Préface de benjamin griveaux sous la direction de matzneff et alia, dont la bite est bien connue des enculés… pardon, dont la plume est bien connue des amateurs.
Hélas, Lolita n’est, quant à elle, jamais devenue ni maîtresse ni “Junon” autoproclamée de dizaines de millions de personnes… qui n’en ont par ailleurs rien à foutre, si l’on ose dire.
Archive for the ‘Combat’ Category
Un coup bien fourré
vendredi, mai 7th, 2021Aux têtes coupées.
dimanche, mai 2nd, 2021Bella ciao
mercredi, avril 7th, 2021Pour se rendre compte d’une progression, il faut partir déjà (bas), avec des paroles pas forcément justes, une voix hivernante et les accords qu’on peut 🙂
For life and freedom
mercredi, mars 24th, 2021Demain, c’est le printemps…
vendredi, mars 19th, 2021Demain c’est le printemps… et plus personne ne le verra, pendant longtemps.
Après le confinement, quand ça ne marche pas, il y a l’extermination…
Curieusement, il sera plus aisé d’exterminer les quelques-uns, rupins et putards, que l’entièreté de la population.
Ce sera bien. Ce sera au couteau, manuel… @miky 😉
Suburban poster
vendredi, février 26th, 2021En me baladant dans les banlieues sombres et insalubres (of course), je suis tombé sur l’expression de la colère terrible qui sourd dans nos contrées.
J’en ai fait de mémoire une reproduction assez fidèle, bien que j’aie ôté les résidus de déjections projetées contre les photos qui l’accompagnaient.
Les conséquences des restrictions totales des libertés des citoyens d’aller et venir et de rencontrer qui ils veulent n’apparaissent encore que très peu au jour en cette fin de février 2021.
Cependant…
Aphorisme
jeudi, février 18th, 2021M’est venu cet aphorisme: L’amour ne coûte rien et pourtant il vaut plus que tout.
Je n’ai pas cherché à savoir s’il existe déjà car je m’en moque; il importe que je l’ai pensé.
Il résume convenablement à mon avis ce que ce brave Coluche disait de Freud et de la théorie psychanalytique: “a que y’a le cul a que y’a le fric”, dans une proposition erronée.
En effet, s’il y a bien le fric (et de nos jours, c’est exponentiellement criant) le cul est un raccourci peu à propos pour ce qui aurait dû être appelé l’amour, l’affection, la sensibilité, l’affect, la bienveillance, l’empathie, la sympathie. Bref, un “tas” de sentiments dont le “cul”, réalisation physique dans la sexualité génitale adulte de l’être humain, est un point de détail.
Alors, de cet aphorisme, que signifie-t-il? Car c’est un peu fourre-tout.
Et bien il met en relation d’opposition l’argent et les biens matériels, nécessaires mais vains, avec ce qui fait l’humanité, l’amour, pris dans son sens le plus générique qui soit.
Evidemment, on sait que l’humanité est également dotée de la possibilité de la plus grande perversion. Ainsi, ces deux objets sont souvent confondus, mélangés, embrouillés afin de créer un moyen de domination.
Quelles en sont les causes? Multiples et variées, dirais-je, mais toutes proviennent de l’élaboration de chaque être humain par son éducation et la vie qu’il a eu pendant son développement infantile, de sa procréation à… quelquefois à tout jamais, hélas.
Il y a pourtant des échappatoires, telles les névroses de vie, qui permettent, à moindre coût, selon une stratégie psychique d’économie, de survivre en regardant les trains passer. Celle-ci est la moins pire et la plus facile.
D’autres stratégies emploient la perversion et s’appuient sur les faiblesses des premières, elles s’en nourrissent et ne se préoccupent pas de savoir qu’elles meurent bien vite faute de courage. Il y a tant, peu importe donc.
Et il y a… autre chose.
On va vous tuer, vous allez mourir.
dimanche, janvier 17th, 2021Network- I’m Mad as Hell
www.youtube.com/watch?v=dib2-HBsF08
Couldn’t find the Soulwax Too many DJ’s song, do your own do.
Traumatologie du fascisme français à partir de 2020
dimanche, janvier 10th, 2021Similitude des traumas entre violence sexuelle et privation de libertés essentielles à l’humanité.
La domination qui s’exerce sur la majeure partie de l’humanité par des faits de couvre-feu, d’incarcération domiciliaire, de contrôles miliciens et policiers, de restrictions diverses et multiples concernant les arts, le sport, la vie en général à l’exception de l’alimentation, est une folie menant, plus elle dure, à la plus sûre réussite des dominants sur les populassières.
