Archive for the ‘Philosophie’ Category

The four me

lundi, mai 17th, 2021

On me disait, banalité de limités, que je me prenais pour le savant regardant les fourmis, parce que je tentais (ô désespoir) de prendre de la distance à propos de conflits armés de par le monde. C’était le sujet.
A y réfléchir, vraiment, le format de la discussion des plateformes privées ne laisse aucune marge; c’est une dictature des uns contre les autres.
Que vaut l’attraction vers le brandissement d’un panneau ou d’un morceau de tissu quand on peut essayer grâce à ses capacités intellectuelles d’envisager la résolution de ce qui se passe ici et maintenant surtout, mais aussi ailleurs?
Faut-il se prendre pour un émissaire, un dirigeant mondial politique, au lieu de savoir et de connaître ce que l’on vit réellement, ici et maintenant?
Pour autant, il n’est pas nécessaire d’oublier ce qui se trame de par le monde, mais jamais comme cause imminente du mal-être vécu; jamais.
Ce serait croire aux ombres de la fameuse caverne, quand bien même elles seraient numériques, en couleurs, avec audio et vidéo d’une qualité qui ne permettrait pas qu’on les différencient de la réalité perçue. Et voilà qu’on peut également se questionner sur ce qu’est la perception, qu’elle soit celle des individus ou d’une société. Le cartésianisme est un carcan.

https://blog.leclubdesjuristes.com/libertes-mesures-prises-pour-lutter-contre-propagation-covid-19-lindividualisme-subordonne-logique-sante/

https://blog.leclubdesjuristes.com/les-libertes-et-les-mesures-prises-pour-lutter-contre-la-propagation-du-covid-19-une-accoutumance-aux-regimes-dexception/

https://blog.leclubdesjuristes.com/les-libertes-et-les-mesures-prises-pour-lutter-contre-la-propagation-du-covid-19-sanctuariser-le-noyau-dur-des-libertes/

 

La guillotine

lundi, mai 10th, 2021

Ce qui me pousse à désirer la guillotine pour tous les gouvernants, dirigeants et dominants.
On pourrait dire un juste retour naturel du mal infligé aux populations mondiales, car en effet, le sentiment est probablement mondial.
Le capitalisme associé à l’hubris de l’humanité, mais qui ne précipite que pour une infime partie de celle-ci, mène au désastre que l’on connaît.

L’apparition d’un virus covida est le catalyseur de cette chimie.

Les éléments, les ingrédients étaient prêts, ils se sont précipités et ont précipité dans une alchimie diabolique. Comme tous ceux qui ont conscience et dénoncent les perversions humaines, à l’échelle mondiale, planétaire, chacun peut se rendre compte que l’argent et la domination totale qu’il permet, en est le principal détonateur.
Si l’on revient sur la situation de la France, un pays extrêmement riche, dont certains citoyens sont parmi les plus fortunés milliardaires du globe, possédant l’arme totale, nucléaire, une terre fertile et permettant facilement l’autarcie, il est frappant de s’apercevoir que les politiques mises en place par les voraces de l’argent ne lui permettent pas de soigner une petite poussée de patients dans ses hôpitaux, en raison d’un système de santé défaillant.
Cette défaillance est due à la doctrine capitaliste dont le seul but est de faire peser sur la masse des faibles le faux bonheur de quelques ultra riches.

Entre 2020 et 2021, seules les vies de la population la moins fortunée sont passées de vie à trépas. Une année complète à n’être plus rien. Le désastre économique, social et psychologique et médical viendra par la suite.
Mais on ne rattrape pas une année de vie. Ces vies brisées, anéanties, sont le seul fait des dominants et des gouvernants.
Personne n’a voulu priver les autres, et surtout les enfants, des visages et des émotions. Personne n’a voulu s’enfermer pour des prétextes fallacieux, en lieu et place d’une raisonnable et rationnelle gestion d’une maladie somme toute très peu mortelle en regard de toutes les autres.
Et surtout, seuls les dominants et les gouvernants, par bêtise et fatuité, ont refusé les soins à ceux qui en avaient besoin: retrait de médicaments peu chers et les seuls efficaces pour tenter de soigner, dispositions amenant à l’affaiblissement des défenses immunitaires naturelles du corps et des esprits, distribution, dans une logique capitaliste, de l’argent nécessaire à la société (systèmes sociaux et médicaux) aux industries non indispensables (aviation).

