https://la-bas.org/la-bas-magazine/entretiens/une-heure-avec-noam-chomsky-5620
Archive for the ‘Philosophie’ Category
Chomsky for non english speaking people (like 99% of the frenchies)
samedi, juillet 27th, 2019Nature morte
dimanche, juillet 14th, 2019Dramatic
mercredi, juin 12th, 2019Catching a rainbow usually makes the first shoot perfect, as the rainbow fades away quickly, like a dancer.
That also means you had already the polarizing filter on the camera if you want to make it a bit dramatic.
Otherwise you go post-production (anyway you will have to develop the picture, as usual) and work out the photo to make it fit your desire.
You’ll find out or just buy the great movie ‘Parada‘. I love it. It’s an intelligent dramatically life-like movie. And you will Roll Over (the) Floor Laughing.
That’s what matters in dark ages.
Psychose
lundi, juin 10th, 2019Une famille oĂč l’on ne raconte pas.
Ma mĂšre avait 23 ans quand elle m’a mis au monde et elle n’Ă©tait pas prĂȘte Ă avoir un enfant.
Elle ne voulait pas d’enfant, au moins pas Ă ce moment-lĂ .
Elle n’a pas su surpasser la difficultĂ© d’un nouvel ĂȘtre humain qui venait s’imposer vivant dans sa jeune vie.
Qu’est-ce qu’on sait Ă 22 ans des hommes et des bĂ©bĂ©s mĂąles?
Elle, pas grand chose, c’est certain.
Mais dans une famille trĂšs religieuse, c’est “comme ça”. La vie fonctionne ainsi, sans que l’on ait Ă dire sa volontĂ© propre. Alors que le dĂ©sir et la volontĂ© des ĂȘtres humains est justement ce qui les diffĂ©rencient de ceux qu’ils appellent les animaux.
L’animal n’a qu’un instinct de survie.
Il ne pense pas, il ne philosophe pas, il n’aime pas. Il vit d’instinct, se sustente, se nourrit et se reproduit.
Seul l’Homme profite de la vie parce qu’il sait qu’il va mourir.
Pour cela, il lui est encore difficile de s’Ă©pargner la souffrance. Il vit souvent dans la peur, quand l’amour fait dĂ©faut.
L’Homme qui a peur souffre. L’Homme qui n’est pas Ă©levĂ© comme un humain, qui ne reçoit pas d’amour quelles qu’en soient les raisons, ne peut se dĂ©velopper sainement.
Il grandit dans la peur. Il développe une panoplie de symptÎmes communs mais propres à chacun, à chaque individualité.
A travers ses symptĂŽmes, aussi douloureux peuvent-ils ĂȘtre, se trouve les solutions de sa reconstruction.
C’est d’y faire face, de prime abord, qui est le plus difficile.
Puis c’est ensuite de ne pas renier ce qu’il vit qui est un barrage.
C’est aussi la confrontation avec ceux qui ne savent pas ou qui croient savoir -ce qui est bien pire- qui vient crĂ©er un empĂȘchement.
La colĂšre.
La colĂšre qu’on a contre soi-mĂȘme, de s’ĂȘtre fait bernĂ©. D’avoir Ă©tĂ© impuissant parce qu’on n’Ă©tait rien qu’un nourrisson, puis un bĂ©bĂ©, puis un tout jeune enfant… et que le monde c’est celui que les parents, mais surtout la mĂšre donne Ă voir.
Quand ce monde est dĂ©pourvu d’amour vrai, quand il n’est qu’une scĂšne de thĂ©Ăątre dont on s’aperçoit qu’elle est trĂšs mal jouĂ©e et que les acteurs ne peuvent rien transmettre. Quand on grandit dans un tel monde… comment savoir que l’on n’est pas responsable de ce que l’on ressent?
Maman, tu n’as pas su. Tu ne sauras jamais, c’est fini. C’est fini pour toi, mais c’est Ă©galement fini pour moi. Bien d’autres souffrent, mais ce qui est important pour moi, c’est moi.
Pas d’amour dans ces bras. Ont-ils mĂȘme servi Ă autre chose qu’Ă faire des moulinets inutiles?
C’est triste.
Pour faire des Hommes bons, il faut des mĂšres aimantes. Ce ne peut ĂȘtre une rĂšgle, Ă©videmment.
Il y a un espoir de pouvoir retourner les pires situations, quand l’ubris est connue, comprise et sublimĂ©e.
