Archive for the ‘confessions’ Category

Se décoller des gros cons

lundi, août 19th, 2024

Transgé

dimanche, juillet 14th, 2024

Quand la génitrice de mon géniteur m’a dit, alors que j’avais 17 ans, à propos de ma copine d’alors: “c’est qui cette petite pute?”, ou que mon géniteur a répondu à une de mes banales questions: “qu’est-ce que ça peut te foutre?”, on sait qu’il y a là la source de dissociation par traumatisme clivant du moi et surtout sidération.
C’est exactement ce que je reproduis avec ma chansonnette “égorger manu”.

Les bas de la queue

jeudi, juin 13th, 2024

Les pauvres gens, souvent les “baqueux” (qui ont la queue bien basse, dirait l’humoriste), les violents fils de violents, les déviants avides d’extrême-droiture, les malades du “quoi-qu’il-en-coûte”, pour qui rien ni personne n’est précieux… Ceux-là sont de minuscules trous noirs (trous du cul, dirait l’humoriste) qui font bien pâle figure face à la lumière.
Les moins stupides, les moins stupéfaits par leur bêtise, souvent croient que présenter des excuses suffit. Ce n’est qu’un premier pas.

Chatte à poils

mercredi, mai 15th, 2024

 

La culture pour les nuls

dimanche, février 11th, 2024

 

Je suis contre

vendredi, janvier 19th, 2024

Je suis contre! et de façon absolument totalitaire voire dictatoriale, limite passage à l’acte meurtrier…
Je suis absolument CONTRE les nantis sémites.
GRAVE sa mère la pute.
Je n’aime pas les tueurs d’enfants, ils méritent ce qu’ils font à autrui. Et en plus, ils ne peuvent rien objecter, car c’est biblique (et ils s’en revendiquent, les cuistres) la loi du talion.
Évidemment, tout cela n’est que paroles et parabole.

Humiliation et indignité, deux mamelles françaises

samedi, janvier 6th, 2024

Humiliation envers le patient qui demande un RDV, muni d’une ordonnance de son médecin traitant, mais à qui on demande de venir en personne, quelle que soit la distance à parcourir, pour présenter le dossier à sa sainteté du corps médical (comme dit Dieudonné dans son sketch “le cancer”) afin que ce nouveau pape décide s’il peut lui attribuer ou pas un RDV. Voilà ce qu’est demandé au centre hospitalier public de Roanne pour une consultation en pneumologie.
Couper les moyens aux services publics afin que l’usager devienne client et se tourne vers le privé, s’il en a les moyens.
Car oui, même les braves gens qui servent ce service public ont intégré la T2A (la tarification à l’acte = plus il y a d’actes médicaux, plus la thune rentre dans les caisses) afin de lutter contre la “DETTE”, le vilain monstre créé de toutes pièces par l’école de Chicago et tous ses suiveurs afin de conserver une domination sur les populations du monde entier.
Dans la tête de ces “soignants” (notez qu’on ne les appelle pas soigneurs, mais soignants… faites le parallèle avec guérisseurs/guérissants…) il FAUt impérativement faire un scanner afin d’avoir un diagnostique, une échographie, un acte coûteux quoi.
La palpation du ventre de la parturiente? pfiou! ils ne savent même plus faire, il faut une image coûteuse et rétributrice (autant que mangeuse de dette) pour exercer la médecine.
Soigner une pneumonie sans radiographie et scanner? Vous n’y pensez même pas mon brave!
Alors que chacun sait qu’il s’agit d’antiobiothérapie: amoxy, puis pyostacine, puis azytro… et ensuite, ben c’est la merde. Mais de scanner, il n’y a absolument pas besoin.
Sauf dans un système perverti par le fric et la doctrine néo-libérale capitaliste insérée dans l’inconscient des praticiens depuis déjaà au moins une vingtaine d’années. Ces braves bêtes qui croient être la crème de la société en raison de leurs émoluments. Les pauvres.

Bref. Leur petite conscience de droitards les prévient de toute culpabilité si jamais quelques morts venaient à survenir en raison de leur ineptie diagnostique: il y a trop de gens sur terre. Tout est finalement “bon”, youkaïdi, vive les vacances aux Seychelles avec les amis de chir obs. On bouffera peut-être des fœtus en ravioles, parait que ça rajeunit la peau.