Une gestion de la population telle un troupeau de l’ère biblique, avec des méthodes de tortionnaires, le confinement, et probablement l’extermination désirée.
Cela, c’est le président macron qui en est le seul responsable, pour la France, décidant seul avec les pleins pouvoirs d’un dictateur immature, s’appuyant sur un conseil nommé par lui, dirigeant par décrets autoritaires et sous état d’urgence, avec une cour d’idiots utiles et autoritaires autrement appelés ministres ou majorité parlementaire, et soutenu par ces mêmes milliardaires qui l’ont hissé au pouvoir dans un décor de carton-pâte.

On ne reviendra pas sur le temps perdu, il est passé, et la colère d’aujourd’hui ne sera que fortifiée par les suites sociales catastrophiques des années suivantes.
La vie, par son inarrêtable cheminement, possède intrinsèquement une résilience que l’on pourrait appelée automatique. A quel prix?
L’Humanité, son essence, sa nature, se laissera-t-elle posséder et détruire plutôt que de faire table rase des parasites qui prétendent la gouverner et la conduire à sa perte à leur profit?

L’assassinat des dominants serait un trauma terrible pour bien des âmes, mais faut-il renoncer à l’Humanité pour n’en sauver que quelques cuistres?
Guillotine.

Politique du troupeau

samedi, avril 10th, 2021

Le berger, assis sur la force de ses chiens de troupeau, va bientôt décréter que si l’on a la piqûre, on peut sortir brouter l’herbe verte, mais que si on ne l’a pas, on reste à l’étable, confiné. A tout jamais, car il y a autant de piqûres que de dangers.
On note que l’on ne sera toujours qu’autorisé à brouter l’herbe, à consommer et à travailler jusqu’à ce que ce corps finisse en gigot dans l’assiette d’un berger ou d’un de ses congénères.
Le berger établit les lois pour qu’elles le servent.
Le troupeau a un semblant de conscience et éprouve donc de la peur. Il sait qu’il va mourir, peu importe de quoi. Il sait que les vieux du troupeau meurent statistiquement plus vite et plus nombreux que le reste du troupeau plus jeune.
Mais si l’on insuffle la peur de mourir parmi tous les membres du troupeau, de façon réelle mais manipulée…
Alors on crée une nouvelle échelle de manipulation, une manipulation presque totale, basée sur la peur et sur les chiens de troupeau, afin de servir uniquement les bergers.
“… dans la vallée de la mort, etc.”

À George O.

Demain, c’est le printemps…

vendredi, mars 19th, 2021

Demain c’est le printemps… et plus personne ne le verra, pendant longtemps.

Après le confinement, quand ça ne marche pas, il y a l’extermination…
Curieusement, il sera plus aisé d’exterminer les quelques-uns, rupins et putards, que l’entièreté de la population.
Ce sera bien. Ce sera au couteau, manuel… @miky 😉

Nu de dos

mardi, mars 9th, 2021

Le président pervers

dimanche, février 28th, 2021

manu rotchild (“fils de pourriture”, signification symbolico-phonétique) macron est le président pervers, bien plus que le psychopathe donald trump.
C’est un enfant psycho-sexuellement traumatisé qui se prend pour un dieu. Rien que de normal en psychopathologie.
Mais il détient le pouvoir grâce à l’entregent (l’entre-jambe?) de sa marâtre.
Ce n’est qu’en cela qu’il existe bel et bien une “exception cultureuse” française… si dramatique.

Suburban poster

vendredi, février 26th, 2021

En me baladant dans les banlieues sombres et insalubres (of course), je suis tombé sur l’expression de la colère terrible qui sourd dans nos contrées.
J’en ai fait de mémoire une reproduction assez fidèle, bien que j’aie ôté les résidus de déjections projetées contre les photos qui l’accompagnaient.
Les conséquences des restrictions totales des libertés des citoyens d’aller et venir  et de rencontrer qui ils veulent n’apparaissent encore que très peu au jour en cette fin de février 2021.
Cependant…

Connaître la réalité covida

samedi, février 20th, 2021

Pour connaître la réalité au sens large, il faut d’abord connaître SA réalité à soi. C’est douloureux, long et très difficile.
Ensuite on peut espérer approcher, sans jamais l’atteindre, la vérité.