Le tramadol te faisait faire des cauchemars… Je ne savais pas que dans les substituts d’opiacĂ©s, des anti-douleurs, se trouvait la clĂ© des cauchemars…
Mais les opioĂŻdes, la morphine pourtant peu dosĂ©e, tu as pris soin de la rendre Ă la pharmacie… des fois que ma douleur ait pu ĂȘtre attĂ©nuĂ©e, n’est-ce pas? Cette douleur que tu m’as insuflĂ©e, quand bien mĂȘme de façon inconsciente. C’est peut-ĂȘtre cela que tu expiais chaque dimanche en allant au pardon de la messe messianique…
“Mon dieu!” qu’il est bon de fauter et de se voir pardonner par une illusion, n’est-ce pas?
mais ce ne sont pas de toxines dont j’ai eu besoin et qui semblent bien pauvres, c’est d’amour quand je n’Ă©tais qu’une petite chose gigotante.
https://www2.series9.io/film/mapplethorpe
Et c’est pas pour des enculĂ©s de tarlouzes de merde, ce genre de film, n’est-ce pas.
PS: un film doublement gratuit puisque la licence globale n’existe pas (au profit des enculĂ©s d’hadopi, haha) et que donc, personne ne paye rien, mĂȘme pas un ou deux euros le mois, pour avoir un accĂšs global aux arts graphiques.
Exactement comme moi qui paye mon NDD et serveur pour vous montrer un site et mes créations photos, sans aucune publicité.
Et, de rien, hein.
‘Feminism’ for the 99%
mardi, juin 4th, 2019Une liberté
mardi, juin 4th, 2019“Toute information figurant sur sa plate-forme est accompagnĂ©e dâune source brute qui permet Ă chacun de la vĂ©rifier et de sâen emparer, ce qui supprime les privilĂšges que la caste journalistique sâest octroyĂ©s.
Un tel pari sur lâintelligence collective renverse les principes de notre temps. Au-delĂ de lâeffet de rĂ©vĂ©lation immĂ©diat, il permet lâĂ©mergence dâun regard critique partagĂ©, Ă©loignĂ© de toute forme de connivence. Devenu une sorte de mĂ©tamĂ©dia, WikiLeaks Ă©crase toute concurrence et suscite dâintenses jalousies.”
The french dictature (EN subs)
samedi, juin 1st, 2019The structural system of neoliberal capitalist pseudo democratia is made out of oligarchic power.
System has people to serve it. Killing (make them out of order-ing) those ones won’t change the system, but it’s a first step to decent life.
Let’s make them drink few liters of roundup from monsanto, as they say it’s very safe, for example.
Minettes!
mercredi, mai 29th, 2019Colette Renard – Les Nuits D’Une Demoiselle
Chatte nue.
mardi, mai 28th, 2019LĂšche ma chatte, redneck.
jeudi, mai 23rd, 2019L’art est forcĂ©ment politique
mercredi, mai 22nd, 2019TrÚs belle série de noir et blanc.
Marisa Papen et son Ă©quipe, et son (ses) photographes font vraiment un excellent travail.
https://www.marisapapen.com/stories/the-day-after-purim-by-gary-breckheimer
[Hey! brice willis de nice, tavu tavu? c’est un dĂ©tail de nu didonc, hein? pov’ guignol]
Les pattes
lundi, mai 20th, 2019On m’a cassĂ© les pattes alors que je n’en avais pas encore.
Ăa ne se voit pas, mais ça se sent. Ăa fait peur aux gens. Ils se disent “je ne le comprends pas”, “il y a quelque chose qui ne va pas”.
Le fait d’avoir les pattes cassĂ©es n’a qu’un intĂ©rĂȘt qui n’en est Ă©videmment pas un: il permet de reconnaĂźtre les salauds et les salopes. J’entends par lĂ les maltraitants et les maltraitantes, les toxiques, les profiteurs et les profiteuses, les mĂ©chants et les mĂ©chantes.
Ces individus sont en effet ceux qui aiment à profiter des plus faibles, pour compenser leur inaccomplissement définitif.
J’aime bien les mots d’argots parce qu’ils se rapprochent de la vĂ©ritĂ© vĂ©cue des victimes. L’argot devrait ĂȘtre rĂ©servĂ© aux victimes pour qualifier ceux qui commettent des exactions.
Ce sont des mots forts qui permettent Ă la fois d’exprimer la colĂšre ressentie par une injustice et de qualifier l’auteur de cette injustice avec une certaine exactitude, qui plus est comprĂ©hensible par tous.
