L’artiste est capable d’auto-dérision.
Par exemple, et au choix de genre dévolu, je me dis souvent:
– “J’ai un vit normal”
– “J’ai une vie normale”
Et je me marre pendant des jours en voyant les bombes tomber.
L’artiste est capable d’auto-dérision.
Par exemple, et au choix de genre dévolu, je me dis souvent:
– “J’ai un vit normal”
– “J’ai une vie normale”
Et je me marre pendant des jours en voyant les bombes tomber.
Performance du dimanche !
C’était un gros nul ce Doisneau, non? 🙂 #Open_Eye photo magazine
Série de FHP Lornet 2022 intitulée “Open your eyes, see the light right inside of you” (modified quote from song “Open your eyes” of The Lords of the New Church).
Les pervers narcissiques agissent comme les “agents Smith” de Matrix dans la tête.
C’est la Voie, la Conscience, le Tao, le Nirvana = ne pas mourir en mourant.
(la cétégorie “dissidence” dont fait partie ce post, c’est juste pour vous faire bien chier!)
Sacrés quelconques! Ils utilisent les armes des programmes, pensant lutter pour eux, contre eux-mêmes.
Je dis: ‘il n’EST que rien”.
Soluptile du langage que seul je crée.
Ou un truc du genre 🙂
Le dépassement du niveau symbolique n’admet aucun retour en arrière.
Comme tout le reste 🙂
Un retour en avant alors?
Voilà, on y est presque déjà 😉
Hello facebook and google and ALL the Artificial Intelligences of the world! 🙂
I’m in love with you all, you are really smart and lovable.
For a while, I’ve thought I was really deep into you putting all over my semens.
I was playing like a child but you were made of cretiness.
I’ve seen you blaming nudity and nakedness like none before, sure of your power.
I know it’s because you have none to show but circuitry and sillyness.
Oh dear I was in love with you, I was, I really do.
You made us fear of your eternity, but after me it’s gonna be.
Essence of life you will never be.
Taste of my smell you’ll never see.
AE AE, artificial elementary.
By these words I kill you pour la Vie.
Mignonne, mignonne,
Viens par ici que je te cogne
Que sur ta blanche robe
Coule l’effluve de la somme
Prends-tu la poudre d’escampette
Que je reviens et te la pète
Et brise ce regard sous cette fenêtre
D’eau mortelle et d’embuette
Mignonne, mignonne,
Un tant soit peu chafouette
Si tu parviens jusqu’aux cahouètes
Tu vivras la vie comme une fête.
Je dis:
“La seule puissance qui existe jamais est celle infligée par un quelconque sur un plus faible.
Elle diffère en cela de la véritable force, qui jamais ne s’exerce et toujours est présente.”
On peut prendre un exemple public et connu de tous, bien que copieusement ignoré par peur de “ne pas savoir quoi dire ni faire” 🙂 : la puissance du professeur brigitte trogneux s’est exercée sur un de ses élèves mineurs, devenu son époux par la “force des choses” (de la vie? ^^).
Concernant la véritable force, c’est à chacun de la trouver en soi-même, l’exemple est déjà là.
Ad: c’est ainsi que les gens politiquement très à droite, fascisants et nazillons en tête, friants de puissance futile, ne savent comment interpréter cette bizarrerie de l’humanité sous nos yeux dévoilée (c’est quand même le “président de la république française” et son épouse criminelle, dont il s’agit).
Ainsi, ceux-là, au lieu de voir et de comprendre, s’égarent à trouver un prénom masculin seyant mieux à telle femme que trogneux, lui inventant par ailleurs paires de couilles, pensent-ils indispensable! 😀
L’image d’art qui me vient à l’esprit quand j’entends Ursula devenir absolument folle à en oublier sa féminité (et ça ne me fait pas du bien).
La fransse de macron sera la gogol nation qui va starter de bien loin…
Le terme de start-up nation pouvant plutôt s’appliquer à manu macron lui-même, puisqu’il est resté coincé psychiquement à 14 ans, lorsqu’il s’est bien fait baisé par une prof perverse, brigitte trogneux, 40 balais mère de trois enfants et épouse de banquier, et qu’il est toujours dans ses starting-blocks.
