Archive for the ‘histoire de l’art’ Category

Athlétique

samedi, septembre 24th, 2022

 

T’excite pas coco, y’a rien de plus grand sur le serveur, zoom des pixels, s’tou 😉
@2005, chaudasses 😉 vous pouvez dé-mouiller.

Connexion

vendredi, avril 1st, 2022

L’artiste est toujours connecté à lui-même.
Non qu’il se gorge d’égocentrisme fallacieux, dont pourtant certains faux artistes, des imposteurs comme il y en a pléthore, aiment à le dire (!), mais bien plutôt qu’il suive sa Voie.
En connexion avec son tao, et du même coup avec le Tao, ce qui n’est pas rien.
C’est pourquoi le véritable artiste est multiple. Il est simple de voir comment un glissement a été effectué entre le supposé unique véritable artiste connu et l’une de ses œuvres, mineure. Leonardo da Vinci.
On célèbre la Joconde alors que c’est un banal portrait créé par un artiste pour le moins pas banal du tout, lui.
Mais voilà, le mitote (le rêve noir de l’humanité) est ainsi fait qu’il fait tomber un voile opaque sur la Vérité.

L’art totalitaire du capital

mercredi, décembre 8th, 2021

Le bien dans l’art

lundi, décembre 6th, 2021

Ce qu’il y a de bien dans l’art, dans la création, c’est qu’il n’y a personne pour te dire que “tu roules trop vite” ou que “tu n’as pas de passe sanitaire”.
Dans l’art, le seul gros connard qui t’emmerde, c’est toi-même.

Francis Bacon

jeudi, juin 24th, 2021

 

https://www.causefreudienne.net/event/le-corps-dans-tous-ses-eclats-2/

https://journees.causefreudienne.org/bacon-un-peintre-du-reel/

Mapplethorpe, de la photo un art

samedi, juillet 11th, 2020

Excellent documentaire (incroyable pour une production destinée à la tévé) avec des films et des images d’archive, les voix de Mapplethorpe et de ceux qui l’ont connu, etc. A voir obligatoirement pour comprendre l’ambition de ce jeune homme, mais également son talent.
Disponible jusqu’en octobre 2020.

https://www.arte.tv/fr/videos/067833-000-A/mapplethorpe-look-at-the-pictures/

 

Jewish prick fags

jeudi, mai 14th, 2020

Le crocodile bouffe le tigre et chie sur le fromage et le jambon. T’es une petite merde, littéralement une chiure, une raclure, président.
Sinon, ça va les députées et porte-parole fifilles de nègres engrossés de quelques générations de colonisateurs bien blancs?
Mieux que la branlette de griveaux? #caniveaux

 

Outrecuidance d’un système de domination

samedi, février 22nd, 2020

La publication de communications vidéos pornographiques et textuelles d’un homme politique enmarcheur (benjamin griveaux) avec une maîtresse sexuelle (Alexandra De Taddeo) est utilisée par la propagande politico-médiatique pour renforcer le système que ces publications étaient censées dénoncer.
L’acte de divulgation d’images privées sans le consentement des personnes y figurant étant puni par la loi, les médias auraient pu s’arrêter là. Au contraire, les médias français, étant “tenus par les couilles”, si j’ose dire, par ceux qui profitent de l’argent des contribuables et de l’Etat et décident de la politique en faisant élire qui ils veulent, se sont évertués à désigner des coupables en plus de celui qui revendiquait publiquement son acte et à gloser sur d’autres sujets que la tromperie dénoncée.
Méthode classique du détournement de l’attention en utilisant le prétexte d’une action bien ciblée pour rebondir sur des sujets n’ayant rien à voir avec.

Quant au contenu: les textes sont sans ambiguité, il s’agit bien d’une conversation à teneur sexuelle dont le seul but est l’excitation sexuelle et la finalité l’acte sexuel lui-même  [pour les djeunz, “en mode j’vais conclure, vive la schneck, mate ma teub”].
Les vidéos sont à caractère pornographique, elle montrent un pénis en érection, masturbé de la main gauche pendant que la main droite tient le téléphone qui filme la scène en promenant l’objectif du pénis aux testicules puis en y revenant.
Le “caractère sexuel” tel qu’il est décrit est donc déjà, dans le discours de la propagande médiatique et politique, une minoration de la nature de l’acte.

