Archive for the ‘Contre toutes les violences’ Category

Un enculé de salaud

lundi, mai 20th, 2019

J’ai bien envie de vous raconter la vie d’un enculé de salaud que j’ai un peu connu, à mes dépens.
Enculé parce que c’est un homosexuel mâle. Et salaud pour l’ensemble de son œuvre.
Il s’appelle David G. Comme Gogol ou Grossemerde.
Quand on était ado ou jeunes adultes, c’était celui qui, ayant infiltré la petite bande qu’il pensait bourgeois d’une ville de même acabit, avait déjà eu plusieurs voitures alors qu’il n’avait même pas le permis. Il avait même emmené au tribunal un vendeur de fiat uno pour vice caché. Alors qu’il n’avait pas le permis!
Je crois bien qu’il avait gagné.
C’est dire le niveau de saloperie de l’individu.
Plus révélateur encore, alors qu’il avait acheté une 2CV de collection pour ne pas avoir à payer la vignette (les voitures de collection en étaient dispensées) et qu’il nous emmenait faire un tour en campagne, il s’est subitement arrêté. Se retournant vers les passagers, il escroqua 10 francs par-ci par-là “pour payer l’essence”…
Sous peine de nous lâcher à quelques kilomètres de nos foyers et surtout de gâcher la promenade.
C’est ainsi que les salauds agissent. Leur petitesse d’esprit se nourrit de la menace et du chantage.

Ce simple portrait démontre déjà quelle est l’attitude des pervers envers l’argent.
Il habitait un quartier dit pourri, de pauvres. Pourtant, que ce soit vrai ou pas, il avait hérité de plusieurs dizaines de milliers de francs de je ne sais qui, alors à peine adulte. C’est vrai qu’il pouvait dépenser sans compter pour acheter des disques. Pas autant que d’autres véritablement plus fortunés, mais beaucoup plus que la plupart de ceux qu’ils considérait comme “plus avantagés” que lui.

Sa perversion était de faire croire qu’il était dépourvu face à ceux qu’il croyait nantis alors que c’est probablement le contraire dont il s’agissait.
De plus, cette perversion s’ancrait dans des objets, à savoir l’argent, sans aucun rapport avec la réalité vécue, celle forcément psychologique.
Comme c’est plus simple, n’est-ce pas?

Cette individu donc, dont la veulerie est la marque de fabrique, avait menti en prétendant que c’était sa tante (plutôt que sa mère) qui était venu nous voir jouer à une fête de la musique. Bon. Il en avait honte parce qu’elle était en longue maladie, en surpoids, etc.
C’est le même individu qui m’avait dit que “on ne juge pas ses parents, jamais!”
Un sacré connard, non? pour dire le contraire de ce qu’il faisait de façon non justifiée d’ailleurs.

Mais le geste qui restera à jamais un motif valable pour l’éliminer vient ensuite.

Son père est mort, cachetons, alcool, tout seul dans sa bicoque, on ne sait pas trop.
C’est à la crémation que j’ai rencontré sa mère et du peu que j’en ai connu, je pense qu’elle ne méritait pas la honte qu’il avait d’elle. Mais comment savoir?
Là n’est pas l’importance.
Pour soutenir cet enculé de salopard, je m’étais fait beau pour honorer la mémoire de son père que je ne connaissais pas d’ailleurs.
Bon.

Quelques jours après, lui qui n’arrêtait pas de chier sur la compagne d’un de mes amis d’enfance, qui tenait un magasin de vêtements, a fait croire que c’était moi qui critiquait cette pauvre femme.
Oh, non qu’elle était exempte de défauts, c’est certain. Je me rappellerai toujours qu’elle disait à sa fille de 2 ans “t’es une petite pute”, confondant sans doute ce qu’elle était elle-même ou ce qu’elle pensait d’elle-même dans un sursaut de lucidité avec ce que sa fille, évidemment, ne pouvait être.
[Oui, c’est une mère toxique et mauvaise, quand bien même elle le disait avec le sourire, mais, et surtout, devant un couple d’amis]

C’était en 2007, je commençais à peine mon activité de graphiste.

Par cet acte odieux de salaud, David G. a détruit une amitié datant de la maternelle que j’avais avec Mathieu M.
Lui qui était plus ou moins également graphiste (en se vantant de ne pas payer ses cotisation sociales bien qu’étant à la MDA, il faisait ainsi son balkany ou son cahuzac, bref, il se reconnaissait dans les pires salauds que la terre ait porté, il est de cette race de vermine) a dû penser qu’ainsi, et cela advint, il pourrait tirer quelques fric de la communication graphique d’un magasin de vêtements puis du restaurant que le couple allait bientôt acheter et monter.
Mais plus que cela, il enviait les relations affectives et d’amitié, s’amusant à les détruire comme un rat dont il a d’ailleurs la tête.