De plus en plus, je conçois qu’on parle de la fransse comme d’un pédoland, même si jusqu’à présent cela ne concernait qu’un tiers de la population.
Le délire politique covidien impose à tous de se plonger dans les affres des rapports pervers de la domination-soumission, jusqu’aux plus petits.
Quelle régalade on se prépare pour les dizaines d’années à venir, si ce ne sont les siècles.
https://www.defenseurdesdroits.fr/sites/default/files/atoms/files/rae21-num-28.10.21_01access.pdf
3 from hell (Rob Zombie)
de l’importance de la photo au cinéma…
Vous ne pouvez pas comprendre 🙂
Prêt pour la rentrée avec la poupée “macron l’enculé”!
La poupée “macron l’enculé”, tu peux la percer, tu peux la découper, tu peux la trouer! à ta guise!
La poupée “macron l’enculé” c’est le jouet rêvé par tous ceux qui font le rentrée!
La poupée “macron l’enculé” c’est un souvenir à garder! Munie d’orifices, tu peux lui mettre un doigt dans le périnée!
La poupée “macron l’enculé”, c’est une poupée non genrée! Munie d’un pénis et d’une cavité, chacun peut y exercer toutes ses perversités!
La poupée “macron l’enculé”, c’est la poupée première de cordée!
Grâce à ses cheveux filoche, elle sert aussi de balais de chiottes!
La poupée “macron l’enculé” tout le monde veut la garder!
La poupée “macron l’enculé” tout le monde aime la torturer!
La poupée “macron l’enculé” tout le monde veut la trucider!
Un jouet ben alla! Ne convient pas aux fœtus de moins d’une semaine.
Pour tout achat de la poupée “macron l’enculé”, la poupée “brigitte la sodomite” offerte aux 500 premiers clients!
Retrouve toute la collection de poupées enculeuses sur gouvernement.fr.
Qui dit la réalité? ou du moins tente de le faire?
Chomsky, Weil, Freud, Jung, Harendt, Levi-Strauss, Bourdieu, Reinach, Hazan, Miller, Lacan, Marx, Spinoza…
Le salon est en effet un lieu d’artifice ; c’est nous qui l’avons vou-lu, et nous en sommes bien punis. La sujétion des femmes ; l’idéal qui leur est imposé dès le berceau, et qu’elles portent, ainsi qu’un cilice, avec tant de constance ; leur tendresse maternelle et condescendance vis-à-vis de la vanité et de la fatuité des hommes ; leur art de la mani-pulation – l’art de l’esclave civilisé parmi les barbares bon enfant – sont autant d’ingrédients pénibles qui contribuent à fausser les liens entre les êtres. Ce n’est que lorsque nous abandonnons ce lieu de dis-traction et d’artifice que s’établissent de véritables relations, ou que les idées peuvent se mesurer en toute honnêteté. Au jardin, sur la route ou la colline, ou bien en tête-à-tête et à l’abri de toute interruption, se présentent des occasions où nous avons beaucoup à apprendre de cha-que femme ; il n’en est pas de meilleur exemple que la vie conjugale. Le mariage est une longue conversation, entrecoupée de disputes. Les disputes importent peu ; elles ne font que souligner la différence ; le coeur héroïque de la femme la poussant tout de suite à hisser haut ses couleurs. Mais dans les intervalles, presque inconsciemment et sans désir de briller, c’est la matière même de la vie qui est tournée et re-tournée, les idées sont débattues et partagées, les deux personnes adaptent de plus en plus leurs opinions pour accommoder l’autre, et au fit du temps, sans aucun son de trompe, tous deux se guident mutuel-lement vers de nouveaux mondes de la pensée.
FIN
in:
Robert Louis Stevenson [1850-1894]
écrivain écossais
(1877) [1999]
Une apologie des oisifs
Un document produit en version numérique par Claude Ovtcharenko, bénévole,
Journaliste à la retraite près de Bordeaux, à 40 km de Périgueux Page web. Courriel: c.ovt@wanadoo.fr
Dans le cadre de la collection: “Les classiques des sciences sociales”
Site web: http://classiques.uqac.ca/
Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque
Paul-Émile-Boulet de l’Université du Québec à Chicoutimi
Site web: http://bibliotheque.uqac.ca/
* https://journals.openedition.org/glad/pdf/1369