesco, la fille d’Irina, qui raconte une partie de sa vie, la vie de la fille de la célèbre photographe.
Gratuitement, il va sans dire puisqu’Internet permet un accès quasi total à ce que les simplets du système appellent la “culture” (en fait l’art). Bon, la plupart des gens n’utilisent le réseau que pour s’envoyer des messages dans un style papier hygiénique, m’enfin, ça, je n’y peux rien.
Je reste dubitatif face à l’écrit d’Irina (également dispo sur le web) et au film de sa fille.
Il est évident qu’Irina a développé un talent artistique certain, mais il semblerait que ce soit aux dépends de sa fille, pour compenser ce qu’elle-même avait subi étant plus jeune.

C’est terrible.
L’époque l’a permis.
Eva dit de sa mère qu’elle est le fruit d’un inceste.

Il semblerait que l’écriture soit plus à même d’être tolérée que l’image. L’image fait peur. Elle semble la réalité alors qu’elle n’est, tout autant que la peinture, qu’un pâle reflet d’une symbolique et d’un indicible.
Mais l’image est d’un accès instantané, inévitable.

Je n’excuse pas, ce faisant, l’attitude d’Irina, mais je la comprends. Elle a pu, à sa façon, blessante pour sa fille, soit, mais à sa façon, créer à partir de traumas.
Évidemment, combattre ou sublimer un trauma en en créant un autre, qui plus est sur une personne fragile et vulnérable, en profitant de son état, n’est pas souhaitable.

Mais comme le disait Paul Claudel, la résilience (resiliency qu’il ne parvenait pas à traduire) a surtout été un trait des Américains.

“En 1936, le Français Paul Claudel, alors ambassadeur à Washington, pouvait écrire à propos de la crise financière de 1929 : « Il y a dans le tempérament américain une qualité que l’on traduit là-bas par le mot resiliency, pour lequel je ne trouve pas en français de correspondant exact, car il unit les idées d’élasticité, de ressort, de ressource et de bonne humeur. […] Et si quelques financiers se jetaient par la fenêtre, je ne puis m’empêcher de croire que c’était dans l’espérance fallacieuse de rebondir » (Claudel, 1965, p. 1205).”
https://journals.openedition.org/sociologies/6633 ( La résilience comme attitude face au malheur : succès et usages des ouvrages de Boris Cyrulnik, Nicolas Marquis)

Voir également – comme il n’y a pas de hasard! –

Sublimation et résilience : Paul et Camille Claudel
Silke Schauder
Dans Bulletin de psychologie 2010/6 (Numéro 510), pages 445 à 448

https://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=BUPSY_510_0445

La seule chose qui vaille la peine dans toute l’humanité, ce sont les enfants et la liberté.

C’est facile à dire, mais voilà ce qui est dans la balance.
Et finalement Greta Thunberg est un très bon exemple, bien qu’utilisé par des adultes sans scrupules, de ce qu’est la conscience et la liberté.

https://www.telerama.fr/scenes/irina-ionesco-photographe-libre-mere-perverse,130438.php

https://next.liberation.fr/livres/2017/08/28/eva-ionesco-l-innocence-retrouvee_1592523

https://next.liberation.fr/culture/2010/07/22/eva-ionesco-tombee-des-nus_667609

L’impression de.

dimanche, novembre 3rd, 2019

Vous avez l’impression que c’est un peu taré, tout ça.
Mais vous ne savez pas quelle est la réalité et la souffrance de celui qui est vraiment entre deux mondes.
Bientôt je ferai un truc sur Ionesco, Hamilton, Carroll, etc. Des sujets extrêmement intéressants quand on outrepasse la pseudo bienséance.

Le tarif Banksy

jeudi, octobre 24th, 2019

Pour se moquer du prix que l’on donne à l’art, mais surtout de ce que les capitalistes appellent le “marché” de l’art, Banksy a vendu (bradé, diraient les inconscients) certaines de ses œuvres à des prix symboliques. C’était dans les rues de New-York, je crois.
Alors, on dira que le gamin a de quoi voir venir, et c’est très probable. Mais est-ce là ce qui compte VRAIMENT?