Humiliation donc envers le patient que l’on prend pour un morceau de barbaque et un gros connard, mais également indignité face aux confrères généralistes qui ont eu l’audace de faire une ordonnance, ces gueux de la médecine venus d’outre frontières (vu que dans le beau pays, il n’y a plus que des petits cons qui veulent du fric à milliards, suiveurs d’un pervers antœdipien auto-engendré délirant à pleins tubes pendant 10 ans de mandat).
Indignité également envers les praticiens eux-mêmes qui préfèrent exercer un tri de patient préventif, sous le diktat du néo-libéralisme capitalisme, plutôt que de respecter le serment d’Hippocrate (dont probablement ils ne connaissent que le nom, burn-out à la première semaine d’exercice aidant…).

Pitoyable état du service public hospitalier qui par ailleurs, se targue de respecter les diverses chartes de bienséance auprès des patients, d’avoir moult services de réclamations (inutiles évidemment) et de remplir toutes les conditions en milliers de pages des certifications ISO…

Le petit théâtre, bien compliqué, de la vie délirante des pays dits occidentaux, qui font l’exact contraire de ce que la raison, qu’ils ont perdue, pourrait leur donner à penser.

Se tuer soi-même et tuer les autres, l’air de rien, avec le sentiment béat du devoir accompli, tel le petit macron qui essaye de faire les gros yeux à la caméra lors de son pseudo hommage à delors, alors que celui-ci le haïssait à toutes forces.

Seul acquis de la rencontre avec cette brave blouse blanche (chef de service tout de même, mais sans véritable dignité): passer à 2g de psyostacine/jour pour plus d’efficacité. Je prends.
Par contre, sans scanner, je peux me démerder et aller aux urgences (vu que je n’ai plus de médecin traitant) en cas de pépins. Elle doit se torcher avec son serment d’Hippocrate tous les matins.
Merci pour ce moment, comme disait l’autre.

 

Témoignage ciivise

mardi, septembre 19th, 2023

J’ai témoigné auprès de la ciivise (Commission Indépendante sur l’Inceste et les Violences Sexuelles faites aux Enfants) en répondant aux questionnaires (auxquels on pourrait apporter des améliorations, comme ne pas restreindre à une seule réponse les périodes, proposées, pendant lesquelles ont eut lieu les violences, par exemple) et en appelant au téléphone.
Je l’ai fait parce qu’il semblerait que cette commission soit sur le point de disparaître fin 2023, après seulement deux ans de service, et que le nombre de témoignages est peut-être un argument afin qu’elle perdure.
Je l’ai fait pour moi parce que je tiens à ce que soit rendue publique mon histoire de chambre placard et que les pervers narcissiques et leurs complices soient montrés du doigt, ostracisés et mis au ban puisqu’ils n’avoueront jamais leur psychopathie, trop heureux de jouir du mal qu’ils font aux autres (“qu’ils viennent me chercher” a dit un pervers narcissique, à tendance histrionique, bien trop connu).
Je l’ai fait et le rends public pour les enfants qui vivent sous le joug de tels pervers et qui ne vivront peut-être jamais la vie que les personnes normo-névrosés (cf. Stoll/Hurni) pensent être “normale”.
Je le fais enfin car le déni est constitutif de la psychè humaine et que je n’aurais ni réparation ni indemnisation pour ce que j’ai vécu pendant la matinée de ma vie, comme Jung appelle la première moitié de la vie. Or, chacun le sait, les chances sont maigres de commencer une carrière après 50 ans, de se constituer un patrimoine afin de terminer sa vie le mieux possible, sachant que les conséquences de la maltraitance sexuelle infantile, le pire des traumatismes psychiques (Bilheran), handicapent lourdement ceux qui en sont les victimes (Salmona) tant physiquement que psychiquement; le pire étant que pour les normo-névrosés, ces handicaps ne sont pas visibles (ce qui explique en partie qu’ils n’y croient pas, tout comme la peur et le déni dont ils sont les proies consentantes).

Mais je le fais avant tout pour moi, car tout paranoïde que je suis condamné à être, je sens bien qu’il ne restera peut-être que le pire de cette commission voulue, hélas, par le fou pervers (Racamier) président: peut-être fera-t-on quelques moulinets à propos de ceci ou de cela, mais je crains que la page 69 (ça ne s’invente pas) du rapport préliminaire de la ciivise , concernant “L’éducation à la vie affective et sexuelle” ne soit prétexte à l’établissement délirant de la perversion généralisée des petits d’hommes, voulue par l’OMS (organisation mondiale de la santé), et qui mènera facilement l’humanité au totalitarisme mondial.