 

En tant qu’activité humaine l’art est évidemment une activité politique et un moyen d’expression engagé.
A ceux qui ne verraient dans l’art qu’une tentative d’expression du “beau”, je conseille de regarder un coucher de soleil par eux-mêmes, une fleur ou même leurs congénères, directement, sans y mettre aucune émotion. C’est BO.
Quant à “l’art pour l’art”, cher à Baudelaire, il faut bien se rendre à l’évidence, c’était un subterfuge audacieux. Petit coquinou, va.
L’art est la conjonction d’une technique artificielle et du sens que l’on donne à l’œuvre produite, par un titre, un contexte, une portée, un dessein.

La performance artistique de Pyotr Pavlensky est d’abord un acte dissident car il est illégal dans le droit français. Sa portée politique ne s’est pas fait attendre car l’homme visé par la mostra de son hypocrisie -telle est le ressort que donne l’auteur à sa performance,  a démissionné de sa candidature à la mairie de la ville de Paris.
Se faisant, et ne portant plainte contre x QUE pour violation de la vie privée, il avouait que c’était bien lui qui était l’auteur de ces messages textuels et vidéos peu flatteurs pour sa probité aussi bien familiale que personnelle. L’artiste prétend que c’est là le signe que son engagement politique est aussi sérieux  que celui qu’il met dans le mariage et la famille.
Il semblerait pourtant qu’à l’heure de #metoo et des dénonciations de violences sexuelles qui s’enchaînent quasiment chaque jours dans tous les milieux, ce que les politiques et leurs valets les médias appellent la “classe politique” soit unanime, de tous bords, à condamner la violation de la vie privée mais pas le sérieux du mariage et de la “valeur” famille que pourtant ils rabâchent quand cela les arrangent.
Focaliser sur autre chose que le sujet véritable, autre méthode du détournement de l’attention (par exemple, la santé des époux balkany au lieu de leur méfaits au détriment des contribuables citoyens pendant des dizaines d’années).

Les mains de benjamin (image d’un porte-parole gouvernemental).

Il souffre d’onychophagie. C’est un trouble de type obsessionnel compulsif d’après le DSM-V, signe d’une très grande anxiété.
Il est le seul à pouvoir faire l’effort de consulter afin de mettre fin à ses troubles qui en disent long, à mon avis, sur ses parents, notaire et avocat de professions.
Je m’arrête là, je ne gagne pas 20000 euros par mois comme lui, p’tit fou à la crème 🙂

Fascination X

samedi, novembre 16th, 2019

C’est un papier d’emballage, quelques feuilles d’un Libé d’octobre 2019.
Il n’y a pas de hasard.
Il emballait mes deux nouveaux objectifs ou plutôt mes convertisseurs. Le 35 mm est l’excellence même, discret, équilibré, quand on sait shooter, il laisse à l’artiste pleine liberté.
Mais bon. Si jamais on trouvait quelque modèle, le 50 mm s’impose. Et le 28 mm, là, c’est charnel.
Du coup, hop, la panoplie complète et totale du X100, l’original et son capteur sans égal (même si ce n’est qu’un 12 comparé au 20 des suivants).
M’enfin, seuls les artistes peuvent comprendre cela; l’opinion, la distance, la focale. Une pointe de tech.

Nombre de photographes ne sont que des esclaves du matériel, et en plus, ils vont nous bassiner avec leurs réglages à chaque cliché. Quel cliché du pauvre d’esprit! Quelle vanité!

L’art ne réside pas dans le média ni dans le matériel. Dois-je préciser?

