Archive for the ‘Canardage’ Category

Hadopi = gaspi

lundi, juin 3rd, 2019

Alors ce machin, c’est 4 millions (sûrement plus) d’argent public dépensé par an, pour pantoufler 40 copains des rupins, et ça sert à rien, sauf à entretenir les susdits rupins (je viens de résumer Crépuscule de Branco, là, non? 🙂 )

En plus ils en sont très fiers, ces cons!

https://www2.series9.io//film/colette

PS: il y a des millions de sites comme ça, hein, au cas où vous prendrait l’envie d’essayer de faire quoi que ce soit de stupide -puisque vous ne savez rien faire d’autre.

 

FHP déverse 20 tonnes de sperme véritable sur l’obélisque parisien pour célébrer la jouissance de l’oligarchie et des dominants sur la populace engluée

vendredi, mai 17th, 2019

Geste artistique grandiôse!
Aux oubliettes la roberta de clitoris avec son petit pot de sang menstruel étalé sur une photo qu’elle n’a même pas créée!
Oublié le plug anal de kapour le petit et son vagin métallique (faudra lui dire que c’est la ceinture qu’est en métal cloutée^^)!
Fini à jamais le minuscule koons avec ses jouets de pédophile grandeur “adulte”!

Haha! 🙂 Le phallus de pierre a enfin éjaculé!

PS: et yen a partout 😉 … A quoi ça tient, l’ “art”.

Paris, paradis des vendus, ville de merdes.

mardi, mai 7th, 2019

 

Excellent!
http://www.icidailleurs.com/index.php?route=product/category&path=121

De la niaiserie française

vendredi, avril 26th, 2019

S’il est un terme pléonasmatique de ce qu’est l’essence ontologique de la France ou des Français et Françaises en général, c’est bien la niaiserie.
Oh, il y en a bien quelques-uns qui se départissent de cet engluage, c’est certain (Branco, Sauron, Lacan, Dolto, et moi ^^ hihi).
Je m’efforce de trouver, par moult messages et autres polies démarches, des modèles photographiques.

Bien sûr, il y a des déconvenues. Merde! Il n’y a QUE des déconvenues 🙁

Quelques jeunes foutrasses se permettent même de me dire qu’un blog n’est pas un book (en fransse il faut avoir un pseudo book sur une plate-forme de MERDE pour arriver à faire croire aux esprits couillons qu’il y a un brin de sérieux…).
Putaing! Ya vraiment des gourdasses niveau maternelle bac moins 500 et des crétins sans jugeote qui réclament un SIRET qu’ils sont infoutus (les salopards décérébrés) de trouver!

Ma patience n’a pourtant aucune limite, malgré les injures et le vocable peu choisi (?) que j’aime à employer.

Tout récemment, une jeune fraîchement arrivée dans le tout-petit-paris de la photo s’est même permise de remettre en doute ma culture punk.
Fausse féministe, probablement, qui doit voir dans le mot buzzcocks un outil de vibration sexuelle, au lieu d’un groupe d’étudiants en philo du nord de l’Angleterre qui a fait fureur à l’époque punk. Et ce n’est que l’un des plus connus.

J’en ai marre, les amis. Je vais sortir le tromblon et les coups vont partir pendant les nettoyages récurrents.
Ou tout simplement, je vais quitter ce pays de merde et ses connards de citoyens 🙂

Aux gros cons

vendredi, avril 26th, 2019

J’attends toujours un mail ou un coup de fil d’une petite tarlouze sudiste, histoire que je le backtrace du header…
Mais il semblerait que ces paltoquets soient dépourvus de couilles et qu’ils sachent toutefois, malgré leur intelligence proche du néant, que l’on peut vraiment les emmerder et rendre visible leur nullité crasse, sauf s’ils utilisent une plate-forme de guignols ricains…

Tiens, c’est pour toi ma tafiole merdeuse:


PS: et là, je suis très gentil.

Penseuse

mardi, avril 16th, 2019

C’est pas une photo pour les tarlouzes, et encore moins pour celles qui se reconnaîtront.
😉

A tribute to George Carlin ;)

dimanche, avril 7th, 2019

I hereby quote (photo title) George Carlin using a popular expression I like much when going through some justified anger moment. 🙂
“Shit, piss, fuck, cunt, cocksucker, motherfucker, and tits.” You can add quite some MORE, too! :’D
Damn pricky twats! ^^

Contre l’inculture…

samedi, avril 6th, 2019

… il faut parfois employer les grands moyens.