En France, par exemple, les dominants petits comme les ministres vivent sur les deniers de la population, sans rien produire sinon des ordres d’obédience orgasmique, avec 30 000 euros par mois en moyenne, alors que la moitié de la population active vit avec environ 1200 euros mensuels, le smic.
Si l’on se rapporte à la philosophie psychanalytique d’Alice Miller, la pédagogie noire, qu’elle dénonçait dans l’éducation des enfants, est aujourd’hui mise en pratique à une échelle mondiale sur l’entièreté des populations.
Injonctions paradoxales infinies, culpabilisation de chaque individu (coupable d’être potentiellement porteur de la mort pour autrui) sont les ressorts politiques, et uniquement politiques, de la domination de la bourgeoisie capitaliste issue de la révolution française, en ce qui concerne la France.
Non seulement la population n’y voit que du feu, dans sa grande majorité, prise par la peur de mourir ou par le sentiment fallacieux d’être ainsi protégée de la mort, mais elle s’écharpe entre elle à ces sujets.
Il n’y a rien d’autre qui soit plus plaisant aux dominants qui peuvent ainsi, au prétexte infondé d’un virus finalement absolument peu grave en regard de la peste ou d’ébola, jouir orgasmiquement de leur toute-puissance sur des foules immenses.
Dire ce qu’un être peut faire, quand il peut ou doit le faire, jouer de lui comme d’une bête, d’un animal, ainsi que ces dominants le font avec les enfants, sexuellement, est une jouissance perverse incommensurable.
En France, brigitte trogneux, l’épouse du président de la république, est de ceux-ci. Elle jouit follement, dans son hyménée (hymen né?) déjà vieilli et ménopausé, de ce qu’elle a dû apprendre dans sa famille de bourgeois richissimes: pour parvenir à faire ce que les hommes font, joue de ton vagin. Elle a mis en action, au mépris des règles de l’humanité, sa séduction au profit de son envie de pouvoir et de pénis: quoi de plus facile que de séduire un jeune garçon de 15 ans, alors qu’elle a autorité sur lui en tant que professeur?
Laissons là ces besognes sexuelles de bourgeoise de province qui ont pour le moins fort bien réussies.
Ceux qui aiment s’appeler eux-mêmes “la classe” politique, émargeant à plusieurs dizaines de milliers d’euros mensuels -le détail a son importance- se vautrent dans une sexualité perverse et ce ne sont pas seulement quelques brebis galeuses. Alors qu’ils sont adultes et responsables de leurs actes, en plus d’attributions qui mettent en jeu la vie de millions de leurs concitoyens, ils font fi de la plus simple morale. Il est vrai que la morale n’est pas judiciarisée, comme cela est arrangeant quand on a déjà tous les autres moyens à disposition.
Un ponte de sciences politiques, olivier duhamel, école de putards, aimait se faire sucer le chibre par son propre beau-fils âgé de 13 ans. Que voilà une belle initiative de dominant. Deux femmes autour de lui en sont mortes pour préserver le secret de monsieur et la bourgeoisie de pouvoir parisienne.
Il s’agit donc ici d’histoires de familles de la grande bourgeoisie (si on peut encore l’appeler ainsi). Un des fils Kouchner, Antoine, aujourd’hui professeur à l’Université Diderot à Paris, a été victime de la pédocriminalité de son beau-père duhamel, politologue (on a presque envie de rire si ce n’était désespérément tragique) à l’école de sciences politiques qui forment journaleux et putards de fransse…
Lui, Antoine, ne dit rien, c’est sa sœur jumelle qui livre un secret, connu depuis des dizaines d’années et qui a probablement coûté la vie à deux femmes, d’une manière ou d’une autre, un secret honteux pour le perpétrateur qu’est olivier duhamel.
Bien sûr, l’argent qui coulait et coule toujours à flot constant dans ces milieux a opportunément masqué l’ignominie de cet homme par ailleurs respecté bien qu’irrespectable en permettant à chaque protagoniste de tirer partie de la fortune de ceux qu’il faut bien appeler des nantis, pour le meilleur (les criminels) et pour le pire (les victimes).
Ainsi vont les perversions des dominants, qui s’abattent sur les plus faibles, leur propre progéniture étant une cible privilégiée.
Aparté: d’où parlé-je? Je parle depuis la chambre placard interdisant toute sortie d’aisance et obligeant au spectacle au moins auditif d’une génitalité d’adultes, parentale, à un enfant entre ses 3 ans et ses 16 ans. Voilà d’où je parle. Au moins.
