Archive for the ‘Combat’ Category

La ponérologie à l’heure du pervers nucléaire

lundi, juin 19th, 2023

La France vit depuis l’élection de 2017 et la réélection de 2022 du même pervers à la tête de l’Etat, une période de ponérogenèse politique ( https://fr.wiktionary.org/wiki/pon%C3%A9rologie ).
Comparativement aux autres chefs d’état plus ou moins fascistes et xénophobes, eux-mêmes assez sévèrement atteints de tares mentales comme bolsonaro au Brésil ou trump aux USA, celui que l’on appelle désormais le “méprisantiel de la raie publique” en raison de sa perversion totale, fait vivre à la population française une lente agonie psychique de décervelage ainsi qu’un meurtre de masse des esprits.
La folie envahit désormais chaque foyer, l’apathie et la méfiance s’emparent de chaque individu.
Ce sont là les conséquences d’une relation toxique au plus haut point, surtout lorsqu’il s’agit d’un “fou pervers narcissique” (concept élaboré par Racamier, voir la définition en 4 pages ici: http://www.lornet-design.net/la-folie-narcissique-racamier ) à la tête d’un état.
Hier, l’ex président de l’assemblée nationale (constituée par ceux qui sont élus et censés représenter le peuple, au pouvoir législatif) a émis l’idée, tel medvedev en Russie, de changer la constitution afin d’autoriser plus de deux mandats présidentiels. On sait ce que cela a donné en Russie avec poutine et medvedev, au pouvoir sans partage depuis plus de 20 ans.
Et voilà que le crétin français, le pervers neuneu, l’incapable de rien faire sauf à jouir du mal infligé aux autres, l’inhumain narcissique terrorisé par son deuil jamais effectué, a provoqué cet agir chez un de ses fervents admirateurs.
L’idée est lâchée, il reste 4 années de mandat pour détruire complètement la société française, son système politique (le fameux “en même temps” ne signifie pas une sorte de fusion-réunion de la gauche et de la droite, mais bel et bien un vide total du politique) ses services publics d’état, ainsi que la santé mentale et physique de tous les citoyens, hommes, femmes, enfants, et cela sans merci.

Un fou pervers narcissique n’a absolument aucune limite, il ne s’arrête que lorsqu’il est mort, tel le dictateur ceaucescu en Roumanie.

Le cuistre méprisantiel de la raie publique est encore jeune et ne lâchera JAMAIS le pouvoir. Plus il est humilié, et c’est quotidiennement et sur toute la planète tellement son vide et sa bêtise perverse sont visibles, plus il désire remplir ce vide qui le terrifie par aspiration de l’humanité de tous les autres humains véritables.
Sa conquête d’une pauvre femme professeur de province de 39 ans aux failles narcissiques évidentes, alors qu’il avait 14 ans, montre à quel point déjà il manipulait les faiblesses des autres pensant éviter les siennes, bien plus terrifiantes. Les élèves normo-névrosées fantasment l’accouplement sexuel avec un ou une professeur; lui l’a réalisé, mais non pour le sexe, pour la domination manipulatoire. Le résultat en a été la mort rapide (cancer) de l’ex-mari ainsi cocufié et père des trois enfants du couple âgés alors d’une quinzaine d’années.
La pseudo-réalité dans laquelle il s’est enfoncé, lui, mais aussi le reste de la société française virusée et décervelée par ses agirs, est un déni planétaire de l’idée même d’Humanité.
Bien peu s’aperçoivent du caractère irréversible de sa psychopathologie (une psychopathie sévère et incurable) et des dégâts qu’elle occasionne pour longtemps, sauf à effectivement se rendre compte que la destruction des biens publics est en marche (tous les services publics ne doivent penser qu’à la rentabilité via la fameuse “dette” — concept néolibéral, mais jamais à leur raison d’être: l’hôpital en est un exemple flagrant, mais tous les autres services sont également touchés). Ceux-là trouvent l’excuse du néolibéralisme, mais il est vrai que le capitalisme néolibéral est un système pervers qui sied aux pervers comme un préservatif à notre étron national.