Dans un monde technologique de science-fiction, un monde Ă©videmment sans libertĂ©, on verrait les salauds/salopes se balader avec en guise d’aurĂ©ole au dessus de la tĂȘte le mot “salaud” ou “salope”. Personne n’aurait le droit de les appeler ainsi, mais ils auraient leur bonnet d’Ăąne pendant une pĂ©riode variable, afin que chacun puisse savoir que ce sont lĂ des parias.
Dans la vraie vie, hĂ©las, c’est le contraire, ce sont Ă©videmment les justes qui sont accusĂ©s d’en vouloir Ă ceux qui savent par trop bien manipuler les masses.
Ce sont les victimes qui doivent combattre les mauvais, et en gĂ©nĂ©ral elles n’obtiennent jamais rĂ©paration. On le voit de plus en plus dans la sociĂ©tĂ© nĂ©o-libĂ©rale qui Ă©limine les services publics: la justice n’a plus les moyens de rendre la sociĂ©tĂ© vivable. A dĂ©faut de laisser la loi du plus fort (et donc du plus con) s’exercer, cette sociĂ©tĂ© fait le lit de la loi du plus riche. Quand on voit le gamin LagardĂšre on se demande qui, du plus fort ou du plus riche, est vraiment le plus con…
Les gens dits “normaux” avec une intelligence moyenne voire basse trouveront toujours des moyens de rĂ©futer les Ă©vidences. Ils penseront que, mĂȘme condamnĂ© par la justice par exemple (alors que c’est en gĂ©nĂ©ral dĂ©jĂ un miracle quand cela arrive avant la mort de l’inculpĂ©), tel ou telle homme ou femme politique trouve encore grĂące Ă leurs yeux.
Que justement la condamnation efface, en quelque sorte, le mal accompli.
Telles les racailles qu’ils ne peuvent pas sentir, ils se comporteront pourtant comme elles, glorifiant ceux qui ont dĂ©fiĂ© le droit et qui se trouvent finalement aurĂ©olĂ©s d’une condamnation.
Le commun semble rassurĂ© par ce genre de monde Ă la ramasse qui marche sur la tĂȘte.
Aphorisme #001
samedi, mai 18th, 2019Quand une mĂšre n’aime pas son enfant, qu’elle ne lui parle pas, qu’elle ne le considĂšre pas…
Voici comment l’enfant voit le monde, parfois toute sa vie:
Bon appĂ©tit les broutte-minous! đ
PS: pour ceux qui ne jurent que par les conneries pour dĂ©biles, du style la patrie, le drapeau, l’armĂ©e, la police, etc, reportez-vous sur les paquets de cigarettes dont le graphisme est fabriquĂ© par l’Ă©tat français. Montrez-les bien Ă vos gosses, aussi.
Et apprenez Ă penser, surtout đ
Refusé, deuxiÚme.
samedi, mai 18th, 2019J’ai rĂ©pondu qu’il ne fallait pas oublier le salon des refusĂ©s.
Qui se souvient des artistes et des Ćuvres de ceux qui ont prĂ©cĂ©dĂ©s les impressionistes? Pas grand monde. Et on ne parle mĂȘme pas de la valeur marchande des Ćuvres produites, puisque c’est la seule valable Ă notre Ă©poque nĂ©o-libĂ©rale capitaliste.
Qui se souvient de ceux qui Ă©taient en bonne place au salon des acceptĂ©s? Oui, ceux-lĂ mĂȘme qui ne sont plus rien, tandis que les refusĂ©s ont aujourd’hui toutes les faveurs et toute l’attention.
Alors oui, ce fameux salon des refusĂ©s, c’est une sacrĂ©e idĂ©e.
En tout cas, je viens d’Ă©conomiser mille balles en me faisant refuser du off libre d’Arles. J’avais vu ça, qu’une association, le collectif du hĂ©risson (avec un excellent logo, bravo au graphiste) proposait pour 1040 euros (adhĂ©sion + 950 ⏠de frais) l’exposition de photographes dans quelques galeries Ă Arles pendant le festival de la photo. J’Ă©tais prĂȘt Ă payer bien que cela m’aurait ruinĂ©.
Je reste donc trĂšs riche.
Je suis Ă©galement assez en colĂšre car je m’aperçois que le monde est vraiment un triste ramassis.
Mais baste! je prends cela comme une bienveillance qui m’Ă©pargne de cĂŽtoyer ceux qui n’en valent pas la peine. Bon, j’aurais bien aimĂ© visiter Arles quand mĂȘme. Zut quoi.
Aller, je me remets à mes prints et à mes contre-collés.