Pour le finissage de l’expo à Arts Poncin, je prépare donc une surprise.
Ce sera le dimanche 3 novembre, mais pas avant 16 heures, j’en ai bien peur 🙂

A bientôt! 😉

https://www.thedailybeast.com/banksys-biggest-trick-yet-selling-his-art-on-the-street-for-dollar60

 

 

Briefly

mercredi, octobre 23rd, 2019

En bref, parce que je suis fatigué, je mets les liens de ceux qui bossent beaucoup pour cette expo, artistes et organisateurs, et qui ravissent ceux qui y viennent.
Deux de mon triptyque y sont décelables, la troisième et première n’étant pas forcément discrète, dirons-nous, elle est passée à la trappe ^^.

Dossier de presse, vue générale:
https://artsponcin.com/artistes-presents-en-2019/reportage-1-2019/

Un peu d’égo et un aperçu pour ceux qui ne peuvent pas faire le déplacement (vous n’aurez pas la texture du papier et la sensation qu’elle procure):
https://artsponcin.com/artistes-presents-en-2019/lornet-francis/

Un très grand merci à Alain et à toute l’équipe d’Arts Poncin.

 

Different.

samedi, octobre 12th, 2019

Ce qui me ferait tuer…
Les connards avec le bras gauche pendant à la fenêtre de la portière, signe d’une crétinerie crasse; les enculé(e)s avec la main gauche à midi sur le volant -probablement que la main droite gratte une demi paires de couilles ou un vieux clito.
Les possesseurs de véhicules utilitaires de couleur blanche, jamais nettoyés.
Les saloperies qui ne savent pas respecter une priorité, quand bien même le code de la route est le plus simple du monde (c’est d’ailleurs pour cela qu’il est, dit-on, “universel”, c’est bien le seul). Bordel qu’il faut être un putain d’enculé de connard de fils de pute pour ne pas être capable de le respecter, bordel de foutre.

C’est, démocratisation de la bagnole faite, le meilleur moyen de se rendre compte qu’il est aisé pour un demi intello qui s’y croit (un politique, donc) de conduire un troupeau de blaireaux tels que tous ceux-là qui se croient capables de maîtriser un engin motorisé à une vitesse au moins cent fois plus rapide que celle à laquelle leur corps gras et gros, pataud, dépourvu du moindre réflexe cérébral ne pourrait jamais les propulser.

Et il faut se soumettre aux règles qui s’appliquent à ceux-là, bordel. C’est triste. Et c’est très heureux que je n’ai pas de progéniture, je ne saurais pas comment leur expliquer qu’ils existent.

PS: et si tu rajoutes à tout ça le bruit (des échappements libres) et l’odeur (du diesel des faux pauvres)… je t’explique pas le bordel environnemental que tu te prends dans la gueule, dans les oreilles et dans les poumons.

Exposition “Naked pictures of a disintegrated world” @ Art Poncin 2019

dimanche, octobre 6th, 2019

La prochaine exposition (vente bien sûr) d’une sélection d’œuvres des “Naked pictures of a disintegrated world” aura lieu lors de l’Art Poncin 2019 à Poncin dans l’Ain 🙂
Dates d’ouverture de la galerie comprenant les œuvres de 27 artistes de tous poils, dont F.H.P. Lornet:
Les vendredis, samedis, dimanches de 13 heures à 19 heures 18,19,20 octobre 2019, 25,26,27 octobre 2019, et 1,2,3 novembre 2019.

https://artsponcin.com/2019/06/27/arts-poncin-2019/

Rays

dimanche, septembre 29th, 2019

Exposition
« Naked pictures of a disintegrated world »

Création transitionnelle 2018/2019.

 

Il faut d’abord regarder l’image, se plonger dedans, et ensuite lire son titre, qui fait partie de l’œuvre.
C’est très important car c’est un livre.

A ce moment-là, révulsion ou contemplation font de vous, aussi, ce que vous êtes.

“La création artistique prend peu à peu la place des rêves ou les complète : elle est d’une importance vitale pour le bien-être de l’individu et par conséquent de l’humanité. ”
“Artists are people driven by the tension between the desire to communicate and the desire to hide.”

Donald Woods Winnicott.

 

Qu’est-ce que la photo, l’image, sinon un roman vu de l’intérieur, par son créateur?

Voici ce que je dis de moi, à travers mes appareils et ce que reflète la lumière. Les mots indispensables torturent les images et c’est bien comme cela qu’il faut faire.

Camille Claudel disait : « (…) c’est comme ça que je fais quand il m’arrive quelque chose de désagréable, je prends mon marteau et j’écrabouille un bonhomme. » alors qu’elle était déjà dans un état qui la mènerait aux tréfonds de la folie des hommes et de la famille, l’asile et l’enfermement.