(artwork by Djet in “Le monde selon Zach”, ed. Grand Angle 2018)

Dessin de ma presse

mardi, mars 19th, 2019

De l’incompréhension choisie… En veux-tu, en voilà!

Kiss my ass @ OK Corral

dimanche, mars 17th, 2019

This is what you can call a cold revenge.
Some like 20 years ago I’ve been part of a pseudo artist work that ended in a bad manner (not for him of course), thanks to the pseudo artist himself, a bit like the story with Roberta de Clitoris.
Let’s make clear the very end: a 100 box instead of the 10% of the 6K previously promised (which is 600 box) for quite some amount of work with quite some hardware and at any time of day and night.
What reminded me about this story is the picture of some graph play on words tagged in a Cartier shop in Paris last saturday, during the 18th week of ‘yellow jackets’ protest (with some great destruction of riches’ symbols): it says “Pas de Cartier pour les bourgeois” which actually means “no mercy for the bourgeois” in with ‘mercy’ is ‘quartier’ in french which is pronuonced just like the famous luxury trademark ‘Cartier’.
The déchu artist I won’t name him (but you’ll easily find who he is…) was- as an ‘artist’ I mean-so, was at the time, early 2000’s, making me work on my computer to scan and develop photos and make some graphic artwork for him, of course as ‘tests’ (meaning non payed or ‘for the fun’ of it, for the most part of it …).

I’ve been through some pages about the guy’s new work as a gallery manager, after he left his pseudo artwork. I quote him:
“Deux ans plus tard, il raccroche ses ambitions artistiques. “J’ai eu un moment de lucidité, dit-il. Parfois, il est bon de persévérer, et parfois, non.” “( in  )
“À l’origine il y a un changement brusque, existentiel : arrêter d’être artiste, faire les choses autrement, changer de vie. C’est un choix égoïste, pas politique. Je l’ai fait pour moi, pas contre le système. Et ça n’a rien à voir non plus avec le marché dont je ne connais alors rien, et dont je ne me soucie pas. Cela a plus simplement à voir avec une crise de lucidité un peu plus aiguë et longue que d’habitude : je ne suis pas un grand artiste, je ne vais pas le devenir et je vais crever de désespoir et d’amertume si je m’entête une minute de plus dans cette voie.” ( in  )

As an art historian with quite some background, as an artist myself, and as an ex acquaintance, I can say: AT LAST!
But that’s not really my point here. He owes me 500 plus the 100 of interests. I don’t care much about such a money, but now, he will know that the past is NEVER forgotten, however people can live through some high difficulties. Furthermore, I know HE likes much money though… “I mean, we’re across the street from the Carlyle!” ( in  )
What I care about is not being taken for an idiot.
Having passed by a quarter analysis doesn’t make you someone. Knowing you’re bad and making profit out of it using people’s weaknesses is really common.
That’s not a character trait. It’s just going deeper into the ‘sickness’ of humanity.

I wish him good luck in ‘la petitesse’ of his life. It’ll all end like ‘petits fours dans les raouts’: shit.
Plus, you can also give back the money and stop manipulating people with a stupid smile, thanks!

Farewell!

On vient te chercher chez toi

vendredi, mars 8th, 2019

C’est l’une des chansonnettes poussées gaiement dans les manifestations politiques des gilets jaunes contre toutes les injustices: “emmanuel macron, ô tête de con, on vient te chercher chez toi”. Le bon sens populaire près de chez vous 🙂

Pour peaufiner ma petite analyse présidentielle je voudrais citer un passage du livre “La Manipulation affective dans le couple: Faire face à un pervers narcissique” de Pascal Couderc et Pascale Chapaux-Morelli paru aux éditions Albin Michel.
On y découvre un portrait saisissant et fort ressemblant aux profils psychologiques des hommes de pouvoir -tous les dominants, en fait, en particulier de certains des premiers magistrats français, et qui sied à merveille à l’actuel président français.
Attention, ce genre de lecture n’est pas à conseiller aux consensuels de tous poils 🙂

 

“Le Tout-Puissant

Le Tout-Puissant (son envergure vaut bien des majuscules…), que nous choisissons de peindre sous les traits d’un homme bien que nombre de femmes aient ce type de personnalité, est celui qui pense être le centre du monde et croit pouvoir agir sur ce dernier en monarque suprême. Ne dit-on pas : « Dieu Tout-Puissant » ?