Que disais-je donc déjà il y a quelques semaines: que les élections présidentielles françaises de 2027 n’auront pas lieu, car le cuistre s’arrange pour qu’une insurrection ou une guerre civile ait lieu, afin de s’octroyer les pleins pouvoirs, instaurer un état d’urgence sinon martial, voire un empire — la France a déjà connu cela, et délirer plus encore tel un hitler jouissant de sa folie, un staline paranoïaque au dernier degré, un enfant terrorisé à qui on a confié l’arme nucléaire…

L’humiliation de la population la plus faible est patente chez cet individu: pas d’augmentation des aides logements, aucune augmentation d’aucune sorte des moyens de subsistance — salaires, ni dans le secteur privé ni dans les services publics (sauf à entretenir ceux qui le protègent d’une mort certaine s’il se baladait dans la rue), réduction de la vitesse à 80 km/h sur les routes nationales (ainsi les jets privés pourront continuer de polluer sans que le bilan écologique global en soit trop affecté!), augmentation en flèche des prix de l’énergie et des biens alimentaires. Bref, j’en oublie, mais l’ambiance générale en France, aujourd’hui, est celle d’un malade au bordFje de la liquéfaction.

Alors comment lutter contre un tel malade mental, un tel handicapé psychique, un tel psychopathe qui gouverne par décrets et autres manipulations constitutionnelles afin qu’il soit le seul à légiférer et à gouverner?
Je vous laisse imaginer d’honorables solutions, il y a encore quelques millions d’armes dans le pays.
Car hélas, la constitution de la Ve république a été écrite par un militaire putschiste, qui avait cependant encore ses esprits, et qui protégeait les intérêts d’alors (colonies, guerre et invasion de 1939-45, etc).
Un esprit incurablement malade a pris le pouvoir et se sert de ces constructions législatives pour rendre l’Autre fou, afin de ne pas voir son propre malheur, lui aussi incommensurable. Les vies de millions de concitoyens sont en jeu, il n’en a cure, seule sa jouissance ponéronique le satisfait, et encore! jamais assez.
Seule la mort de l’être maltraitant et vide peut sauver ce qu’il reste de vie chez la multitude.

 

Perverted sociopath

dimanche, avril 30th, 2023

 

Partout

samedi, avril 22nd, 2023

Du nucleus familial au petit groupe jusqu’aux institutions et aux organisations étatiques et supra-étatiques, la perversion narcissique s’organise en noyautage.
Telle un virus, elle ustensilise et ne tue pas son hôte, car elle en périrait. C’est son caractère pervers.
La période covidiste mondiale, planétaire, de 2020 à 2023, pendant laquelle l’entièreté de l’humanité a vécu sous le joug de cette mascarade d’épidémie fallacieuse à ses dépens est venue, non pas faire jour sur cette psychopathie totalitaire, mais masquer celle, sous-jacente, de perversion narcissique ordinaire.
Tout n’est question que d’échelle.
J’ai moi-même vécu, familialement, les camps nazis; non la torture physique suivie de meurtre de masse (échelle oblige) mais le meurtriel, le meurtre psychique de l’âme tel que décrit par Shengold sans qu’il en ait discerné les contours comme l’a magistralement fait Racamier, ainsi que l’incestuel ou viol de l’âme, la non différenciation générationnelle, bien pire que l’inceste physique, le viol physiologique et corporel.
Voilà qu’arrive, dans un groupe à visée artistique, quelque créateur au talent certain, à qui on aura proposé ainsi qu’à tous, de faire quelques propositions créatives de son cru. Il ne manquera pas de se trouver parmi les participants un ou une pervers narcissique dont la jalousie face à la création se fera jour sous quelques agirs, puisque l’individu est incapable de la créativité qu’il jalouse.
S’il n’est pas un chef pour, au moins, faire croire qu’il s’agit de quelque chose de plus grand qui vient péter les couilles (une couleur politique, une attitude régionale face à la culture et à l’art en général, etc), alors il faut fuir et laisser tomber même ceux qui sont à peu près sains, même avec tristesse.
La petitesse de la manipulation, œuvre visible de type messe-basse ostentatoire, est facilement démasquable pour qui a non seulement vécu mais aussi lu. C’est hélas mon cas.