Où se retrouve la faune intestinale?

mardi, septembre 10th, 2019

Le coca à 14 francs, le café à 7… ça vaut lAAAaaargement un petit larcin 😉

La peur comme outil politique

mardi, septembre 10th, 2019

La peur comme moyen d’action est toujours préférée par ceux qui se pensent dominants et qui sont en réalité très conscients de leur extrême faiblesse.
Les dirigeants politiques, les parents, les patrons, les banquiers, jusqu’au petit gratte-papier en charge de dossiers sociaux, tous ceux qui ont un ascendant sur d’autres.

Ils pourraient choisir la bienveillance, l’éducation, la pédagogie, tout en respectant les règles qui s’appliquent à tous, mais non! ils se savent tellement faibles qu’ils préfèrent infliger la peur; c’est tellement plus jouissif de voir une chose vivante terrorisée. Demandez donc aux spécialistes qu’on appelle “terroristes”.

On peut donc ainsi qualifier de terroristes non pas seulement quelques individus se rendant coupables de meurtres atroces mais bien une organisation systémique des états dits démocratiques dans lesquels nous vivons tous actuellement, dans la société dite occidentale. Et c’est bien sûr plutôt aux présidents et aux ministres qu’il faut s’attaquer directement puisque, sous leurs ordres, tous ceux qui mettent en place des systèmes terrorisants n’en sont pas à l’origine.

Un exemple assez criant de ce terrorisme d’état est la publication de corps morts et d’images médicales peu ragoûtantes sur les paquets de cigarettes, jamais occultés aux regards des enfants, que ce soit chez le buraliste ou lors de réunions familiales pendant lesquelles les paquets désobligeants sont laissés à la vue de tous.

Les tumeurs cancéreuses ne peuvent être directement liées à l’usage du tabac ou de l’alcool ou de la charcuterie ou de je ne sais quoi encore.
Je serais plutôt enclin à penser que monsanto, les pesticides et insecticides (les abeilles et tant d’autres ne vous disent pas merci – mais OSEF un insecte ça cause pas, hein? nicolas hulot), la malbouffe industrielle dégueulasse et ultra transformée que si c’était toi qui la fabriquais t’en mangerais jamais, la pollution atmosphérique ultra nocive (bien plus que la combustion du tabac) voulue par les riches pour faire plus de fric (hop! plutôt des milliards de camions diesel que des trains, merci pour nous et nos actionnaires) et l’hubris inconsciente des quelques débiles à qui est laissé démocratiquement -lol- le pouvoir de choisir et de décider pour la multitude sont à l’origine des fléaux que l’humanité s’inflige à elle-même.

Voici deux photos bien réalistes dont les buts sont pourtant très différents:
– l’une est une image terroriste appliquée sur un paquet de tabac pour dissuader d’en fumer, elle montre une tumeur de la langue, sans aucune précision scientifique concernant l’âge de la personne, son hygiène de vie, s’il fumait ou non, s’il avait une maladie génétique ou pas, etc.
Il faut croire l’état français, son bon président et son ministre de la santé (en plus c’est une femme le plus souvent de nos jours, nantie de l’auréole obligée de la mère bienveillante): cette photo est celle d’une tumeur de la langue DUE au tabagisme. C’est comme avec cahuzac, balkany, sarkozy, hollande, macron, chirac giscard, pasqua, longuet, strauss-khan, etc, etc, il suffit de croire ceux qui, les yeux dans les yeux vous disent un truc, forcément vrai de vrai. Et puis, c’est vu et entendu à la télé, chez les non-menteurs qu’on appelle encore “journalistes”, payés par les milliardaires, ces bienfaiteurs de l’humanité dont ne dit-on pas qu’ils sont forcément “philanthropes”.
Je sens que vous y croyez moyennement, n’est-ce pas?

-l’autre est simplement un “leak” (une fuite) d’une image médicale capturée sur bestgore et montrant l’atrocité d’une tumeur vaginale. Il n’y a pas plus de contexte, le texte accompagnant la photo étant d’un vide complet.
J’ai choisi bestgore parce que je sais que les idiots vont se précipiter, tels les anti antisémites, sur ce genre de référence.