Ceux qui en sont affligés ou apeurés s’échappent vite; ils ne comprennent pas, inconsciemment, l’absence chez moi de ‘neurones miroirs’ dont eux sont pourvus puisqu’ils n’ont pas eu à subir une torture psychique handicapante au plus haut point. Certains ont développé une intelligence qu’on dirait mathématique ou scientifique, rien de bien extraordinaire sinon que leur énergie peut être canalisée vers ces matières, puisqu’elle n’est pas occupée à combattre ce qu’ils ne connaissent pas. La plupart n’ont que peu d’intelligence, disons qu’elle est moyenne et suffisante pour se sustenter. Rares sont ceux qui peuvent comprendre et sympathiser. L’empathie est inutile voire contre-productive pour tous les protagonistes.
Neurones miroirs
lundi, janvier 4th, 2021“Nous avons tous la capacité de percevoir de façon innée les émotions d’autrui, grâce à des neurones miroirs, mais si les émotions de la personne qui nous fait face sont anesthésiées, nous ne ressentirons rien émotionnellement, ce n’est qu’intellectuellement que l’on pourra identifier la souffrance de cette personne, mais encore faut-il être informé de l’existence de cette dissociation (dans le film Polisse nous assistons à une scène de ce type avec la jeune ado qui a été obligée de faire des fellations à plusieurs garçons pour récupérer son portable, elle semble si indifférente à la situation que les policiers se permettent de lui faire la leçon et même de se moquer d’elle en lui posant la question : «et si on t’avait pris ton ordinateur portable qu’est-ce que t’aurais fait ?» et toute la salle de cinéma d’éclater de rire…). Grâce à cette dissociation les agresseurs ne sont pas gênés par des signaux de détresse trop importants de leurs victimes, c’est très dangereux pour les enfants car les actes violents pourront devenir de plus en plus extrêmes, sans qu’ils puissent y réagir (en revanche l’anesthésie émotionnelle ne les empêchera pas d’être encore plus traumatisés). De même les proches ne détecteront pas facilement la détresse et la souffrance des enfants, et passeront d’autant plus à côté. Enfin, cette dissociation est un facteur de risque important d’être maltraité, de devenir le souffre-douleur de tout le monde.”
in:
La-prise-en-charge-medicale-des-enfants-victimes-par-Muriel-Salmona-19-mai-2014
Violence nécessaire…
lundi, décembre 7th, 2020Pierre-Henri Castel – Le mal qui vient : essai hâtif sur la fin des temps
-https://www.youtube.com/watch?v=-OuzBtTyebo
Fucky fucky
vendredi, novembre 27th, 2020Eliminer avant d’être éliminé
mercredi, novembre 25th, 2020In Johann Chapoutot, Libres d’obéir, 2020 ed. Gallimard. ISBN 978-2-07-278924-3
Buter un système et ses représentants
vendredi, novembre 20th, 2020La secte politique / twilight zone
dimanche, novembre 15th, 2020Quelle idée saugrenue! m’est venue en regardant la saison première de “The vow”, un documentaire de la chaîne HBO qui traite de l’intérieur, grâce à des témoins et participants, de la secte organisée par keith raniere. La principale folie que retiennent les amateurs de superficialité, c’est évidemment le marquage des femmes par brûlure aux initiales du gourou, dans la zone pelvienne antérieure.
Mais il est question de bien autre chose que ces faits divers, il est question de manipulation de masse, certains parlent de lavage de cerveau.
Cette dernière expression est un souci majeur car elle suggère une action nettoyante. C’est tout sauf cela: ce sont des cerveaux disponibles aux manipulations, bien propres justement.
L’action perverse d’un gourou ne tient qu’au contexte qui a créé ses proies et à celui qui l’a créé, lui-même.
Une sorte de symbiose se crée ensuite entre celui ou celle vu comme un maître à vivre, un maître à penser, et tous les autres disponibles pour cette folie.
Il en va de même que dans la “4e dimension” (titre en français de twilight zone), ou le paradoxal le dispute à l’invraisemblable.
Quelle que soit la vérité, les faits permettent toujours d’y trouver un inattendu.
La peur qu’engendre la vérité est si forte, intenable, totale, que l’on préfère bien vite s’en affranchir en déployant force d’énergie pour la réfuter, quitte à se mourir.
Comment penser que ses semblables puissent être voraces au point d’être stupides? Mieux vaut donc fantasmer une autre réalité, plus adéquate et plus facilement compréhensible, de celle qui emmène sans lutte et sans souci vers une fin regrettable mais sans saveur.
Dénerver, ce n’est pas supprimer les émotions comme on peut le faire par des moyens plus subtils et définitifs, c’est couper les liens de la sensation d’avec l’émotion. Cela empêche toute réaction.
A la lumière “del covida, hombre!” on voit comment les bergers, paniqués mais qui n’en montrent rien, sacrifient leur troupeau pour les erreurs qu’ils ont faites eux-mêmes.