Plandemic.
https://plandemicvideo.com/

Fouché (anesthésiste réanimateur), Pavan (mathématicien enseignant chercheur), Carré (anesthésiste) <- ceux à voir, les trois premiers entretiens intégraux sans mise en scène (2h30).

NEW HOLD-UP+ LE BONUS
https://www.youtube.com/watch?v=ujWehztwa88

Aphorisme

jeudi, février 18th, 2021

M’est venu cet aphorisme: L’amour ne coûte rien et pourtant il vaut plus que tout.
Je n’ai pas cherché à savoir s’il existe déjà car je m’en moque; il importe que je l’ai pensé.
Il résume convenablement à mon avis ce que ce brave Coluche disait de Freud et de la théorie psychanalytique: “a que y’a le cul a que y’a le fric”, dans une proposition erronée.
En effet, s’il y a bien le fric (et de nos jours, c’est exponentiellement criant) le cul est un raccourci peu à propos pour ce qui aurait dû être appelé l’amour, l’affection, la sensibilité, l’affect, la bienveillance, l’empathie, la sympathie. Bref, un “tas” de sentiments dont le “cul”, réalisation physique dans la sexualité génitale adulte de l’être humain, est un point de détail.

Alors, de cet aphorisme, que signifie-t-il? Car c’est un peu fourre-tout.
Et bien il met en relation d’opposition l’argent et les biens matériels, nécessaires mais vains, avec ce qui fait l’humanité, l’amour, pris dans son sens le plus générique qui soit.
Evidemment, on sait que l’humanité est également dotée de la possibilité de la plus grande perversion. Ainsi, ces deux objets sont souvent confondus, mélangés, embrouillés afin de créer un moyen de domination.
Quelles en sont les causes? Multiples et variées, dirais-je, mais toutes proviennent de l’élaboration de chaque être humain par son éducation et la vie qu’il a eu pendant son développement infantile, de sa procréation à… quelquefois à tout jamais, hélas.
Il y a pourtant des échappatoires, telles les névroses de vie, qui permettent, à moindre coût, selon une stratégie psychique d’économie, de survivre en regardant les trains passer. Celle-ci est la moins pire et la plus facile.
D’autres stratégies emploient la perversion et s’appuient sur les faiblesses des premières, elles s’en nourrissent et ne se préoccupent pas de savoir qu’elles meurent bien vite faute de courage. Il y a tant, peu importe donc.
Et il y a… autre chose.

manu macron ou la casse sociétale

mardi, février 16th, 2021

Il a pris la France pour la mettre à genoux, telle une vieille femme de sa connaissance, qu’il a même épousée.
Cependant, la République est figurée sous les traits d’une femme jeune et éprise de liberté, pas comme sa vieille rombière, malade mentale, qui ne pense qu’à changer pour des millions les tapisseries et la vaisselle d’un logis qu’elle ne mérite pas, afin d’y laisser une trace de son odeur pestilentielle.
C’est la mort déguisée qui rôde sur l’innocence de la jeunesse qu’elle détourne et avilit afin de compenser ses défaillances primordiales.
Quant à son pantin, il décharge son incapacité à gouverner sur la population, tantôt imitant les autres, tantôt prétendant être au devant des initiatives.
Il affaiblit, pense-t-il, la volonté de puissance (qu’il n’a pas, outre ses manigances et ses manières détournées) d’un peuple, de concert avec ses pairs par un hasard malheureux aussi débiles que lui.
On en est là.
Les intellectuels sont dépassés par l’ampleur de l’escroquerie, car ils sont déjà vieux et à l’abri du besoin.
La terreur instaurée par les dominants du monde entier sur les populations, en ce début de seconde décennie du XXIe siècle, est inédite.
Son ampleur est planétaire.
Le prix à payer pour ceux qui l’ont instaurée sera celui du sang.