Je vais vous mettre une autre référence, de chez youtube (yen a des milliards hein) un bon et gentil outil appartenant à google, bienfaiteur de l’humanité également:

Bon visionnage les copines 😉

PS: pour ma part, je trouve que ces images (je fais la collection des paquets de clopes, comme si c’était des panini 😉 ) et ces vidéos sont d’une extrême utilité et participent de la Connaissance.
Pour tout un tas d’autres personnes, c’est soit pervers, soit horrible, soit je ne sais quoi encore. J’espère que ces gens-là n’ont pas d’amis chirurgiens ou médecins ou même vétérinaires. Ces braves petites gens, si sûres d’elles-mêmes dans la vie quotidienne, se trouvent donc toutes penaudes devant la réalité de ce qu’est la vie, le sang, les maladies, la chirurgie et au final, la mort.

Faites de beaux cauchemars! 🙂

Cat life

mercredi, septembre 4th, 2019

Tiens, j’étais en train de regarder -https://www6.123movies.st/watch/cat-skin.mv2px/n39qv1l et la scène de masturbation sous la douche est terrible.
Dans son contexte évidemment. Rien n’est signifiant sans un contexte.

Je me disais que la meilleure photo de ce samedi dernier n’était pas les 300 ou 400 shoots dont seuls quelques-uns sont exploitables.

C’est celle-là, volée et non autorisée. Et donc, je ne la montrerai pas.

Exposition

mardi, août 27th, 2019

La durée a été raccourcie 🙁 … mais c’est pendant un week-end 🙂
Bien sûr les œuvres sont disponibles à la vente.
Des tirages limités à deux exemplaires par image, encres pigmentaires UltraChrome sur papier Lana pur coton contrecollé sur dibond et prêts à la suspension.

Exposition “Naked pictures of a disintegrated world”, photographies et images de F.H.P. Lornet à Saint-Gengoux-le-National.
Musée du patrimoine, Square Lamartine.
Du jeudi 26 au dimanche 29 septembre 2019, de 14h à 18h.
Vernissage le jeudi 26 à 18h.

Concert

mardi, juillet 30th, 2019

Quelques clichés développés du concert de samedi dernier. Un excellent concert, une très belle voix et une musique qui va bien (perfectible, mais qui va vraiment très bien). Une super soirée au Strong Street Pub, importé directement d’Australie jusqu’au cœur du désert brionnais ^^ hihi.

Sinon, je viens de pousser une gueulante à l’aveugle contre deux hystériques qui s’amusent à “faire le spectacle” vocal dans le voisinage.
Ça commence sérieusement à me gonfler le manque d’éducation d’autrui. Une fête ou deux, passent encore, mais le connard de Poméranie qui gueule à qui mieux-mieux accompagné de ses deux connasses hystéro-crétines, tout autant que le jeune branleur qui trafique des bagnoles, et n’a pas d’assurance valide pour sa poubelle, et fait la fête plusieurs jours durant et spécifiquement de minuit à six heures du matin, le tout dans un périmètre bien trop proche et en période de canicule supposant évidemment que tout le monde a ses fenêtres ouvertes la nuit…
Franchement, vu la réaction des pouvoirs publics, on comprend que certains en viennent à des solutions radicales.
Comme le dit Alévêque, le bruit est une torture pour 70% des gens, les 30 autres % sont sourds!

Les cons, les TRES GROS CONS (yen a plein en rase campagne, mais alors… PLEIN! -au moins autant que dans les capitales ^^) sont source d’inspiration!
OUF! 😉

 

Nature morte

dimanche, juillet 14th, 2019

You almost had a naked self-portrait, but it’s gonna be a nature morte 😉
Cheers.

Happy family? fuck me!

samedi, juillet 6th, 2019

Sans titre (pour A.)

mardi, juin 25th, 2019

Easy

dimanche, juin 23rd, 2019

Lo que no se ve

jeudi, juin 13th, 2019

Dramatic

mercredi, juin 12th, 2019

Catching a rainbow usually makes the first shoot perfect, as the rainbow fades away quickly, like a dancer.
That also means you had already the polarizing filter on the camera if you want to make it a bit dramatic.
Otherwise you go post-production (anyway you will have to develop the picture, as usual) and work out the photo to make it fit your desire.

You’ll find out or just buy the great movie ‘Parada‘. I love it. It’s an intelligent dramatically life-like movie. And you will Roll Over (the) Floor Laughing.
That’s what matters in dark ages.