Les normo-névrosés objecteront que ce ne sont là que conjectures (ils jugent avec ce qu’ils savent), tout contents d’être gentiment assis dans la vie, maison, crédit, enfants, loisirs et zou! (les “tout-va-bien”).
Hélas, du point de vue de ceux qui ont vécu la “logique” d’un tel système au niveau individuel et nucléaire — au sens sociologique, et qui ont lu, qui se sont abreuvés de connaissances en plus de leur savoir expérimental et observationnel, l’humanité en prend, hélas, le triste et malsain chemin.

Il y a bien des degrés dans les traumatismes psychiques et leurs funestes conséquences, de la même façon qu’une coupure au doigt n’est pas une jambe cassée, encore moins un cancer, pas plus qu’une mort  par balle; tous pourtant étant des traumas physiques.
La perversion narcissique (Racamier) engendre les pires traumas sexuels infantiles, l’incestuel étant le pendant psychique de l’inceste et du viol et le meurtriel étant le pendant psychique de la mort physique.

Ceci est ma modeste contribution à l’humanité en espérant éviter la vanité de notre condition.
Le témoignage est la seule rédemption du survivant.

Diktature launch.

vendredi, juillet 7th, 2023

Voilà, on y est.
Pour sûr qu’il viendront chercher les “gens” comme moi; j’en serais embêté que pas, quand même.

Comment tout cela va-t-il se passer? Mystère.
Une junte du petit Paris qui prend le pouvoir par la perversion, l’applique perversement, et se vautre tant dans l’incestuel (relation de type incestuel du président de la république avec une professeur de 25 ans son aînée dès ses 14 ans) que dans le meurtriel (la police tue délibérément des citoyens)…
Pour trouver une idée plus dégoulinante et visible de tous du MAL, il va falloir tout le génie de l’humanité, si elle survit aux siècles à venir.

Il reste l’art et la pensée, forcément critique.
Mais les temps vont être terriblement durs et mortels, une sorte de torture sans fin qui a déjà commencée, une douleur à la fois intense et inaccessible à rien d’autre que plus de douleur, au point qu’on préférera la moindre au point de la confondre avec la pire.
Oui. Un tourniquet au mouvement perpétuel.

Le vol par ruse

lundi, juin 5th, 2023

J’avais confié cette guitare à un guitariste que je connaissais à peine, afin qu’il la vende pour moi.
Plutôt un gars du genre toxico, pseudo métalleux pas vraiment dans son assiette… bizarre, quoi. Un guitariste quoi. Ptète même pas un bon. Ou alors un couillon qui fait de la quantité de notes au lieu de la qualité (oui, j’aime Miles Davis et je vous emmerde 🙂 )…
Je lui laisse en dépôt-vente, en quelque sorte, mais lorsque je venais pour m’enquérir de la progression de la vente… l’appartement était vidé de ses occupants.
C’était rue d’Auxonne à Dijon, un appartement miteux, pour pauvres ou normo-névrosés dans la dèche.
Un vol par ruse, à l’époque d’avant la démocratisation d’internet et du web et bien sûr sans smartphones.
Dans mon cul! Dis-donc!
Pas que ce soit une guitare qui vaille beaucoup (aujourd’hui une 175 Paul Beuscher, c’est dans les 300 euros, à l’époque c’était en francs, soit 50 ou 60 euros!) mais bon, se faire enculer par un couillon, ça fait toujours mal au cul.
L’amour et la vie n’ont que faire des petits malfrats. Le Tao trouve son chemin, peu importe le temps 😉
J’ai retrouvé une CHAUDASSE 🙂

Partout

samedi, avril 22nd, 2023

Du nucleus familial au petit groupe jusqu’aux institutions et aux organisations étatiques et supra-étatiques, la perversion narcissique s’organise en noyautage.
Telle un virus, elle ustensilise et ne tue pas son hôte, car elle en périrait. C’est son caractère pervers.
La période covidiste mondiale, planétaire, de 2020 à 2023, pendant laquelle l’entièreté de l’humanité a vécu sous le joug de cette mascarade d’épidémie fallacieuse à ses dépens est venue, non pas faire jour sur cette psychopathie totalitaire, mais masquer celle, sous-jacente, de perversion narcissique ordinaire.
Tout n’est question que d’échelle.
J’ai moi-même vécu, familialement, les camps nazis; non la torture physique suivie de meurtre de masse (échelle oblige) mais le meurtriel, le meurtre psychique de l’âme tel que décrit par Shengold sans qu’il en ait discerné les contours comme l’a magistralement fait Racamier, ainsi que l’incestuel ou viol de l’âme, la non différenciation générationnelle, bien pire que l’inceste physique, le viol physiologique et corporel.
Voilà qu’arrive, dans un groupe à visée artistique, quelque créateur au talent certain, à qui on aura proposé ainsi qu’à tous, de faire quelques propositions créatives de son cru. Il ne manquera pas de se trouver parmi les participants un ou une pervers narcissique dont la jalousie face à la création se fera jour sous quelques agirs, puisque l’individu est incapable de la créativité qu’il jalouse.
S’il n’est pas un chef pour, au moins, faire croire qu’il s’agit de quelque chose de plus grand qui vient péter les couilles (une couleur politique, une attitude régionale face à la culture et à l’art en général, etc), alors il faut fuir et laisser tomber même ceux qui sont à peu près sains, même avec tristesse.
La petitesse de la manipulation, œuvre visible de type messe-basse ostentatoire, est facilement démasquable pour qui a non seulement vécu mais aussi lu. C’est hélas mon cas.