Tant pis pour ceux qui concèdent à prendre sur eux, ou rejeter sur organisme plus vaste, la manipulation dont ils sont les victimes. Leurs défenses sont probablement suffisantes pour qu’ils restent dans une pénombre de ce point de vue là, tout en conservant leur intégrité psychique non pas intacte, mais suffisante.
On ne peut ménager la chèvre et le choux en ces matières.

Je me contenterai donc de croire que la France que je connais depuis près d’un demi-siècle est un pays de fascistes, anti-culturel, anti-art et d’un crétinisme flagrant.
Le nid véritable de la perversion qui aura pris le relais de ce qu’Alice Miller appelle la pédagogie noire de l’Allemagne depuis quelques siècles.
On deviendrait facilement suspicieux à l’égard des “Lumières” d’avoir permis, sous couvert de pensée sympathique, une telle avanie.
La puissance du politique est telle dans cette société masturbatoire anale qu’elle ne vivra qu’avec ses aristocrates forniquant ses propres enfants afin de perpétuer une tradition de jouissance perverse, qui plus est judiciairement totalement et parfaitement impunie.
Les exemples vivant aujourd’hui encore sont légion, jusqu’à l’épouse du président de la république, en passant par les journaliste millionnaires, les écrivains douteux, les acteurs millionnaires eux aussi, les politologues autant que certains hommes politiques.

Je ne suis pas étonné que Racamier ait été français, à même de voir dans quelle enfer la contrée qui l’a vu naître est en train de tomber.

La folie narcissique (Racamier)

jeudi, avril 20th, 2023

Comprendre le moment psycho-social et politique que l’on vit, en France, surtout depuis 2017 (période exemplaire s’il en est!), avec les conséquences attendues de guerre civile et de folie partagée (nous sommes début 2023). Si vous savez lire, personne ne le peut à votre place.
Racamier est à placer avec Freud, Yung et Lacan (même si ce dernier est un radical-qui-pète-les-couilles 🙂 comme moi).
Racamier Paul-Claude, Le génie des origines, Psychanalyse et psychose, Payot, 1992.

“En guerre” … sabotage

lundi, avril 17th, 2023

Lorsqu’un psychopathe à la tête d’un état, un pervers narcissique paranoïaque (au sens psychanalytique des termes, et c’est sévère) dit à la population qu’il dirige (plutôt qu’il gouverne): “nous sommes en guerre”, alors il faut retourner contre le cuistre sa logique afin de le faire taire et de l’humilier.
La toute première chose à faire lorsque l’on mène une guerre, c’est de couper toutes les communications (liaisons et transports terrestres, aériens et maritimes) et télécommunications (télévision, radio, internet) par les moyens du sabotage.
La guerre voulue par le cuistre pervers et totalitaire se retourne ainsi contre lui qui, sans parole ni audience, se retrouve nu et vide, seul face à son deuil et à sa dépression, sans pouvoir l’évacuer chez d’autres. Il en meurt.
La vie peut ainsi reprendre son cours, forte d’une expérience enrichissante bien que traumatisante.
L’eau du Tao ne peut être empêchée que temporairement.

Se préserver

dimanche, avril 16th, 2023

Petit résumé de combat et de sanité.