On lira avec attention quelques liens:
http://lemagazine.jeudepaume.org/2019/10/art-hujar-solomon-godeau/ 
(il y a plusieurs liens intéressants en bas de l’article, d’ailleurs)

Les chanceux qui habitent le grand creux de Paris pourront faire un tour dans cette exposition (jusqu’au 19 janvier 2020) et se rendre compte de leur inanité.
;P

Irina

lundi, novembre 4th, 2019

Irina Ionesco déclare à propos de son travail de photographe :

“La photographie est pour moi un élément essentiellement poétique, je l’envisage comme une écriture théâtrale, où je fixe dans un déroulement obsessionnel et incessant tous mes fantasmes. Chaque séance, mise en scène, est conçue comme une séquence théâtrale, intègre la femme dans un univers de rêve, où elle-même est mythique, multiple, inventée, et revêt tour à tour les facettes des mille miroirs dans lesquels l’artiste se plonge. Je ne conçois l’érotisme qu’à travers une dimension métaphysique. J’aime l’excès, l’onirisme, l’insolite. Aussi, je fais mienne cette phrase de Baudelaire : “Dans l’art, il n’y a que le bizarre qui soit beau”.

https://irina-ionesco.com/biographie/

Je viens de voir “my little princess” de Eva Ionesco, la fille d’Irina, qui raconte une partie de sa vie, la vie de la fille de la célèbre photographe.
Gratuitement, il va sans dire puisqu’Internet permet un accès quasi total à ce que les simplets du système appellent la “culture” (en fait l’art). Bon, la plupart des gens n’utilisent le réseau que pour s’envoyer des messages dans un style papier hygiénique, m’enfin, ça, je n’y peux rien.
Je reste dubitatif face à l’écrit d’Irina (également dispo sur le web) et au film de sa fille.
Il est évident qu’Irina a développé un talent artistique certain, mais il semblerait que ce soit aux dépends de sa fille, pour compenser ce qu’elle-même avait subi étant plus jeune.

C’est terrible.
L’époque l’a permis.
Eva dit de sa mère qu’elle est le fruit d’un inceste.

Il semblerait que l’écriture soit plus à même d’être tolérée que l’image. L’image fait peur. Elle semble la réalité alors qu’elle n’est, tout autant que la peinture, qu’un pâle reflet d’une symbolique et d’un indicible.
Mais l’image est d’un accès instantané, inévitable.

Je n’excuse pas, ce faisant, l’attitude d’Irina, mais je la comprends. Elle a pu, à sa façon, blessante pour sa fille, soit, mais à sa façon, créer à partir de traumas.
Évidemment, combattre ou sublimer un trauma en en créant un autre, qui plus est sur une personne fragile et vulnérable, en profitant de son état, n’est pas souhaitable.

Mais comme le disait Paul Claudel, la résilience (resiliency qu’il ne parvenait pas à traduire) a surtout été un trait des Américains.

“En 1936, le Français Paul Claudel, alors ambassadeur à Washington, pouvait écrire à propos de la crise financière de 1929 : « Il y a dans le tempérament américain une qualité que l’on traduit là-bas par le mot resiliency, pour lequel je ne trouve pas en français de correspondant exact, car il unit les idées d’élasticité, de ressort, de ressource et de bonne humeur. […] Et si quelques financiers se jetaient par la fenêtre, je ne puis m’empêcher de croire que c’était dans l’espérance fallacieuse de rebondir » (Claudel, 1965, p. 1205).”
https://journals.openedition.org/sociologies/6633 ( La résilience comme attitude face au malheur : succès et usages des ouvrages de Boris Cyrulnik, Nicolas Marquis)

Voir également – comme il n’y a pas de hasard! –

Sublimation et résilience : Paul et Camille Claudel
Silke Schauder
Dans Bulletin de psychologie 2010/6 (Numéro 510), pages 445 à 448

https://www.cairn.info/article.php?ID_ARTICLE=BUPSY_510_0445

La seule chose qui vaille la peine dans toute l’humanité, ce sont les enfants et la liberté.

C’est facile à dire, mais voilà ce qui est dans la balance.
Et finalement Greta Thunberg est un très bon exemple, bien qu’utilisé par des adultes sans scrupules, de ce qu’est la conscience et la liberté.

https://www.telerama.fr/scenes/irina-ionesco-photographe-libre-mere-perverse,130438.php

https://next.liberation.fr/livres/2017/08/28/eva-ionesco-l-innocence-retrouvee_1592523

https://next.liberation.fr/culture/2010/07/22/eva-ionesco-tombee-des-nus_667609

Vulnerable nudity

jeudi, octobre 24th, 2019

A girlfriend of mine, from quite some time ago, told me that nudity means vulnerability.
I guess it’s quite right.