Tant pis pour ceux qui concèdent à prendre sur eux, ou rejeter sur organisme plus vaste, la manipulation dont ils sont les victimes. Leurs défenses sont probablement suffisantes pour qu’ils restent dans une pénombre de ce point de vue là, tout en conservant leur intégrité psychique non pas intacte, mais suffisante.
On ne peut ménager la chèvre et le choux en ces matières.

Je me contenterai donc de croire que la France que je connais depuis près d’un demi-siècle est un pays de fascistes, anti-culturel, anti-art et d’un crétinisme flagrant.
Le nid véritable de la perversion qui aura pris le relais de ce qu’Alice Miller appelle la pédagogie noire de l’Allemagne depuis quelques siècles.
On deviendrait facilement suspicieux à l’égard des “Lumières” d’avoir permis, sous couvert de pensée sympathique, une telle avanie.
La puissance du politique est telle dans cette société masturbatoire anale qu’elle ne vivra qu’avec ses aristocrates forniquant ses propres enfants afin de perpétuer une tradition de jouissance perverse, qui plus est judiciairement totalement et parfaitement impunie.
Les exemples vivant aujourd’hui encore sont légion, jusqu’à l’épouse du président de la république, en passant par les journaliste millionnaires, les écrivains douteux, les acteurs millionnaires eux aussi, les politologues autant que certains hommes politiques.

Je ne suis pas étonné que Racamier ait été français, à même de voir dans quelle enfer la contrée qui l’a vu naître est en train de tomber.

Avoir vécu dans une famille de psychopathes

vendredi, mai 6th, 2022

Je disais récemment à quelques connaissances un point de ma vie dont je n’ai jamais parlé, et j’ai été surpris par la force du déni d’autrui face à l’inconcevable que l’emprise d’une famille dysfonctionnelle m’avait fait taire pendant… toute ma vie (une bonne moitié si je suis pessimiste).
Je leur demandais si leur père, à la fin des repas pris en famille et à de multiples reprises, leur léchait l’oreille au moment du dessert en disant “oh le petit biscuit” ou même en verlan “oh le petit kiss buis”.
Car cela je l’ai vécu à l’âge de la pré-adolescence/adolescence, en plus de la chambre placard pendant toute mon enfance, cette chambre de laquelle je ne pouvais sortir qu’en traversant celle du couple de mes parents.
Cet acte incestuel du léchage d’oreille se faisait devant ma mère et ma sœur, assises en face de nous. Ma mère n’est plus là pour en parler car l’emprise de la perversion narcissique de mon père l’a tuée. Elle est morte d’un cancer rare et agressif en 6 mois: un cancer dit de la selle turcique (encore un détour) qui ne concernait certainement pas l’os de la base du crâne décrit par ce terme, mais bien le cerveau dit limbique (ou émotionnel), siège des émotions, comprenant les amygdales, l’hippocampe, le thalamus, l’hypothalamus, etc.
Oui, car l’emprise toxique du pervers narcissique, de mon père donc, avait trouvé une proie, pas très assurée mais pleine de vie, qui chantait dans une chorale et aimait s’exprimer et exprimer son énergie de vie.
Ça me fait sourire d’entendre que la plupart des gens, et parmi eux de grands pontes médiqueux, dire que le cancer (ou toute manifestation symptomatique corporelle) ne peut être dû au vécu ou à la psychè. Mais bref, l’ignorance est le moteur de la connaissance, probablement…
Ma mère s’est laissée prendre par la maladie psychotique de mon père, soumise qu’elle était à une forme de modèle du couple dirigée par ses croyances religieuses: on ne divorce pas et dieu nous sauve. Je ne crois pas que de prier à l’église chaque dimanche de sa vie lui ait été d’un grand secours, sauf à rester justement dans le déni de la réalité triste et finalement mortelle qu’elle vivait, elle, et faisait vivre aussi à ses enfants qu’elle n’a guère protégés.
Elle est morte après une vie de labeur (6H-18H) dont le fruit économique a été accaparé entièrement par son manipulateur d’époux aux fins de retaper une ruine pendant 25 ans, alors qu’ils venaient d’avoir deux enfants.
Mais non content d’aspirer tous le fric qui aurait pu bénéficier au bonheur des enfants et de la famille dans son entier, il privait également d’amour, car le pervers narcissique est un être vide et ne connaît pas l’amour.