La plupart des gens du cercle d’amis (peut-on parler d’amis, je ne le crois plus) avaient une haine de cet individu qu’ils cachaient, faisant croire que “tout allait bien”. C’est hélas comme cela que les perversions psychologiques s’ancrent et s’enracinent dans la vie: parce qu’on n’ose pas dire que la merde, ça pue.

Raconter les saloperies de tous ceux qui méritent qu’on les passe à la roue me fait le plus grand bien.
Je n’ai rien contre eux, mais ils méritent qu’on sache qu’ils sont mauvais.
C’est pour ma santé. Suite au prochain numéro.

Aphorisme #001

samedi, mai 18th, 2019

Quand une mère n’aime pas son enfant, qu’elle ne lui parle pas, qu’elle ne le considère pas…
Voici comment l’enfant voit le monde, parfois toute sa vie:

Tumeur vulvo-vaginale. Photo d’écran.

Bon appétit les broutte-minous! 🙂

PS: pour ceux qui ne jurent que par les conneries pour débiles, du style la patrie, le drapeau, l’armée, la police, etc, reportez-vous sur les paquets de cigarettes dont le graphisme est fabriqué par l’état français. Montrez-les bien à vos gosses, aussi.
Et apprenez à penser, surtout 😉

De la menace.

vendredi, mai 10th, 2019

Il n’y a aucune analyse à faire, la réalité est triste et merdique (sic).

La vie d’artiste

vendredi, avril 5th, 2019

Afin de se prévenir des paltoquets et des cuistres en tous genres, l’artiste doit parfois se rendre auprès des services publics afin d’y faire constater de graves infractions.

Un kapo con

mercredi, avril 3rd, 2019

Je suis tombé sur un bon, sur mon premier haineux (ou connard) de réseau social 🙂
C’est le genre de personne qui a toujours du mal à s’accepter si elle n’a pas un souffre douleur, surtout lorsqu’elle n’a pas fait son caca du matin, je pense.

Décidément je les attire 🙁

Je ne le connais pas, mais il s’amuse à jouer les inquisiteurs, les sheriffs avec les deux neurones qui se battent en duel dans sa petite tête de cinglé.
Encore un con procédurier frustré qui a manqué sa vocation, probablement.
Non que je sois irrespectueux des règles régissant les activités artistiques, mais il y a l’art et la manière de le dire et c’est révélateur, surtout dans ce cas précis, de la personnalité qu’on a en face de soi.
Et le gars se dit “artiste”… Au secours! 🙂

Alors forcément, ça s’est passé dans un groupe fermé. Les idiots pervers aiment la confidentialité que leur procurent les cercles restreints où ils s’épanouissent aux dépens des autres.

Tout récemment, j’ai donc posté une annonce de recherche de modèle pour de la photographie de nu destinée à être exposée et afin de participer au FEPN (festival européen de la photo de nu) à Arles.
Bien mal m’en a pris 🙂
Partout où je l’ai fait, je n’ai eu ni critique, ni aide, ni de quelconque ennuis tel que celui-ci. Il n’y a donc pas que des gros cons sur cette planète, ouf! 🙂

Peut-être maladroite et imparfaite (surtout pour les fascistes qui se préoccupent plus des détails administratifs que de l’action créative, bien sûr), l’annonce propose une compensation financière au modèle qui servira de base au projet artistique.
C’est de là, je pense, qu’est parti un déchaînement de violence et d’agressivité sans pareil, venant de personnes qui, soit ne rémunèrent pas les modèles (travail en collaboration) soit payent les modèles à des tarifs très bas. On devine déjà la considération qu’ont ces personnes pour les modèles…
Mon offre doit être si incroyable que les esprits faibles et jaloux n’ont pu y voir qu’anguille sous roche, à travers le prisme déformant de leurs esprits malades.

Il est vrai qu’il y a beaucoup de cinglés dans le milieu, tant du côté photographes que modèles. La preuve, je viens de tomber sur un taré 🙂

J’ai donc subi un déchaînement de violences et d’agressions écrites sans pareil, au prétexte que je rémunérais au lieu de défrayer, sachant que le montant reste identique et qu’au final, c’est exactement la même chose… mais soit!
A toute chose malheur est bon, je ne propose donc plus qu’un défraiement. C’est bien le seul bénéfice que j’ai pu tirer des tombereaux de bile qu’on m’a infligés.