Traumatologie du fascisme français à partir de 2020

dimanche, janvier 10th, 2021

Similitude des traumas entre violence sexuelle et privation de libertés essentielles à l’humanité.

La domination qui s’exerce sur la majeure partie de l’humanité par des faits de couvre-feu, d’incarcération domiciliaire, de contrôles miliciens et policiers, de restrictions diverses et multiples concernant les arts, le sport, la vie en général à l’exception de l’alimentation, est une folie menant, plus elle dure, à la plus sûre réussite des dominants sur les populassières.
En France, par exemple, les dominants petits comme les ministres vivent sur les deniers de la population, sans rien produire sinon des ordres d’obédience orgasmique, avec 30 000 euros par mois en moyenne, alors que la moitié de la population active vit avec environ 1200 euros mensuels, le smic.
Si l’on se rapporte à la philosophie psychanalytique d’Alice Miller, la pédagogie noire, qu’elle dénonçait dans l’éducation des enfants, est aujourd’hui mise en pratique à une échelle mondiale sur l’entièreté des populations.
Injonctions paradoxales infinies, culpabilisation de chaque individu (coupable d’être potentiellement porteur de la mort pour autrui) sont les ressorts politiques, et uniquement politiques, de la domination de la bourgeoisie capitaliste issue de la révolution française, en ce qui concerne la France.
Non seulement la population n’y voit que du feu, dans sa grande majorité, prise par la peur de mourir ou par le sentiment fallacieux d’être ainsi protégée de la mort, mais elle s’écharpe entre elle à ces sujets.
Il n’y a rien d’autre qui soit plus plaisant aux dominants qui peuvent ainsi, au prétexte infondé d’un virus finalement absolument peu grave en regard de la peste ou d’ébola, jouir orgasmiquement de leur toute-puissance sur des foules immenses.
Dire ce qu’un être peut faire, quand il peut ou doit le faire, jouer de lui comme d’une bête, d’un animal, ainsi que ces dominants le font avec les enfants, sexuellement, est une jouissance perverse incommensurable.
En France, brigitte trogneux, l’épouse du président de la république, est de ceux-ci. Elle jouit follement, dans son hyménée (hymen né?) déjà vieilli et ménopausé, de ce qu’elle a dû apprendre dans sa famille de bourgeois richissimes: pour parvenir à faire ce que les hommes font, joue de ton vagin. Elle a mis en action, au mépris des règles de l’humanité, sa séduction au profit de son envie de pouvoir et de pénis: quoi de plus facile que de séduire un jeune garçon de 15 ans, alors qu’elle a autorité sur lui en tant que professeur?
Laissons là ces besognes sexuelles de bourgeoise de province qui ont pour le moins fort bien réussies.

Ceux qui aiment s’appeler eux-mêmes “la classe” politique, émargeant à plusieurs dizaines de milliers d’euros mensuels -le détail a son importance- se vautrent dans une sexualité perverse et ce ne sont pas seulement quelques brebis galeuses. Alors qu’ils sont adultes et responsables de leurs actes, en plus d’attributions qui mettent en jeu la vie de millions de leurs concitoyens, ils font fi de la plus simple morale. Il est vrai que la morale n’est pas judiciarisée, comme cela est arrangeant quand on a déjà tous les autres moyens à disposition.

Un ponte de sciences politiques, olivier duhamel, école de putards, aimait se faire sucer le chibre par son propre beau-fils âgé de 13 ans. Que voilà une belle initiative de dominant. Deux femmes autour de lui en sont mortes pour préserver le secret de monsieur et la bourgeoisie de pouvoir parisienne.
Il s’agit donc ici d’histoires de familles de la grande bourgeoisie (si on peut encore l’appeler ainsi). Un des fils Kouchner, Antoine, aujourd’hui professeur à l’Université Diderot à Paris, a été victime de la pédocriminalité de son beau-père duhamel, politologue (on a presque envie de rire si ce n’était désespérément tragique) à l’école de sciences politiques qui forment journaleux et putards de fransse…
Lui, Antoine, ne dit rien, c’est sa sœur jumelle qui livre un secret, connu depuis des dizaines d’années et qui a probablement coûté la vie à deux femmes, d’une manière ou d’une autre, un secret honteux pour le perpétrateur qu’est olivier duhamel.
Bien sûr, l’argent qui coulait et coule toujours à flot constant dans ces milieux a opportunément masqué l’ignominie de cet homme par ailleurs respecté bien qu’irrespectable en permettant à chaque protagoniste de tirer partie de la fortune de ceux qu’il faut bien appeler des nantis, pour le meilleur (les criminels) et pour le pire (les victimes).
Ainsi vont les perversions des dominants, qui s’abattent sur les plus faibles, leur propre progéniture étant une cible privilégiée.