Le monde est vaste et l’art le multiplie Ă l’infini. Et il me reste, je crois, quatre amis.
FHP dĂ©verse 20 tonnes de sperme vĂ©ritable sur l’obĂ©lisque parisien pour cĂ©lĂ©brer la jouissance de l’oligarchie et des dominants sur la populace engluĂ©e
vendredi, mai 17th, 2019Geste artistique grandiĂŽse!
Aux oubliettes la roberta de clitoris avec son petit pot de sang menstruel Ă©talĂ© sur une photo qu’elle n’a mĂȘme pas crĂ©Ă©e!
OubliĂ© le plug anal de kapour le petit et son vagin mĂ©tallique (faudra lui dire que c’est la ceinture qu’est en mĂ©tal cloutĂ©e^^)!
Fini Ă jamais le minuscule koons avec ses jouets de pĂ©dophile grandeur “adulte”!
Haha! đ Le phallus de pierre a enfin Ă©jaculĂ©!
PS: et yen a partout đ … A quoi ça tient, l’ “art”.
Paris, paradis des vendus, ville de merdes.
mardi, mai 7th, 2019Action.
lundi, mai 6th, 2019Le refusé
lundi, avril 29th, 2019Depuis une gestation humaine que je recherche des modĂšles photographiques, je n’ai presque essuyĂ© que des raclures de plĂątre.
A l’exception de deux modĂšles femmes, correctes, Ă©duquĂ©es et discutantes, et avec lesquelles hĂ©las aucune session photographique n’a pu ĂȘtre faite en raison d’empĂȘchements indĂ©pendants de la volontĂ© des parties engagĂ©es -empĂȘchements qui ne peuvent ĂȘtre que d’un caractĂšre dĂ©finitif, tant la relation artiste modĂšle est tĂ©nue et fragile, les autres modĂšles et les photographes (peut-on mĂȘme les appeler ainsi?) avec qui j’ai eu des relations ne mĂ©ritaient pas que je perde mon temps.
Il y a parmi les modÚles femmes défrayées ou rémunérées plusieurs types:
Il y a celles qui recherchent de l’argent facile quitte Ă vous emmener dans un hĂŽtel -sous le prĂ©texte d’avoir Ă y dĂ©poser des affaires, par exemple- alors que le but d’une premiĂšre rencontre est de se connaĂźtre.
Un shooting de nu rĂ©unit en gĂ©nĂ©ral un photographe et un modĂšle qui ne se connaissent pas. Une discussion prĂ©alable est donc indispensable. Mais pour l’avoir vĂ©cu, il semblerait que certaines modĂšles se moquent pas mal de la discussion et recherchent l’argent avant tout, que ce soit pour une session photo ou pour tout autre prestation d’ordre plus intime.
Bon, c’est trĂšs dommage, mais je ne recherche pas de prestations de ce type et je dois avouer que j’ai encore moins le profil Ă payer pour ces menus plaisirs.
C’est comme ça, dĂ©solĂ©, mesdames đ
Il y a celles qui se permettent un jugement a priori alors qu’une sollicitation polie a Ă©tĂ© faite et qu’elles sont publiquement en demande de shooting.
Je mettrais cela sur le compte de la jeunesse et de la tĂȘte qui tourne sitĂŽt qu’arrivĂ©es Ă Paris et avec pour tout bagage une ou deux annĂ©es de “beaux-arts”, tout en se targant d’avoir un book (avec, en gĂ©nĂ©ral, des photos prises dans des boĂźtes Ă partouzes), elles commencent Ă se poudrer le nez et Ă imiter le comportement insultant et malheureusement caractĂ©ristique des habitants de la capitale française, qui ne sont effectivement pour la majoritĂ© que des culs-terreux venus de province. Il suffit de voir l’arrogance et la niaiserie des prĂ©sidents de la rĂ©publique pour s’en rendre compte (doit-on rappeler les “ceux qui ne sont rien” prononcĂ© par un de ceux-lĂ , justement; ou encore les “sans-dents” par un qui, s’il n’en avait pas, aurait sĂ»rement conservĂ© son poids de forme, etc, c’est VOS Ă©lites et VOS exemples, bande de nazes đ , pas les miens, pour sĂ»r ).
Ces adoptĂ©s de la pollution dĂ©cadente d’une capitale mourante sont l’affaire du monde puisqu’ils prĂ©tendent (et sont pris pour) la vitrine d’une “culture”.
De rayonnement il n’y a plus, obfusquĂ© par la pollution des Ăąmes autant que par celle de la bĂȘtise.
