Le sport, sauf à pratiquer soi-même une activité physique de façon très narcissique d’ailleurs, est d’une inutilité qui confine à la das hubrys de l’humanité, comparé à l’art.
L’art est présent, qu’il soit musical, pictural, sculptural, voire simplement rêval. Présent ou pas, on peut l’imaginer, seul, le fredonner, le voir, le penser.
Le sport n’est qu’un substitut de vie, illusoire.
Le sport confine à la guerre, à la mort inévitable, au meurtre de la pensée.