Aparté: d’où parlé-je? Je parle depuis la chambre placard interdisant toute sortie d’aisance et obligeant au spectacle au moins auditif d’une génitalité d’adultes, parentale, à un enfant entre ses 3 ans et ses 16 ans. Voilà d’où je parle. Au moins.
Ceux qui en sont affligés ou apeurés s’échappent vite; ils ne comprennent pas, inconsciemment, l’absence chez moi de ‘neurones miroirs’ dont eux sont pourvus puisqu’ils n’ont pas eu à subir une torture psychique handicapante au plus haut point. Certains ont développé une intelligence qu’on dirait mathématique ou scientifique, rien de bien extraordinaire sinon que leur énergie peut être canalisée vers ces matières, puisqu’elle n’est pas occupée à combattre ce qu’ils ne connaissent pas. La plupart n’ont que peu d’intelligence, disons qu’elle est moyenne et suffisante pour se sustenter. Rares sont ceux qui peuvent comprendre et sympathiser. L’empathie est inutile voire contre-productive pour tous les protagonistes.

Violence nécessaire…

lundi, décembre 7th, 2020

Pierre-Henri Castel – Le mal qui vient : essai hâtif sur la fin des temps

-https://www.youtube.com/watch?v=-OuzBtTyebo

 

 

Eliminer avant d’être éliminé

mercredi, novembre 25th, 2020

In Johann Chapoutot, Libres d’obéir, 2020 ed. Gallimard. ISBN 978-2-07-278924-3

 

 

 

Objet-secret, climat et folie

mercredi, novembre 18th, 2020
Inceste manu macron brigitte trogneux

In: L’inceste et l’incestuel, Paul-Claude Racamier, Dunod, 1995.

L’objet-secret, c’est ce qui est connu de tous partiellement, mais qui est un non-à-savoir; c’est un ultra paradoxe, comme le définit Racamier.
La période d’emprisonnement global voulue et exigée sous peine de prison par les dominants n’est pas un complot, comme se plaisent à le penser ceux qui ne pensent justement pas. C’est la dictature globale qui se met en place pour servir le système économique capitaliste néo-libéral.
D’une pierre deux coups, elle vient masquer fort à propos le réchauffement global qui détruit l’écosystème de vie de la grande majorité de l’humanité et du monde vivant. Les températures sont communément 10 degrés centigrades plus élevées que les moyennes observées sur un siècle, les forêts décimées par les incendies et eaux polluées chimiquement.
Des sécheresses inédites durant plusieurs années (en France, c’est déjà la troisième année consécutive) ponctuées de périodes récurrentes de canicule insoutenable sont à présent l’atmosphère de la vie dans des contrées autrefois agréables. On s’esbaudit des records de températures et des pluies diluviennes et meurtrières, des tempêtes qui font de belles images au service des systèmes de communication des dominants.
Les interdictions pleuvent comme si elles pouvaient de quelque façon que ce soit contribuer au bonheur de la non-mort des populassières.
On n’attrape pas de virus et on n’est pas contagieux quand la pêche à la ligne est interdite (France).
On soigne mieux les personnes quand on ferme des hôpitaux et qu’on rend le système de santé uniquement rentable. N’est-ce pas là le but ultime de l’hôpital que de faire de l’argent?
Le président français, sous régence de sa mère de substitution, a toujours 15 ans, mais il est heureux d’avoir engrangé quelques millions chez un banquier. Quel talent!
La confusion totale des générations, voulue par brigitte trogneux, l’épouse de ce président, est à la manœuvre dans les esprits. Tout comme elle a violé manu macron, en dissipant ainsi ses vélléités d’inceste avec ses propres fils (du même âge que sa proie sexuelle sur laquelle elle avait autorité en tant que professeur), elle contribue à l’embrouillage des esprits en prétendant vouloir s’intéresser aux violences faites aux enfants.
Elle est là, la folie, la décadence des esprits pourris par l’argent surabondant et qui ne s’occupent que de l’apparat.