On ne trouvera évidemment aucun membre du troupeau pour exprimer ce qu’il en pense – disons, très peu; pourtant c’est là le génie de La ferme des animaux d’Orwell de montrer que ces animaux, ce sont nous, les humains; qu’il soit question de religion (le lien dans la crédulité) ou de politique (tentative dévoyée d’organiser la cité) les animaux conservent une sorte d’inertie propre dont la peur fondamentale est le moteur.
“On en a eu assez de soigner le troupeau, il prospérait plus vite que ces petites maladies, et puis, nous bergers étions en bonne santé. On avait bien assez de viande et de laine et les pâtures ne manquaient pas (… encore).”
Alors quand est venue la grippe honnie et que les bergers ont vu les troupeaux fondrent, ils ont poussé les faibles vers la falaise, croyant se débarrasser de la peste. C’est tout le contraire qui se produisit.
Les MC (les moutons costauds) devinrent les maîtres de cérémonies. Ils avaient développé une grippe puissante qui ne les atteignait pas, au contraire de leurs infortunés et faibles camarades de troupeau. Les bergers étaient fiers de ces bêtes costaudes, “en voilà qui nous ressemblent” se disaient-ils.
Cette grippe qui n’atteignait pas les MC s’arrangea pour passer chez les bergers pour y faire un massacre.
“Plus de barrière! plus de bergers! nous sommes libres!” s’écriaient les moutons costauds.
Ils prospéraient et vivaient donc libres, sans se soucier des pâtures… qui vinrent à manquer sous la pression cannibale de leurs mandibules.
Never mind the bollocks
vendredi, novembre 6th, 2020Tirage d’artiste. Impression encres pigmentaires (Ultra Chrome Epson) sur papier pur coton Lana contrecollé sur dibond, crochet, écarteurs.
53 x 37 cm. Certificat d’authenticité. Exemplaire 1 sur 3, définitif (aucun autre tirage). 300 € (port et emballage inclus).
Titre: NMTB_fuck_away_bitch.
Liberté d’expression, chérie!
jeudi, novembre 5th, 2020Ou de la misarchie réelle.
Face à l’absence totale de raison, d’honnêteté morale sinon de scrupules, une seule solution: la déraison.
Face à un “conseil” autocratique et anticonstitutionnel, une seule solution: la sécession.
La méthode: l’insurrection.
Le moyen: l’art, la création.
D’après une idée faussement originale d’Alain Acquebart, produit par Chimou Bénichou (apport de cachets et du cachet, on est en France) et Marie-Jo Gropierre (qui roule…etc), avec l’ascendant des suppôts religieux de toutes obédiences y compris putardes, une chanson punk et misarchique qui crache son venin…
Encore plus loin.
Désobéir c’est la santé!
… face aux crétins qui veulent nous éduquer.
Catharsis abréactionnelle fantasmatique: “égorger manu“. Ça fait du bien.
Crédits d’augmentation des cachets : guitares, chant, production, post-production, écriture, fausse basse, prise de son et de vue, montage, effets, mixage, création, interprétation, publication et tout le saint frusquin: FHP Lornet. 2020 under diktat.
MP3 (4 mb)
MP4 (48 mb)
La couleur ne fait pas l’homme
dimanche, novembre 1st, 2020
Les fumer définitivement, eux et leur système.
vendredi, octobre 30th, 2020Et ils sont encore bien gentils de croire à la pseudo démocratie.
Il faut neutraliser de façon définitive les dominants et le système de domination.
Le néo nazi manu macron
vendredi, octobre 30th, 2020manu macron a écrit une merde intitulée “révolution”…
Son action actuelle se résume à la privation de liberté de la population, elle ne tardera pas à devenir une action criminelle, comme le lui a appris brigitte trogneux en l’abusant de façon criminelle dès ses 15 ans.
« Quiconque fait de la politique, tient des discours ou des réunions de provocation, forme des clans, se rassemble avec d’autres dans le but d’inciter à la révolte, se livre à une nauséabonde propagande d’opposition ou autre sera pendu en vertu du droit révolutionnaire ; quiconque se sera livré à des voies de fait sur la personne d’un garde, aura refusé d’obéir ou se sera révolté sous quelque forme que ce soit, sera considéré comme mutin et fusillé sur-le-champ ou pendu. »
— Extrait du règlement régissant la discipline et la répression des détenus de Dachau, rédigé par Theodor Eicke10.
manu macron est un ersatz de nazillon, un fasciste, et tout le monde, dans la fransse des guignols et des pleutres, acquiesce.
… Il faut les fumer.