“Many of their works contain nudity, which emphasizes the vulnerability of humans and transforms their appearance so they do not have everyday human bodies. Eiko, when asked about this aspect of their work in an interview, is quoted as saying, “A fish is naked and stone is naked. Why not us?””

https://en.wikipedia.org/wiki/Eiko_%26_Koma#Artistic_style

I wonder why fake female artists (mostly well-known billionaire singers and actresses) seem to keep on showing their panties and body shapes in a manner that completely discredit their famous #metoo.
I know times they aren’t a changing and it’s down to artists to keep humanity aware of human condition and to fight domination.
But it seems that nudity is reserved to some circles like porn or homosexuality or female pseudo artists. Ok, that’s for the common of people, the TV watching people.
But so many of them are using the web to keep their fate in the low and dirty layers. Some use some tricks too, as they can be perfectly stupid but refer to some glossy art newspapers. Double fool.

Nudity has a purpose, it has to be said and told to the dumbs, and not overused.

Faire un truc complètement con, est-ce vraiment “cool”?

lundi, octobre 14th, 2019

Bah, on s’en bat les couilles.
Et cela me rapelle l’unique avertissement officiel que j’ai eu au lycée, suite à l’inscription hautement culturelle du titre des Sex Pistols sur la buée d’une vitre de la salle de classe: “never mind the bollocks”.
Il est probable que ce soit plus le refus d’effacer la sentence que les mots eux-mêmes qui soient à l’origine de ce ridicule effet de domination administratif.

Bref. J’ai signé parce qu’au moins je suis absolument certain que ça ne sert à rien.

La photographie en tant qu’art

dimanche, septembre 22nd, 2019

Patrick Talbot, « La photographie en tant qu’art », Le Portique [En ligne], 30 | 2013, document 4, mis en ligne le 01 juillet 2015, consulté le 21 septembre 2019. URL : http://journals.openedition.org/leportique/2635

Vive l’histoire de l’art! … mais qu’est-ce que c’est chiant, non? 🙂

Hadopi = gaspi

lundi, juin 3rd, 2019

Alors ce machin, c’est 4 millions (sûrement plus) d’argent public dépensé par an, pour pantoufler 40 copains des rupins, et ça sert à rien, sauf à entretenir les susdits rupins (je viens de résumer Crépuscule de Branco, là, non? 🙂 )

En plus ils en sont très fiers, ces cons!

https://www2.series9.io//film/colette

PS: il y a des millions de sites comme ça, hein, au cas où vous prendrait l’envie d’essayer de faire quoi que ce soit de stupide -puisque vous ne savez rien faire d’autre.

 

The Pucci

samedi, mai 25th, 2019

FHP déverse 20 tonnes de sperme véritable sur l’obélisque parisien pour célébrer la jouissance de l’oligarchie et des dominants sur la populace engluée

vendredi, mai 17th, 2019

Geste artistique grandiôse!
Aux oubliettes la roberta de clitoris avec son petit pot de sang menstruel étalé sur une photo qu’elle n’a même pas créée!
Oublié le plug anal de kapour le petit et son vagin métallique (faudra lui dire que c’est la ceinture qu’est en métal cloutée^^)!
Fini à jamais le minuscule koons avec ses jouets de pédophile grandeur “adulte”!

Haha! 🙂 Le phallus de pierre a enfin éjaculé!

PS: et yen a partout 😉 … A quoi ça tient, l’ “art”.

A touch of Japan

vendredi, mars 22nd, 2019

For sale 50 grands each 🙂

Hemispheric touch of japan.

Milo Moiré written lapsus

jeudi, août 9th, 2018

Hi Milo 🙂
Quite a great one!
Beside not functionning for dumb web users ^^
“con” in french means PUSSY, and is used as an insult for MEN… like cretin, idiot, asshole, etc 😀

Try to correct it ASAP! 😉

https://www.instagram.com/milomoire/

PS: I will use the .com one 😉 ’cause I want to com unik ate with you.
PS²: it’s really a written lapsus, because all other Milo’s websites use the real and correct email.