Racamier (Paul-Claude) nous apprend que la perversion narcissique est toute dans l’agir et dans la parole. Ce qu’on appelle pensée n’existe pas chez le pervers narcissique. Le pervers narcissique n’a pas d’objet, il considère ses congénères comme des ustensiles.
Maffesoli (Michel) donne une définition des élites dirigeantes comme ceux qui ont le pouvoir de dire et de faire. En effet, et malgré le délire vulgaire et ridicule de Wharol (Andy) à propos des 15 minutes de gloire de chacun grâce aux médias — plutôt la télé-réalité que les publications web, encore que le virus de la médiocrité se propage; seules les élites (et les wannabe elite — gens de médias) ont accès aux financements d’état (l’argent de tous les citoyens) pour faire et à la publication par tous moyens disponibles, quand ils le souhaitent, de leurs discours afin de dire.

Racamier nous apprend également que la seule façon de faire cesser la torture psychique (et souvent bien réelle et physique, quand bien même seulement induite) d’un pervers narcissique, c’est de l’humilier afin qu’il en meure. Une seconde solution est la fuite, mais cela n’empêche pas que le pervers continue son massacre des moi narcissiques d’autrui.
A l’aide de ces deux éminents penseurs on peut envisager “d’avancer le temps” (plutôt que d’attendre une éventuelle solution extérieure — une élection? … si elle est encore autorisée…), afin de faire cesser la perversion narcissique d’un dirigeant totalitariste, simplement en ne l’écoutant pas, jamais. Et en n’en parlant jamais (le pervers narcissique excelle à  ce qu’on parle de lui quand il n’est pas là).
Sa parole, jusque là commentée, analysée, scrutée (toutes choses dont il jouit) devient alors rien (tout comme ce qu’il est en réalité, un être totalement vide) et ne produit plus aucun effet, tel un virus désactivé — utilisé dans les véritables vaccins — sauf à ce que tous le voient dans sa réalité de manipulateur sadique et paranoïaque — et puissent donc s’en prémunir de façon définitive!

L’effet de cette humiliation totale de cet être totalitaire qu’est le pervers narcissique serait quasi immédiat. Les effets en seraient tout d’abord violents, car le pervers n’a aucune limite. On peut supposer qu’un tel psychopathe dirigeant un état lancerait ses chiens sur tous ceux qui ainsi l’auraient humilié. D’un état totalitaire et soumis aux états d’exception, on passerait alors vers une véritable dictature, basée sur la guerre civile ordonnée : la police et l’armée au service de quelques fous et contre tout le reste des citoyens, avec de nombreux morts. Le “sang et les larmes” que le pervers narcissique n’a jamais voulu regarder en face dans sa vie personnelle, mais qu’il introjecte dans ses proies, fussent-elles une population entière.

Afin d’éviter une telle funeste période (qui par ailleurs ne manquerait pas de s’effondrer à son tour, mais à quel prix et au bout de combien de temps!) il est impératif que les esprits lucides et sains, dont je gage qu’il en reste quelques-uns parmi les élites et les corps dits intermédiaires, mettent en place un comportement rationnel plutôt que de suivre l’attrayante jouissance qu’un système pervers et ses pervers dirigeants pourraient leur faire miroiter.

Il s’agit là d’une histoire d’humanité.

Le mode coquille

vendredi, avril 7th, 2023

Quelquefois, au risque de n’en point revenir, il faut se mettre en mode coquille pour quelques temps.
De crise à lied, il en sort toujours quelques nouveautés.

Gui

jeudi, janvier 5th, 2023

Les heures sombres d’un éclairage public défaillant, une peste inventée pour terroriser, un royaume submergé autant qu’enlis(i)é.

Happy halloween fuckers!

dimanche, octobre 23rd, 2022

 

La bonne société

lundi, octobre 17th, 2022

La “bonne société”, c’est évidemment celle que les dominants appellent ainsi, la leur.
On ne peut pas l’enlever, la bonne société est celle des riches, bourgeois ou nobles, qui s’entendent entre eux le plus simplement du monde.
Les véritables intellectuels ne font pas partie de ce monde, on peut s’en rendre compte aisément en écoutant les Pinçon-Charlot qui ont étudié leur vie durant les rouages de ce monde social à qui la planète appartient d’une manière ou d’une autre et que l’on peut considérer comme responsables de son anéantissement, à savoir celui de l’humanité. [ <- y’a un souci dans cette phrase, hein? 😉 ]
C’est là toute la difficulté de saisir ce qui est le mal dans un monde auquel on est habitué depuis la naissance. On peut même presque dire que les philosophes, dans leurs tentatives multiples, avancées mais toujours vaines, de caractériser l’humain ont participé également au déni qui caractérise l’absence de prise de conscience de ces drôles d’animaux qui parlent et prétendent être pourvus d’une conscience.