Chacune des personnes à qui je me suis ouvert s’est réfugié dans un déni confortable afin de ne pas avoir ne serait-ce qu’à imaginer ce qu’elles ont ressenti, déjà, comme terrible. Le déni est instantané, au moment même où le cerveau sent qu’il est des choses terribles qu’il ne voudrait pour rien au monde vivre, ni même entendre. L’un disant que finalement, ce père incestuel et pervers avait permis que l’on répète dans une cave (quel luxe!), l’autre imaginant que ces léchages d’oreille étaient affectueux.
Je suppose que ce même principe de déni (ou quelquefois de complicité avec les perpétrateurs et perpétratrices d’actes criminels) s’applique lorsque les viols physiques et sexuels sont dits: on cherchera à minimiser en parlant de règlement de compte, de tenue excitante, jusqu’à même accuser la victime d’avoir incité au crime et bien sûr d’avoir aimé ça.
La victime devient, plus que LE pervers, LA perversion incarnée.

C’est délirant (j’allais dire “proprement”…), SALEMENT délirant.

Alors voilà, j’ai vécu toute ma croissance dans une famille dont le père est gravement malade (mais cette psychose est socialement acceptée -par les cons flippés de leur race 🙂 ), la mère sous emprise et trop occupée à se protéger elle-même pour protéger ses enfants.

Voilà la raison qui m’a rendu à peu près asocial, alors que je n’ai que de l’amour depuis ma naissance, comme chacun. Évidemment, si l’amour inconditionnel de l’enfant que j’ai été pour ses parents a été trompé depuis le tout début, ça laisse des cicatrices à jamais visibles.
Je pense même que j’ai pu utiliser des techniques perverses narcissiques, je les connais toutes, forcément.

Récemment, même, alors que je suis analysant depuis plusieurs années, je croyais avoir rencontré une potentielle relation sociale de mon âge, un gars de famille algérienne, à l’abord facile… Mais voilà, “à l’abord facile”…
Une personne qui ricane plus qu’elle ne s’exprime par la parole (3 mots, 30 secondes de ricanements, 5 mots, 30 secondes de ricanements, etc).
Une personne qui te suit quand tu vas faire tes courses et que tu la rencontres (par hasard? des fois, on se demande si elle n’attend pas cachée au coin d’une rue, tellement elle est vide et perverse de machiavélisme), n’achète rien, mais essaye de te toucher, justement en public, quand tu fais le geste de prendre sur un étale un produit.
Oui, un adulte qui t’accompagne et qui mime ton geste afin de te toucher physiquement en public, tel un bébé qui veut palper le visage de sa mère quand elle le porte à sa poitrine.

Le pervers narcissique est un enfant, un bébé qui est resté dans la toute-puissance. J’ai vu mon propre père trépigner comme un gamin alors qu’il avait près de la cinquantaine (je ne sais plus pour quelle raison).
Je vous assure que c’est terrifiant, car c’est l’expression de la maladie incurable. C’est pire qu’un mongolien assoiffé de sang avec une tronçonneuse tel que dépeint dans certains films.

Mais voilà, la ruse diabolique de ces malades psychotiques, c’est de savoir séduire certains pour en accabler d’autres, et ainsi, de créer la confusion la plus totale, confusion dont chacun s’éloigne bien vite lorsqu’il n’est pas déjà sous emprise.

Il y a plusieurs pervers narcissiques de tous sexes dans ma familles, curieusement tous nés après la seconde guerre mondiale, lors de ce que je qualifie de poussée capitaliste et manipulatrice. Les esprits s’entre-nourrissent de toutes les perversions.
Bien sûr il faut prendre en compte la psychologie des familles, les histoires inter-générationnelles et le contexte socio-économique (le contexte au sens le plus large tout court, en fait). C’est indispensable dans toute démarche rationnelle et scientifique.