Le Tout-Puissant est resté dans ce que l’on nomme le « Moi idéal », soit le Moi narcissique du petit enfant pour qui le monde, c’est lui-même, et son modèle, également. Les autres ne sont pas pris en compte ; il reste centré sur lui et se nourrit de lui-même, contrairement au pervers narcissique qui cherche l’autre pour s’en nourrir. Le Tout-Puissant n’a que faire de l’autre et ne saurait s’en nourrir : il est déjà plein de lui-même et se considère comme étant riche de toute la substance du monde ! Il a en commun avec le pervers narcissique cette constatation : l’autre ne peut avoir le même statut que lui à ses yeux. Tous deux se considèrent comme supérieurs…

Si le pervers narcissique manipule par l’envahissement, la dépréciation, l’isolement et la destruction, le Tout-Puissant manipule, lui, par la tyrannie. Très exigeant non seulement envers lui-même, mais aussi envers les autres, son entourage, ses collègues, il peut ressembler au pervers narcissique. Toutefois, le Tout-Puissant n’est pas pervers, il n’a pas l’intention ou le besoin de détruire. Il anticipe donc moins par rapport à l’autre : ce qui l’intéresse, c’est dominer. Il est donc aussi plus conscient et plus stratège. La destruction de l’autre est présente malgré tout, mais en tant que conséquence de ses agissements plus que comme objectif. La destruction intervient « de surcroît » car elle est nécessaire pour asseoir la tyrannie.

Toute cette force qui se dégage du Tout-Puissant laisse évidemment penser que justement il est profondément vulnérable sur ce point. C’est un grand impuissant et son comportement exprime une attitude défensive : il domine par peur d’être dominé… On ne critique pas le Roi : il règne, et l’homme Tout-Puissant veut rester intouchable. Il est dans l’angoisse de la perte de son pouvoir (et en cela il se différencie du pervers narcissique, lequel, rempli de néant, est avide d’acquérir de la substance par « objet » interposé).

Le Tout-Puissant manipule donc pour installer son pouvoir et rendre sa tyrannie « opérationnelle ». Il passe ainsi le plus clair de son temps à prouver aux autres que ce qu’il accomplit est mieux fait, que ses idées sont les meilleures. Par essence, il est ambitieux, souvent hyperactif. Il déteste évidemment être pris en faute ou en flagrant délit d’imperfection. Son orgueil, alors blessé au plus haut point, l’amène à réagir par l’attaque : il accuse en retour (éventuellement de tout autre chose) pour détourner l’attention de sa propre culpabilité. Si, par exemple, on lui fait remarquer qu’il laisse traîner ses vêtements, il répond : « J’ai, moi, rangé tes chaussures de tennis pas plus tard qu’hier ! ». Comme personne n’est parfait, il trouve toujours comment « déplacer » le reproche et le faire translater vers l’autre.

« Mon mari est un homme intelligent, et il se met en quatre pour la famille… mais il nous écrase un peu ; je trouve qu’il s’impose trop, confie Ghislaine, 48 ans, employée de bureau. Auparavant, je ne m’en rendais pas compte, mais maintenant ses reproches m’étouffent ; il n’arrête pas de critiquer. D’après lui, ce que font les autres est toujours mal fait. Il est trop perfectionniste. Il a tout le temps de quoi redire. J’ai l’impression d’être constamment prise en défaut, comme coincée contre un mur. Avant, j’essayais de le contenter et de lui faire plaisir. Depuis quelques mois, je ne le supporte plus. Pourtant je l’aime… mais il exa gère. Il dirige tout, fait la loi sur tout. Quand nous partons en vacances, il prépare d’abord une liste de ce que chacun doit faire : moi, mon fils, sa sœur. On dirait qu’il dirige sa petite armée. Après, il fait un “check” de tous les points de sa liste pour vérifier que tout a été fait dans les règles – vous savez, comme les pilotes à bord des avions avec leur check-list. Notre fils, Vincent, est en général chargé de changer les piles des boîtiers d’arrosage automatique, pour le jardin, de préparer les vélos que nous chargerons ensuite derrière la caravane, ainsi que le matériel à emporter pour les éventuelles réparations. Eh bien, je crois que depuis cinq ans qu’il a cette haute responsabilité, il n’a jamais réussi à faire ce que son père lui demandait. Mon mari repasse derrière et pointe du doigt les “erreurs” ou ce qu’il juge comme tel. Les bicyclettes ne sont jamais assez bien nettoyées, les pneus pas assez ou trop gonflés. Les boîtiers d’arrosage sont mal réglés et Vincent oublie – selon mon époux – les trois quarts de ce qu’il faut emmener : trois paires de rustines au lieu de cinq, une huile spéciale, etc. Cette année, Vincent s’est soustrait à ces contraintes. Mon mari l’a traité de fils ingrat, de dégénéré… »

Ce genre d’homme (ou de femme) agit d’égale façon avec son conjoint. Le Tout-Puissant se comporte ainsi avec toutes celles et tous ceux qui l’approchent.