Qu’un virus, qu’une épidémie arrive, et la machine peut se mettre en marche; c’est le déclic qui permet à cette folie de s’imposer à tous avec les moyens de violence existants, police et armée. Le tout, évidemment, pour le bien des populations. Le tout, évidemment, décidé par une ou deux personnes complètement malades, mais qui ont valeur d’exemple dans le système présent, le capitalisme néo-libéral, qui s’appuie sur de solides fondations.

On avait l’habitude de blaguer, une fois adulte, en demandant “As-tu un mot signé des parents?” lorsqu’une personne faisait une demande.
Aujourd’hui, c’est la réalité “en marche”, comme le nom stupide du parti inexistant d’un incestué (manu macron) par sa régente (brigitte trogneux).

Toute activité humaine et donc sociale et donc vitale est désormais interdite, la pêche à la ligne est interdite! mais pire encore l’accès aux livres est interdit.
L’autodafé “soft” de l’incestué manu macron est en marche.

L’art est interdit car il est non représenté, non accessible. Les idiots crient que tout va bien.

Moi, je n’arrive plus à penser. Je me demande comment j’en viens à souhaiter la mort (violente pour être cathartique) des tous ces dominants… Car les fondations de dizaines de milliers de morts à venir sont en ce moment-même mises en place par ceux-là, les dominants, les puissants iniques.
C’est la santé (on ne peut PAS séparer le corps de la psychè) de millions de personnes, même et surtout de celles qui aiment se bercer d’illusions -tels les nombreux “ignorants” des années 1930- qui se dégrade et les conduit à une mort certaine.
Sans être consciemment voulue, la mort de millions de pauvres sera forcément bienvenue dans un système capitaliste, néolibéral, robotisé, technologisé.

Il faudra en passer par là plutôt que de tuer les quelques fous, ultra milliardaires (certains bientôt ‘trillionnaires’) et dominants, ignorants de tout sauf de leur jouissance, se baignant dans le foutre de leur vie de stupre.
Pourquoi faire propre quand on peut faire sale? Ou serait l’orgasme d’être, comme le sous-entend le président français manu macron, jupitérien?

La secte politique / twilight zone

dimanche, novembre 15th, 2020

Quelle idée saugrenue! m’est venue en regardant la saison première de “The vow”, un documentaire de la chaîne HBO qui traite de l’intérieur, grâce à des témoins et participants, de la secte organisée par keith raniere. La principale folie que retiennent les amateurs de superficialité, c’est évidemment le marquage des femmes par brûlure aux initiales du gourou, dans la zone pelvienne antérieure.
Mais il est question de bien autre chose que ces faits divers, il est question de manipulation de masse, certains parlent de lavage de cerveau.
Cette dernière expression est un souci majeur car elle suggère une action nettoyante. C’est tout sauf cela: ce sont des cerveaux disponibles aux manipulations, bien propres justement.
L’action perverse d’un gourou ne tient qu’au contexte qui a créé ses proies et à celui qui l’a créé, lui-même.
Une sorte de symbiose se crée ensuite entre celui ou celle vu comme un maître à vivre, un maître à penser, et tous les autres disponibles pour cette folie.

Il en va de même que dans la “4e dimension” (titre en français de twilight zone), ou le paradoxal le dispute à l’invraisemblable.

Quelle que soit la vérité, les faits permettent toujours d’y trouver un inattendu.
La peur qu’engendre la vérité est si forte, intenable, totale, que l’on préfère bien vite s’en affranchir en déployant force d’énergie pour la réfuter, quitte à se mourir.
Comment penser que ses semblables puissent être voraces au point d’être stupides? Mieux vaut donc fantasmer une autre réalité, plus adéquate et plus facilement compréhensible, de celle qui emmène sans lutte et sans souci vers une fin regrettable mais sans saveur.