Alors voilà, chez la victime que j’ai été, chez le survivant que je suis, s’est installée une peur que je qualifie de névro-psychotique, d’état-limite.
Je n’en ai pris véritablement conscience qu’après la mort subite de ma mère d’un cancer fulgurant, l’envie d’en finir vite qu’elle avait trouvé, justement, en étant bénévole pour la ‘ligue contre le cancer’ depuis les quelques années de retraite dont elle a pu profiter.
Elle est morte à 67 ans, connard de macron avec ta retraite à 65 ans.

Aujourd’hui je n’aurai de cesse de combattre et de prévenir, à mon humble niveau, les manipulations perverses qui s’accumulent dans toute notre société, que ce soit dans un cabinet notarial de Dijon, qui, par feignasserie et suffisance n’a toujours pas bouclé la succession de mon grand-père (pas bien grosse, mais accointé avec l’évêché qu’il a servi pendant des dizaines d’années -d’où la religiosité de cette famille ET de ma mère) plus de 18 mois après le décès! que ce soit en débusquant les attitudes toxiques et perverses de quiconque croisera ma route, ou les systèmes eux-mêmes pervers narcissiques, tels que les pseudo-démocraties (ce ne sont que système de domination et de pouvoir avec une façade qui laisse croire au choix) dont on voit bien, en particulier en France, que le couple présidentiel n’est lui-même qu’une histoire de domination d’une pédocriminelle brigitte trogneux, abusant de son statut d’adulte et de prof (ça fait DEUX circonstances aggravante au regard du droit pénal) sur un enfant, manu macron, tout jeune queutard de 14 ans.

L’épisode de délire paranoïaque des année 2020 – … (nous sommes en 2022 à l’heure où j’écris) dû à l’apparition d’un virus très contagieux, mais non inquiétant pour la société humaine, en cela qu’il ne s’attaque qu’aux faibles (plus de 60 ans, immuno-déprimés, obèses, cancéreux, etc, bref, des gens déjà gravement malades ou en fin de vie) montre à quel point, à l’aide des progrès techniques de surveillance (écoute téléphoniques, vidéos, empreintes numériques de toutes sortes, géolocalisation constante, fichiers de police, etc), la perversion narcissique s’impose comme un mode de domination sur la planète entière, du niveau le plus petit, la famille nucléaire, jusqu’à la “gouvernance” mondiale par les entités d’argent, en passant par toutes les strates de toutes les dimensions de l’organisation sociale (petites et grande entreprises, organisations syndicales, partis politiques, administrations étatiques de tous niveaux, etc).

Grâce au Tao, grâce à MON tao, grâce aux Toltèques, ma colère va s’apaisant et mon combat va constant, l’un comme l’autre se nourrissant d’une énergie que je désire pure et saine. Je vais jouer ma musique, créer mes images, n’en tirer que bien peu, mais cela me convient. Et si d’aventure il y a mieux, alors je me dirai merci, car je le mérite. Et si d’aventure il y a mieux, je serai également redevable envers l’univers et je serai heureux d’en faire partie.
Et j’aime.

Du matin

jeudi, mars 31st, 2022

Il est certain et vrai qu’il me serait agréable de voir mon prépuce se rétracter à mesure que mon gland s’enfonce dans votre vulve.
Cependant, j’ai d’autres choses à faire.

Je dis

mercredi, mars 30th, 2022

je dis que j’aime la sagesse et suis philosophe
je dis que Socrate, des milliers d’années en arrière
a dit que l’on n’était pas philosophe avant quarante ans
et qu’il avait raison
diversion statistique de la durée de la vie aux époques historiques…
c’est à la mode du jour
quarante ans, j’en ajoute huit de plus
et je dis que j’aime la sagesse

De l’homme

jeudi, mars 17th, 2022

L’homme croit qu’il prend alors qu’il ne peut que donner,
Et que la femme donne alors qu’elle ne fait que prendre.

De l’ecclésiastique

vendredi, mars 4th, 2022

La justice de dieu est implacable.
Nombre de ses serviteurs l’ont appris à leurs dépens.