Les chiants cons

samedi, octobre 15th, 2022

 

L’autorité folle

jeudi, septembre 29th, 2022

Cette période où la folie l’emporte au sein et au service des dominants fait confondre à certains esprits éveillés l’autorité et l’autoritarisme, maniaque et pervers.
C’est non seulement embêtant, mais très dangereux. Si l’on veut bien considérer les trois états psychiques principaux que sont la névrose, la psychose et la perversion, cette dernière, bien qu’ayant toujours existé, semble l’emporter sur les deux autres à la faveur du cours de l’humanité et des systèmes qu’elle met en place pour sa survie, économiques, politiques et donc sociaux.
Une grande masse de névrosés se contentent d’un déni inconscient de ce dont ils sont l’objet; c’est la vie pensée comme heureuse mais débilitante basée sur la reproduction et la consommation, afin de croire “qu’il en va ainsi”.
Cependant, et bien que ces signaux soient encore faibles et plutôt utilisés comme des outils pervertibles, le mouvement d’émancipation est toujours présent et semble s’attaquer désormais à certaines fondations de la perversion dominatoire, à savoir la sexualité: les femmes et les enfants dénoncent les tortures maltraitantes “communes” et ne se résolvent pas au déni. Une conscientisation du malheur dont l’art est la principale voie d’accès et qui prend la forme politique et sociale de rébellions, de révoltes et de séditions.
Les réponses à cette émancipation saine, dans les régimes politiques les plus variés, sont évidemment l’emploi de la force afin de mater toutes velléités de liberté et de préserver la domination des castes perverses.
Ce qui peut être plus grave encore pour la société, c’est que ceux qui entendent prendre soin d’autrui, afin de réduire la folie auto-destructrice des survivants de maltraitances, peuvent être amenés à confondre des mouvements d’autoritarisme pervers et toxiques avec une autorité saine. Cela est permis par la nature même de la perversion que Racamier et Caillot à sa suite ont tenté de définir avec un certain succès.
Cependant, et il faut y revenir, la nature même de la perversion est indissociable de la jouissance dont elle se nourrit, ce qui en fait un phénomène mouvant dans son immobilisme et insaisissable dans ses contours.
Eiguer tente de son côté de parvenir à cette même fin en s’appuyant sur le groupe plutôt que sur l’individu malade, car cet individu est jouir de folie et amour de la destruction de l’autre dans le cas de la perversion narcissique. La collusion de ces mots antagonistes montre à quel point la tâche est ardue.
Fût une époque où Freud pouvait encore fuir la folie destructrice de la perversion en s’échappant dans un autre pays que le sien où les gouvernants étaient moins sujets à la pédagogie noire qu’à l’amour de la liberté, mais surtout à une certaine modération (si l’on veut bien y croire encore).
Aujourd’hui, dans ces premières décennies du XXIe siècle, l’Homme a atteint sans encore le formuler ni le formater entièrement un régime planétaire.
L’expérience inédite (!) d’un virus de type coronavirus aux symptômes principalement grippaux, dont on ne sait rien de la genèse (c’est à la fois fort ennuyeux et de bien peu d’importance face aux phénomènes politiques construits sur et par sa présence bien réelle)  mais dont on sait qu’il a émergé près d’un laboratoire d’ingénierie génétique étudiant à des fins de modification précisément ces virus de chauve-souris, a montré à quel point la bascule dans un régime totalitaire mondial est aisée.
La perversion, disais-je, mène à la psychose. L’inertie de la névrose peut probablement pendant un temps faire contrepoids aux saillies qu’amènent les psychoses dans la société, mais c’est là un équilibre forcément fragile et qui ne repose en rien sur la raison.
Si la perversion s’étend de façon suffisamment globale, la psychose remplacera bientôt la banale névrose pour le malheur de tous.
La névrose est un pis-aller assez confortable et jusqu’à présent assez efficace également. Jusqu’à présent.
La psychanalyse, et par extension toutes les formes thérapeutiques bienveillantes (de celles qui permettent d’aborder la mort en paix, la vie durant), ne peuvent se laisser manier, subrepticement, par un autoritarisme rampant, fruit de la perversion.
J’admets que certaines contingences matérielles puissent, hélas, empêcher un instant les déroulements de cures, mais il faut impérativement et le plus vite possible, dire et montrer à la lumière de l’esprit le phénomène autoritaire en prenant conscience qu’il vient remplacer, de façon éminemment perverse, la saine autorité sans laquelle le sens est inversé pour devenir insensé.
Se dire que l’assurance psychique de l’homme sain est un rempart suffisant aux attaques perverses est un leurre. La fuite était, était!, un moyen terme pour garder une certaine sanité, mais les progrès techniques (surveillance de masse en toutes matières, sociale, médicale, politique, bref, physiologique à défaut d’être encore intégrée au psychisme mécaniquement) sont aujourd’hui mis à la disposition des pervers qui nous gouvernent.