Milo Moiré

mardi, août 7th, 2018

La femme parfaite existe. Elle s’appelle Milo Moiré et a été dotée d’un corps parfait.
Mais si elle est parfaite, c’est parce qu’elle aime. Elle donne gratuitement (ou presque 😉 ) à tous le plaisir de pouvoir admirer ce que la nature a fait de mieux: la femme.
Elle donne même beaucoup plus que l’image de son corps puisque ses performances sont également sexuelles. On peut toucher, on peut pénétrer.
En public.
Et si elle est si parfaite, c’est qu’elle a choisi d’être artiste plutôt que mannequin ou miss, qui sont réservés à ceux dont l’esprit étriqué ne comprend pas le monde dans sa réalité.
Ses textes sont courts mais éloquents pour ceux qui ont franchi les barrières de vents.
Et puis il faut saluer l’excellent photographe Peter Palm dont les clichés pourraient me rendre jaloux 😉

EDIT: Sa vidéo TEDx, visible sans se loguer chez ces cons de Youtube, si vous la regardez sur CETTE PAGE 😉
Si ça vous en fout un coup, c’est que vous n’êtes pas encore sortis de la matrice…
Si vous êtes d’accord avec elle… qu’est-ce que vous foutez ici? ^^

“The individual preferences for art, which are varied and changeable, are not be confused with the importance of art for humanity. It reveals not only our genetic relationship, but also our desire to make our lives worth living.” Milo Moiré.

Les entretiens presque imaginaires…

dimanche, août 5th, 2018

CE: Bonjour F.H.P. Lornet, vous avez mis au vu et au su du monde entier vos genitalia en scène sur une photo, quel était le but de la manœuvre?
F.H.P.: C’est un acte artistique et d’abord une réponse à Déborah de Robertis qui m’a insulté en se voulant castratrice, elle a agit avec moi comme elle le fait avec le reste du monde. J’ai voulu mettre fin à cette période douloureuse pour elle autant que pour moi.
J’ai donc utilisé le même principe qui lui tient tant à cœur en le hackant: utiliser, non pas l’œuvre d’un autre à son profit, ce qu’elle fait, mais ses créations intellectuelles.
CE: Une querelle d’artistes?
F.H.P.: Oui, je l’ai exprimé ainsi, mais c’est bien plus une querelle philosophique à propos des relations humaines via un support artistique. Qu’y a-t-il d’autre dans la vie?
CE: Comment l’a-t-elle pris?
F.H.P.: Je n’en sais rien, mais je lui laisse le temps de répondre et la possibilité de ne jamais le faire. J’espère qu’elle apprécie autant mon geste que mon œuvre… et ce qu’elle représente, bien sûr 😉
CE: Sur les réseaux sociaux, elle a de nombreux suiveurs, vous n’en avez aucun. Pourquoi?
F.H.P.: je n’aime pas les suiveurs, j’exècre facebook, je n’utilise que LI et TW. Qu’ils vivent leur vie, tous, comme je la vis dorénavant avec amour et bonheur.
CE: Vous parlez d’amour et pourtant semblez distant.
F.H.P.: Et vous? 🙂
CE: Pour revenir aux suiveurs, vous suivez pourtant quelques personnes?
F.H.P.: C’est vrai, c’est donc que je ne suis pas si distant que ça et que je m’autorise à ne pas m’aimer autant que le contraire.
CE: Un mot à faire passer?
F.H.P.: Oui, je pense que son œuvre la plus réussie est la photo mimant l’Olympia de Manet, car d’abord c’est une photo et ensuite parce qu’elle est réussie.
Il manque cependant la servante noire et le chat. Si j’étais chafouin (vous verrez ça quand ma correspondance privée avec elle sera publiée, donc lorsque nous serons morts et que les ayants-droits l’auront autorisé), je dirais que cela fait écho à ce que je lui reprochais alors: ne pas payer ceux qui travaillent c’est de l’esclavagisme. Period.
Mais du coup, je lui proposerais bien une collaboration en tant que photographe, puisqu’elle aime ainsi exposer son corps.
Collaboration artistique et contractuellement écrite, évidemment 😉
On pourrait s’amuser! … Mais vaste est la matrice, disons-le ainsi, et nul ne peut enfreindre la liberté des uns, et le manque cruel qu’en ont tous les autres…