De l’hygénétique

mercredi, juin 2nd, 2021

Tant qu’on n’y est pas confronté soi-même, on ne s’y intéresse pas. C’est le cas d’au moins 70% de la population. Parmi les 30% restants, il y en a encore probablement les deux tiers qui sont par sauvegarde dans l’inconscience et le déni, pour ne pas devenir véritablement fous.
Il y a toute une gradation dans la symptomatique et les ressentis, dans les histoires qui les provoquent.
Les livres de psychanalystes en sont remplis, tout comme certains sites de traumatologie et de psychologie.
En ce moment, la majorité des populations mondiales sont plongées sciemment dans la peur par les dominants, dont le rôle est pourtant (mais qui le croit encore?) de les protéger, de mutualiser les ressources et les défenses pour assurer un bien-être (ça s’appelle la santé) pérenne dans la société.
Le prétexte est au moins à deux niveaux: d’abord une épidémie de type grippale fort peu mortelle qui ne s’attaque pas aux jeunes ni aux bien-portants, ensuite la conscience que les populations, en grande majorité maintenues dans la pauvreté qui permet de les asservir, sont prêtes à s’insurger. Le mouvement des gilets jaunes, les révoltes à Hong-Kong et en Amérique du Sud, autant que les révolutions dites arabes en Afrique du Nord, sont les principales images de l’insurrection mondiale des populations face à la domination de quelques ultra-riches qui détiennent de façon absolutiste tous les pouvoirs sur terre.

Bref, un délire des dominants, apeurés par la révolte sourdante des populations à leur égard, justifiée par leur extrême richesse face à leur extrême pauvreté, est mis en place dès 2019. La réalité est une surveillance généralisée des populations par les formes les plus avancées technologiquement (reconnaissance faciale et comportementale algorithmiques), des confinements et des couvre-feu sans aucune efficacité sinon de maintenir dans la peur, de réduire les défenses immunitaires naturelles, et pousser à la violence ou au suicide.
Car hélas, toutes les populations, quel que soit l’âge, sont concernées: en France les petits enfants doivent porter un masque facial parfaitement inutile toute la journée. On est dans une pédagogie noire (voir Alice Miller “C’est pour ton bien”) décuplée, car comme le dit Marie-Estelle Dupont: ce n’est plus en prétextant un “c’est pour ton bien” -qu’on te frappe, qu’on te torture, au moins psychiquement- aux enfants, mais en leur infligeant un “c’est pour notre bien” -qu’on te musèle et qu’on t’oblige à être un docile esclave de la pensée des idiots (qui s’appellent pourtant eux-mêmes les “élites”).

Mon seul narcissisme s’est exprimé dans mes auto-portraits de nu. C’est quand même dommage. Mais bien plus que simplement “dommage”, c’est pathologiquement triste.
Chacun a une famille, une maison, des enfants, un travail rémunérateur, absolument TOUS les gens dont j’ai connaissance ont cela pour eux -et cela ne signifie pas qu’ils sont heureux.
Ben pas moi. C’est là que réside la très grande différence qui nous sépare: eux n’ont pas, outre quelques menues névroses et autres pathologies mises sous le tapis au moyen de la chimie, de trauma aussi néfaste que le mien et aussi invisible. Peut-être en ont-ils, mais ils semblent s’en accommoder.
On ne peut pas deviner, à moins d’être vraiment fou.

Vous, ils, ne sont pas, n’êtes pas le produit modifié d’un être venu au monde.
Hélas, moi, je le suis, issu d’une lignée abîmée, d’un géniteur à la très grande perversion narcissique, manipulateur d’une génitrice qui a préféré se laisser aller à l’abandonnisme peut-être déjà latent. Le tableau est sévère.
Un tableau qui crée sinon la folie, un mal-être d’une grande puissance ou un oubli de soi-même.
Pas d’enfants, pas de famille, pas d’argent, pas de rôle social… alors que très talentueux, bien sûr. Mais voilà, il faut satisfaire l’appétit inouï d’une apparence de perfection, de normalité, façade en carton pâte d’une famille absolument dysfonctionnelle (pour être un peu positif) mais que j’appelle, moi, en faillite.
Et la faillite, c’est l’abîme, c’est la fin, totale.
[soulographie]
Alors, quand un petit enfant gâté d’argent devient le décideur de la population dont je suis, non, je ne peux le tolérer, je ne peux que souhaiter sa mort, la sienne et celle de sa salope de brigitte, oui. Quelle merde puante s’assoit là, sur un trône chiotteux pour y déverser ses excréments, devant des lécheurs coprophages qui s’esbaudissent d’une “si belle” histoire d’amour entre une femme vieille et manipulatrice, excitée par la chair fraîche d’un puceau déjà pourri, et un jeune idiot au visage mongoloïde.
[/soulographie]
Il y a quelque chose de pourri dans cette démocratie.
Je n’en veux pas à “tous”, comme certains, j’en veux à ceux qui fabriquent cet état, qui en jouissent sans jamais en pâtir et qui sont bien peu nombreux.
Mais voilà, la masse populassière est comme hypnotisée, inconsciente, inerte et crédule face à ce qu’elle croit, par désir profond de sécurité, être ce qu’elle nomme “la marche des choses, du monde”.
Tristesse infinie, mélancolie ennemie.