Ce type de personnalité provoque dans l’entourage, soit un réflexe de rejet et de rébellion, soit un état de dépendance et d’assujettissement, selon les circonstances et le caractère des individus. Le Tout-Puissant choisit généralement un conjoint qui l’admirera et saura lui obéir mais, comme il aime flatter son ego et exhiber une compagne de choix, il peut aussi s’attacher à une personne « remarquable », dotée d’une certaine personnalité, auquel cas il s’expose à des obstacles dans l’affirmation de sa tyrannie…”

Auteur: Pascal Couderc.
Source: https://www.pervers-narcissique.com/episode-11-la-manipulation-ordinaire/

 

Il y a ceux-là.

mercredi, mars 6th, 2019

Il y a ceux et celles qui, jamais ennuyés d’une quelconque façon qui dépasserait une démangeaison légère ou une poussière dans l’œil, se targuent de ne pas être des intellectuels.
C’est encore heureux!
Rechignant à la lecture d’un Lordon, expliquant fort bien, avec son biais inimitable, la philosophie -indigeste pour moi- de Spinoza à sa sauce, ils préfèrent se plonger dans les lectures viciées d’un prix à l’accession au monde des millionaires tels les Houelbec à sa mémère, les Piketti à son Duce, prêts même à défendre d’indéfendables idéologues tels que Finkelkraut à sa choucroute, Onfray mieux d’se barrer (à la Vogonstyr) ou encore des bhl aux initiales finalement fort proches de celles de magasins fourre-tout pour consommateurs décérébrés.
Il y a ces gens-là, mais parmi eux, on peut encore affiner les catégories.
Certains sont véritablement des cuistres. En dehors des apparences, ils ne désirent absolument rien. Une pseudo culture rassasiée d’Inrockuptibles banquiers, aux ordres d’une bienséance trash-chic tragique, de magazines en vogue leur faisant dégouliner un soupçon de ce qu’il faut absolument savoir pour remplir le vide de leurs vies et les soirées sociales obligatoires.
D’autres s’épuisent à la conquête d’apparences strictement vidéo-sociales, comme si ce qu’on voyait était l’unique et vrai reflet d’une vérité partagée, enviée, et finalement absolue.
D’autres encore, et ceux-là sont peut-être sauvables, s’accommodent d’un saupoudrage des précédents vices pour masquer quelques questionnements dont ils repoussent l’idée même jusqu’à un hypothétique plus tard. Plus tard.
Pourtant tous ces gens-là ont une chance dont ils ne seront jamais pleinement conscients.
Est-ce, au final, une chance que d’être et de rester aveuglé tels les imbéciles heureux que l’on rencontre parfois -au détour d’un coin de rue, au hasard, pendant une manifestation des gilets jaunes, telle une peste vicelarde- en se persuadant qu’il n’y a pas plus grand bonheur?
Ceux qui profitent éhontément de la masse de ces ignorants savent bien, quelquefois inconsciemment – en témoignent leurs lapsus- que leur salut à eux est dans cette masse informe que revêt la bêtise, si commune à l’humanité. Ceux-là sont les dominants, quels que soient leurs moyens.
Et pourtant!
Et pourtant il existe une sorte de force qui poussent les malchanceux à se dépêtrer de l’ignorance qui caractérise le plus grand nombre.
Cette force c’est la souffrance et la douleur, dans leur infinité de formes et de chemins. Cette force, c’est l’unique chose admirable concernant l’humanité.
Cette force, c’est le majeur tendu sur un poing fermé, seul dépassant de la surface où l’Être se noie.

A need for a first amendment

mardi, février 19th, 2019

https://en.wikipedia.org/wiki/First_Amendment_to_the_United_States_Constitution

There’s a great need of something ressembling the first amendment of the US constitution in a small country that lives in a constant domination of any kind of cretins and keep doing so after sabotaging ANY little step of enlightment through ages.
Maybe something better than the first amendment could be found, but as always, human condition is so well done that it will stay the same for eternity.