Dénerver, ce n’est pas supprimer les émotions comme on peut le faire par des moyens plus subtils et définitifs, c’est couper les liens de la sensation d’avec l’émotion. Cela empêche toute réaction.

A la lumière “del covida, hombre!” on voit comment les bergers, paniqués mais qui n’en montrent rien, sacrifient leur troupeau pour les erreurs qu’ils ont faites eux-mêmes.
On ne trouvera évidemment aucun membre du troupeau pour exprimer ce qu’il en pense – disons, très peu; pourtant c’est là le génie de La ferme des animaux d’Orwell de montrer que ces animaux, ce sont nous, les humains; qu’il soit question de religion (le lien dans la crédulité) ou de politique (tentative dévoyée d’organiser la cité) les animaux conservent une sorte d’inertie propre dont la peur fondamentale est le moteur.

“On en a eu assez de soigner le troupeau, il prospérait plus vite que ces petites maladies, et puis, nous bergers étions en bonne santé. On avait bien assez de viande et de laine et les pâtures ne manquaient pas (… encore).”
Alors quand est venue la grippe honnie et que les bergers ont vu les troupeaux fondrent, ils ont poussé les faibles vers la falaise, croyant se débarrasser de la peste. C’est tout le contraire qui se produisit.
Les MC (les moutons costauds) devinrent les maîtres de cérémonies. Ils avaient développé une grippe puissante qui ne les atteignait pas, au contraire de leurs infortunés et faibles camarades de troupeau. Les bergers étaient fiers de ces bêtes costaudes, “en voilà qui nous ressemblent” se disaient-ils.
Cette grippe qui n’atteignait pas les MC s’arrangea pour passer chez les bergers pour y faire un massacre.
“Plus de barrière! plus de bergers! nous sommes libres!” s’écriaient les moutons costauds.
Ils prospéraient et vivaient donc libres, sans se soucier des pâtures… qui vinrent à manquer sous la pression cannibale de leurs mandibules.

Liberté d’expression, chérie!

jeudi, novembre 5th, 2020

Ou de la misarchie réelle.

Face à l’absence totale de raison, d’honnêteté morale sinon de scrupules, une seule solution: la déraison.
Face à un “conseil” autocratique et anticonstitutionnel, une seule solution: la sécession.
La méthode: l’insurrection.
Le moyen: l’art, la création.

D’après une idée faussement originale d’Alain Acquebart, produit par Chimou Bénichou (apport de cachets et du cachet, on est en France) et Marie-Jo Gropierre (qui roule…etc), avec l’ascendant des suppôts religieux de toutes obédiences y compris putardes, une chanson punk et misarchique qui crache son venin…
Encore plus loin.

Désobéir c’est la santé!
… face aux crétins qui veulent nous éduquer.

Catharsis abréactionnelle fantasmatique: “égorger manu“. Ça fait du bien.

Crédits d’augmentation des cachets : guitares, chant, production, post-production, écriture, fausse basse, prise de son et de vue, montage, effets, mixage, création, interprétation, publication et tout le saint frusquin: FHP Lornet. 2020 under diktat.

MP3 (4 mb)

MP4 (48 mb)

http://www.lornet-design.net/wp-content/uploads/2020/11/égorger_manu_FHP_Lornet_2020_under_diktat.mp4

Les fumer définitivement, eux et leur système.

vendredi, octobre 30th, 2020

http://www.regards.fr/idees-culture/article/tribune-le-confinement-constitue-un-remede-pire-que-le-mal-pour-la-societe

Et ils sont encore bien gentils de croire à la pseudo démocratie.
Il faut neutraliser de façon définitive les dominants et le système de domination.