#metooincestuel

mardi, janvier 19th, 2021

[Puisque je ne me retrouve dans aucun de ces putains d’hache tagueule, je crée le mien, en me basant sur les recherches de Racamier]

Je ne suis plus un enfant, je ne dois plus rien à personne.
Surtout pas à ceux qui ont profité de l’amour inconditionnel de leur enfant, mes parents.
Etant donné la durée de la relation non pas incestueuse, mais incestuelle (au sens de Racamier), on peut dire qu’il y avait une grande perversité psychopathologique à l’égard des enfants de la part de mes parents.

La violence sexuelle que j’ai subie, à caractère d’incestualité, est bien pire que ce que j’appelle les « petits viols » dont on parle à présent souvent, comme l’on fait Vanessa Spingora, Camille Kouchner en parlant de son frère, Sarah Abitbol, Flavie Flaman, ainsi que toutes les actrices du mouvement #metoo.
Sans diminuer l’importance du trauma que toutes ces personnes ont subi, il est aisé de s’apercevoir qu’elles ont toutes eu une carrière, un métier, un revenu et que le moment traumatique est intervenu après la période de latence décrite par Freud.
C’est un très grand avantage pour se reconstruire.
Dans mon cas, je n’ai plus (un temps on faisait semblant) ni vie sociale, ni professionnelle, c’est une suite d’échecs et d’isolements dus au conséquences terribles du syndrome post-traumatique.

Pour ma part, il n’y a pas eu de période de latence, dépourvue de sexualisation. J’étais enfermé dans la chambre placard -vaste à faire bien des jaloux ! et propice à l’excuse- et j’avais le spectacle auditif de la sexualité adulte sans possibilité d’y échapper.

Dans ces cas-là, la culpabilité qui se développe avec la réitération sans fin du trauma est acméique, paroxystique.
J’espère que ce sentiment mortel va se transmettre à qui de droit, car la peur, la psychose, la honte, la culpabilité et au final, la mort, doivent changer de camp.

Je n’ai eu aucun secours, de personne. Personne ne s’est posé la question d’une timidité excessive du petit enfant que j’étais, personne ne s’est affligé de ces ongles rongés parfois jusqu’au sang, si petit. C’est pourtant un signe de stress majeur, ô combien visible et qui doit alerter. Seule ma grand-mère s’en est émue, mais surtout pour le manque d’esthétisme de ce handicap par trop visible.

Mais cela n’est rien. Ce n’est rien comparé au gâchis de la vie entière du beau jeune homme que j’étais, qui voulait, vainement peut-être, devenir quelqu’un, profiter de la vie, en prendre sa part comme tout un chacun.
Cela n’est pas possible lorsqu’on est rongé par une culpabilité extrême que l’on  n’arrive même pas à identifier. On « est » fou, à la place de ceux qui ont mal agi, et peu importe qu’ils l’aient fait en conscience ou non.

La solution, c’est de s’autodétruire, sans même savoir pourquoi, avec toutes sortes de toxines, même celles censées désinhiber ou garantir une joie de vivre momentanée.

Je ne reviendrai pas en arrière pour vivre autre chose. C’est évidemment impossible.
Attendre quoi que ce soit de la « société » ou de l’ « humanité » est une foutaise.
La domination, consciente ou pas, est la règle et s’applique à tous, un peu moins quand le pouvoir de l’argent ou des relations vient arrondir les angles ; mais c’est la règle du règne animal humain.
Il y a quelques chanceux, une majorité heureusement, dont la plupart ne se rendent même pas compte de la chance qu’ils ont de subir un peu moins que d’autres.
Oui, il y a un sacré paquet de connards et de salopes, c’est vrai. Quoi qu’ils fassent, ils passent dans la vie comme des mirages, tantôt à leur profit, tantôt à celui des autres.

Avenger-ing

lundi, juillet 20th, 2020

Pour tous les poupins et les poupignes! Ça vous fera un souvenir phallique et narcissique tout à la fois 🙂

 

 

De l’esprit et de l’âme

samedi, juillet 4th, 2020

Les êtres d’intelligence supérieure sont à tout jamais seuls dans une connaissance qui leur pèse et face à la cruauté de leurs congénères stupides.