On m’a accusé d’être un pornographe, un proxénète, d’inciter à la débauche et j’en passe. On m’a accusé de ne pas avoir d’activité déclarée, de ne pas avoir mes papiers (un siret) et d’être un faiseur de photos pour des sites type porn revenge et autres… J’arrête là 🙂

C’est surtout une personne en particulier qui s’est acharnée avec des propos qui rentrent dans le cadre de la diffamation publique tout en me menaçant de diverses délations à tous les services juridiques de l’univers 🙂
Toute contente de pouvoir poster des extraits de mes sites et de mes activités sur les réseaux sociaux (dont je rappelle qu’ils sont publics et pour lesquels j’ai donc une attention toute particulière) dans le but unique d’étayer son propos fallacieux, elle a sorti de leur contexte certaines images et autres textes, arguant toujours d’un manquement à la légalité ou d’une intention mauvaise de ma part.

Je comprends que les métiers artistiques soient difficiles, mais de là à n’avoir rien d’autre à faire que d’emmerder le monde de son cerveau malade pour sauver l’estime qu’on n’a pas de soi-même, c’est rude.
Il y a des personnes toxiques et qui aiment le montrer, en jouant les vertueux chevaliers, toutes fières qu’elles sont d’être un poids pour le monde 🙁

Ceux qui me connaissent un tant soit peu savent très bien que mon propos artistique n’a absolument rien à voir avec les allégations diffamatoires faites par ce genre de psychopathe en mal de reconnaissance et au “talent” douteux.

Il y a des photographes qui n’ont effectivement rien d’ artistes et qui se bornent à appuyer sur le déclencheur pour gagner quatre sous ou justement pour se rincer l’œil, le tout en étant (j’ose espérer) parfaitement en règle avec la gestapo administrative qu’ils vénèrent comme si cela devait combler leurs manques.
Le reste du temps ces piètres faiseurs d’images, pardon, ces remplisseurs de vide, semblent apprécier de dénigrer le travail d’autres personnes qui viendraient, pensent-ils, marcher sur leurs plate-bandes.

Bon, avec ce genre d’énergumène il n’y a absolument rien à faire, une fois que l’on a tenté, même longuement, de prouver sa bonne foi.
Ce genre de personnes est à classer avec les le pen, les morano, les finkelkraut, les estrosi, les houellebec, les bhl, les sarkozy, les macron et autre zemour, dans le même fût de fange qui les contient tous.
Ce sont des personnes qui, bien qu’ayant un certain intellect, l’utilisent à des fins de domination perverse et de subversion malsaine, qui aiment la haine de l’autre et ne peuvent supporter les sentiments positifs que procurent les esprit vifs et aimants.

Ils sont à la fois dépourvus de la plus simple rationalité (hors leurs automatismes de travailleurs médiocres) mais également de l’accès à un niveau symbolique qui pourrait leur permettre d’être sinon bons, au moins de se mettre à distance.
Ils ne pensent pas, ils sont faits d’une énergie de désespoir et de noirceur qui les ronge de l’intérieur sans même qu’ils en soient conscients -c’est là leur problème.

Ils ne savent rien de l’art. Ils croient qu’une activité artistique (un loisir pour eux, finalement, comme le macramé) leur permet d’accéder à ce qu’ils ne comprennent pas.
Mais cela est insuffisant et ils aiment souiller ce qui est beau, la liberté, la vérité, avec des prérogatives administratives dont ils croient qu’elles peuvent leur donner le sentiment de puissance qu’ils n’auront jamais.

Ils en font des tonnes, ça compense le vide et la nullité qui les habite et leur permet de déverser en toute bonne foi leur haine:)

C’est très triste.
Je les ignore donc.

NB: j’ai bien sûr suffisamment de matériel archivé pour prouver la diffamation publique, si l’on devait en arriver là. J’ai légalement trois mois.

Le psychopathe manipulateur

vendredi, mars 8th, 2019

Un témoignage éloquent et frais du jour à écouter sur France Culture:
https://www.franceculture.fr/emissions/les-pieds-sur-terre/dans-deux-heures-je-te-defonce-0

Celui-là dont la victime parle est un genre psychopathe (il passe à l’acte violent) manipulateur (il retourne contre sa victime les effets de sa manipulation) et présente un léger nappage de perversion narcissique pour couronner le tout (bien qu’en général le pervers narcissique soit un psychopathe qui ne sait que trop bien se cacher et échapper ainsi à toute découverte).

Une lecture sérieuse pour les plus courageux: https://www.cairn.info/revue-francaise-de-psychanalyse-2003-3-page-925.htm