La dictature mondiale de l’autoritarisme – 2020 AD

jeudi, octobre 22nd, 2020

Pour faire plaisir à certains et les sortir doucement de leur déni, on pourrait parler de dictature sanitaire, en se basant sur le prétexte utilisé pour la mettre en place: un virus peu mortel mais assez contagieux.
Le pouvoir politique des (pseudo) démocraties occidentales des pays riches aurait dû être une façon de gérer la cité, les pays, par l’entremise de l’état: offrir aux populations la sûreté des services publics pour lesquels chacun à sa mesure contribue via les impôts et taxes; les hôpitaux, les assurances pécuniaires contre les aléas de la vie comme le chômage, les services de l’énergie utilisée avec parcimonie et conscience, le cadre de vie respectant la biosphère de l’humanité, des moyens de communications et de rencontre, etc.
L’hubris des dominants, couplé avec les avancées terribles de la science (le nucléaire) et l’élaboration d’un système de domination (le capitalisme) des masses par quelques nantis ont détruit totalement les visées de la cité humaine.
Les ressources sont pillées, polluées à les rendre mortelles et toxiques et donc inutilisables, les écosystèmes sont niés et exploités jusqu’à leur fin totale.
Sans respect de la vie partagée par tous sur une planète finie et irremplaçable, les catastrophes que l’on crée soi-même sont là.

2020 est la troisième année de sécheresse en France, les températures sont toutes largement plus chaudes que celles d’un climat tempéré. Le continent européen glisse doucement vers un climat tropical voire désertique.
Lorsqu’une moitié d’année sans pluie se termine, c’est par des pluies continues et diluviennes, suivies de tempêtes aux vents violents. Il ne neige quasiment plus en hiver ni ne pleut et si la neige devait revenir ce serait pour tomber en abondance et être nuisible, du moins pour les humains et le vivant qui leur est nécessaire.

L’hubris des dominants a trouvé mieux que quelques crimes sanglants pour détruire les dominés. Fini les clavaudes du terrorisme, mais on peut toujours saupoudrer pour faire remonter le niveau de peur et la bêtise des masses.
Non, c’est la peur de la mort suite à maladie que les dominants instaurent aujourd’hui comme axe de leurs dictatures.
La liberté des populations est restreinte pour être anéantie avec jouissance.
Un virus du rhume, de la grippe, même s’il est mortel pour les médicalement faibles comme ceux ayant déjà de graves maladies et les vieux, fait partie de la vie.
De la même façon que la mort, un virus microscopique ne s’éradique pas; ni avec un confinement idiot et non ciblé, ni avec des couvre-feux, ni avec des amendes.
Ces (pseudo) solutions sont les outils de la dictature et de la domination des hiérarchiquement puissants pour écraser et manipuler les masses.

Très peu de voix s’élèvent contre la marche forcée de l’humanité, ou plutôt des pays riches, vers une fin totale et inéluctable sous la férule des inconscients auxquels ils ont donné les pleins pouvoirs.

Be aware

dimanche, octobre 18th, 2020

Fascists Are Using COVID-19 to Advance Their Agenda. It’s Up to Us to Stop Them.

Sans titre

samedi, octobre 17th, 2020

Bon, donc, ayé, on est en dictature autoritaire, il ne manquait plus qu’un pas fini qui égorge, et ben hop! c’est fait.
Est-ce que les masques protègent de la connerie? 🙂
En tout cas pas de celle de mammon enculera (c’est manu macron en anagramme, faut le répéter) et de ses acolytes jeunots. Bon, y’a eu griveaux qui se masturbe en vidéo pour séduire une étudiante qui visiblement l’excite au plus haut point, alors qu’il se fait le chantre de la famille tradi catho… bien le bonjour à madame, faut du courage (ou pas mal de fric). Y’a aussi darmanin le chien, dont la wiki va jusqu’à chercher son grand-père algérien pour lui faire reluire le blason… un bon colon ce darmanin. On dirait le second prix local de piano attribué à macron manu pour lui donner une consistance… face aux gens, illétrés pour la plupart, qui ne sont rien (comparé à sa grandeur de victime de femme prof -soit-disant mûre- mais surtout pédocriminelle, brigitte trogneux-auzières-macron [la liste n’est peut-être pas finie!])

Faut les fumer.

https://www.franceculture.fr/emissions/affaire-en-cours/affaires-en-cours-du-vendredi-16-octobre-2020