Y a-t-il du beau, du bon et du sacré dans l’humanité, je le crois.
Cependant, et même à des fins personnelles, la foi, la saine lutte ne doit jamais se laisser amadouer par la face perverse de l’hubris.

 

Dysfonctionnalisme comme arme de destruction de l’humanité

lundi, août 1st, 2022

On n’imagine pas à quel point ce que la dysfonctionnalité grave des familles psychopathiques engendre comme psychoses ou leur corollaire, les états dits limites.
Pour prendre un exemple, un père mégalomaniaque pervers narcissique qui se serait trouvé une femme complice, qui, sous couvert de “bonne société” ou simplement pour “sauver les apparences” (plutôt que les êtres, n’est-ce pas?), s’en serait pris à son propre fils comme exutoire peut créer une véritable psychose chez cet enfant. La sœur est plus ou moins épargnée et utilise le modèle maternel pour survivre.
Ben c’est moi, cet enfant.
Je profite des rares moments de lucidité que je vis de temps en temps pour l’écrire.
Ces pathologies gravissimes de l’humanité que sont la perversion narcissique, sa complicité (salvatrice pour le complice) et l’utilisation des enfants comme exutoire est une pathologie virale et toxique au plus haut point.
Evidemment, les névrosés banaux ne peuvent rien y entendre. Mais ceux qui connaissent, par expérience et étude, les pathologies psychiques, savent quels dégâts sociaux elles créent.
En général, les plus faibles ne peuvent exprimer ce genre de choses car ils se sont suicidés bien avant de pouvoir prendre conscience du mal dont ils souffrent.

Dans les détails, dites-vous?

dimanche, juillet 24th, 2022

Juste un doigt…

jeudi, juin 9th, 2022

Being whole life* victim and survivor of an NPD parent

samedi, mai 28th, 2022

Trauma is constituted of repetitive shit. A “simple” rape at 20 years old is actually nothing compared to a traumatic experience that has been lasting for more than 20 years, including the pre born shit.
Having been the victim of an NPD parent, in my case a fucking father, is killing ‘softly’ the soul of ANY human being.
But what’s occupying me at the moment is the: why do symptoms can reverse and come back?
I had a great time living, probably the first of my life (considering I’m 48 yo) during february and march 2022. Then I had  serious illness (flu or 22’s name covida) and after that symptoms of what I call nolife or brain normal functions interruption.
As of today, I’m back to life and fighting instead of struggling. That means anything “normal” is “normal”, sometimes even a pleasure (always consider that in symptomatic periods anything “normal” is just a pain emerging from a nowhere memories).
So it’s like all psychoanalysts call the “too much” or “too few” mirror of what’s happened in education during childhood.
There is NO balance. I’m ok with with the mirrored too much, as it kind of compensate the nightmare I’m living in since even before being born.
The history of a NPD of course goes back to even before œdipian state, they have NO œdipian period. That is not safe at all, it’s insane.
As to counter effect this, those people, unconsciously, put on a life strategy and begin to look for victims.
As to my insane father, that was probably my mother at first, but I soon, being born became the one preferred victim.