Heureusement, il y a de rares exceptions qui confirment ces tristes rĂšgles. Des mecs biens, des gonzesses bien. Oui, y’en a. Mais pas beaucoup đ
Ces perles rares parmi les modĂšles sont de celles qu’on aimerait solliciter Ă nouveau, puisque les rendez-vous manquĂ©s ne l’ont Ă©tĂ©, d’un cĂŽtĂ© comme de l’autre, qu’indĂ©pendamment de la bonne volontĂ© des parties.
Mais s’il y une rĂšgle Ă respecter dans toute relation, surtout naissante, c’est de ne jamais s’imposer.
Je n’insiste jamais auprĂšs d’inconnus. J’aurai Ă dĂ©couvrir bien d’autres perles. Le temps n’existe pas.
CÎté photographes:
Il y a ceux qui, rongĂ©s par le dĂ©sir fantasmatique de viol qui empreint chacun de leurs clichĂ©s, s’amusent Ă jouer aux chevaliers blancs en accusant d’autres de leurs vices propres.
On a déjà parlé trop longuement de ceux-là .
Il y a ceux Ă©galement qui s’adonnent ouvertement et avec l’aide de moult subventions parisiennes Ă une pornographie prostitutive dont le caractĂšre artistique, que l’on chercherait vainement, ne tient qu’Ă la mĂ©diocritĂ© des images, de la mise en scĂšne et de tout le reste.
Ceux-là sont adoubés par à peu prÚs toutes les institutions étatiques finançantes à tous les niveaux politiques géographiques.
Que reste-t-il aux trĂšs peu nombreux artistes dont la sensibilitĂ© est dĂ©gradĂ©e, brutalisĂ©e, utilisĂ©e Ă des fins viles et crasseuses par tous ces mĂ©diocres qui n’existent que dans un temps et un espace tout aussi vains que l’est leur nullitĂ©?
Il n’y a plus d’artistes, et ma tour d’argent est bien plus rouge et turgescente que l’ivoire d’un sceptre artificiel et malĂ©fique, brandi par les muets de l’Ăąme.
Monde, je ne t’Ă©coute plus, je te donne et tu ne pay (EN) aucune attention (EN/FR).
Je ne regrette aucune de mes insultes, réfléchies ou sous le coup de la colÚre.
Monde, je t’emmerde, ad vitam and with much love đ … ’cause you are my sunshine! https://www.youtube.com/watch?v=E5_j91FjsXM
Le premier de mai 2019
vendredi, avril 26th, 2019De la niaiserie française
vendredi, avril 26th, 2019S’il est un terme plĂ©onasmatique de ce qu’est l’essence ontologique de la France ou des Français et Françaises en gĂ©nĂ©ral, c’est bien la niaiserie.
Oh, il y en a bien quelques-uns qui se dĂ©partissent de cet engluage, c’est certain (Branco, Sauron, Lacan, Dolto, et moi ^^ hihi).
Je m’efforce de trouver, par moult messages et autres polies dĂ©marches, des modĂšles photographiques.
Bien sĂ»r, il y a des dĂ©convenues. Merde! Il n’y a QUE des dĂ©convenues đ
Quelques jeunes foutrasses se permettent mĂȘme de me dire qu’un blog n’est pas un book (en fransse il faut avoir un pseudo book sur une plate-forme de MERDE pour arriver Ă faire croire aux esprits couillons qu’il y a un brin de sĂ©rieux…).
Putaing! Ya vraiment des gourdasses niveau maternelle bac moins 500 et des crĂ©tins sans jugeote qui rĂ©clament un SIRET qu’ils sont infoutus (les salopards dĂ©cĂ©rĂ©brĂ©s) de trouver!
Ma patience n’a pourtant aucune limite, malgrĂ© les injures et le vocable peu choisi (?) que j’aime Ă employer.
Tout rĂ©cemment, une jeune fraĂźchement arrivĂ©e dans le tout-petit-paris de la photo s’est mĂȘme permise de remettre en doute ma culture punk.
Fausse fĂ©ministe, probablement, qui doit voir dans le mot buzzcocks un outil de vibration sexuelle, au lieu d’un groupe d’Ă©tudiants en philo du nord de l’Angleterre qui a fait fureur Ă l’Ă©poque punk. Et ce n’est que l’un des plus connus.
J’en ai marre, les amis. Je vais sortir le tromblon et les coups vont partir pendant les nettoyages rĂ©currents.
Ou tout simplement, je vais quitter ce pays de merde et ses connards de citoyens đ