Shengold

mercredi, mai 25th, 2022

Lecture du moment, Le meurtre de l’âme de Léonard Shengold.

Tout

jeudi, mai 12th, 2022
Je vais lire TOUT ce blog. C’est le mode d’emploi de ma (jusqu’à présent assez) triste vie.
Et ensuite, si j’ai encore quelque vie, quelques forces, si j’y parviens même… ça va chier dans l’ventilo, j’apporterai ma pierre à l’Humanité (carrément).

https://perversionnarcissiqueetpsychopathie.wpcomstaging.com/

 
Paul-Claude Racamier, « L’incestuel », in Vocabulaire de psychanalyse groupale et familiale, tome I, CPGF, Paris, 1998, p. 164.
Jean-Claude Guillebaud parle dans le même sens de l’inceste dans Le Principe d’humanité : « Le père qui possède sexuellement le corps de son enfant cède à un désir inhumain… Il brise le cours du temps. Il efface la parenté. Il interdit à la victime de prendre place dans la chaîne des générations. L’inceste est le cousin germain du génocide en ce qu’il aboutit à détruire l’individu en détruisant son lien de parenté. Ce qu’il violente, en somme, ce n’est pas seulement le corps de l’enfant, ou l’un de ses organes, c’est très exactement ce qui fonde son humanité. »
A lire en conclusion de l’article « La dimension anthropologique de l’inceste », sur le site de l’association AIUS. Pour rappel : l’incestuel désigne quant à lui un « équivalent d’inceste » encore plus maléfique que l’inceste génitalement accompli.

Pas mieux.

mardi, mai 10th, 2022

« L’assassinat d’âme est, de toute évidence, à mettre en rapport avec ce noyau de perversion narcissique qui s’exerce par le père à l’endroit de son fils et qui a pour fin l’attaque et la destruction de la vie psychique de Daniel-Paul afin de se libérer soi-même de ce qui pourrait être source de folie.[4] »

in:

https://perversionnarcissiqueetpsychopathie.wpcomstaging.com/2018/03/01/le-meurtre-de-lame-ou-meurtre-psychique-et-la-perversion-narcissique/

Retour des.

mardi, mai 10th, 2022

Retour du refoulé ET du refoulement. Là, c’est étrange autant qu’indisposant, autant que désespérant.
Mais voilà, en dehors du contexte psychique interne, il y a le contexte ultra intrusif externe: à savoir, l’absence totale de soins qui n’est même plus déguisée, mais admise comme une nécessité économique autant qu’une nécessité psychique des dominants.
Comme le dit Gori et avec lui nombre de véritables illuminés, de ceux qui sont dans la vie, la catastrophe est désormais palpable.
(héhé, ça me donne un sourire, Martha, ce dernier mot si agréable 🙂 )
Mais voilà, lorsqu’il y a des tensions aliénantes si fortes, qui parcourent absolument toute la société, dans son ensemble total et nucléaire, il faut qu’elles se résolvent. Oui.
Les “dominants” sont en train de saboter l’humanité de telle façon que le même mot avec une majuscule devient vide de sens, à l’image que veulent lui donner ceux qui sont eux-mêmes vides et gravement malades au point de ne jamais s’en apercevoir ni même de décompenser une bonne fois pour toutes (ce qui signifierait leur disparition irréversible, au moins pour un temps que l’on appellerait béni).