Sad tasty humans.

Best gore of french police – 2018

dimanche, décembre 9th, 2018

Ils n’ont pas voulu d’une Nuit Debout pacifique et pacifiste, intellectuelle et philosophique…
Ils s’en sont moqués, même.
Ils récoltent ce qu’ils méritent, donc, à se cacher les yeux devant la triste réalité exposée sur un site comme bestgore.

Aujourd’hui, la réalité qu’ils ne veulent pas voir, imbus d’une position sociale fallacieuse et fantasmée au plus haut point, se rappelle à leur souvenir dans les rues des beaux quartiers: https://lundi.am/Violences-policieres

Le french pigs best gore.

“Yet in France, people are raising serious concerns regarding Macron’s policies on labour rights, pensions and access to university. Amnesty International has previously documented how the French authorities curtailed people’s right to protest under the cover of the state of emergency laws. As a result, we have seen environmentalists, labour rights campaigners and others unjustifiably banned from taking part in protests. In 2018 protests calling for laws that respect economic, social and cultural rights are at best ignored by the French president, or at worst repressed violently by the police.”
In https://mondediplo.com/2018/12/04rights

Les voies des saigneuses…

jeudi, novembre 8th, 2018

Le Canard Enchaîné 31 octobre 2018.

 

Prenons le temps de nous gausser 🙂

Déconvenue ferroviaire

vendredi, novembre 2nd, 2018

Alors que j’avais deux shootings prévus, obtenus de haute lutte, la bêtise humaine et son corolaire économique qu’est le capitalisme m’ont empêché de réaliser le travail prévu.
Sur une ligne ferroviaire déjà amputée de sa seconde voie, dont les rails vétustes ne permettent plus de rouler à une vitesse efficace, la neige s’est abattue sur les arbres encore feuillus. L’entretien au rabais de la voie, je le connais, les branches touchent les wagons comme j’ai pu m’en apercevoir il y a quelques jours encore.
Deux jours à déblayer les branches de la voie, pas de train… Et sitôt le jeudi de la Toussaint arrivé, date à laquelle la circulation devait revenir à la normale…
Je vous le donne Émile, une grève pour le pont de la Toussaint… serait-on tenté de dire. Toujours pas de train.

On pourrait ajouter qu’avec le prix exorbitant de l’énergie et les lourdeurs de contrôles des masses véhiculées…

Alors la start-up de mémère sa fransse à son gigolo qui turlute les banquiers…

Rien de neuf donc dans le pays du roi des cons.

 

En faits.

samedi, septembre 8th, 2018

Il est étonnant de voir la performance de #Roberta_de_Clitoris à Lourdes en regard avec ce post de mise au point qui est mien: http://www.lornet-design.net/shame-is-cretiness/
Anéfé, je mets en première place Marisa Papen qui pose nue devant le mur des lamentations…
Tout le reste n’est forcément que fortuit, n’est-ce pas? haha!
https://twitter.com/18Vues/status/1038371373146628097

Just like oysters… YUM! ;)

vendredi, août 31st, 2018

Many people that wouldn’t never ever be ostracised for any reason are playing the oyster game nonetheless.
It’s quite A condition for human restlessness.

Don’t be shy, mates 🙂

Ask me the recipe 😉

Pour bien comprendre

dimanche, août 26th, 2018

On ne doit pas s’approcher et nager aux côtés d’un animal qui est à pleine maturité sexuelle

Sauf s’il vous y autorise ou vous y invite.

Compris?

Bon sang de bois!

dimanche, août 26th, 2018

Ou bon dieu de merde, au choix.
J’ai regardé le twitter de Milo taleur, et j’y ai vu une image complètement débile: elle, nue de dos avec un tablier pour seul vêtement, posant la question de savoir si “on” avait faim… Auquel cas, on pourrait voir d’autres photos en devenant membre de son site, c’est à dire en payant.

Ah, de l’art donc. Et répétitif, en plus.

Non que ce ne soit pas agréable d’admirer un corps de femme, mais il semble manquer de consistance cérébrale.
Et c’est un grave problème lorsqu’on proteste et se revendique d’un féminisme actif.
Pour moi, cela signifie que l’on est assez intelligent pour être aussi con que celui qu’on combat.
Oui, ça m’embête un peu 🙂
Ça ne va pas dans le bon sens.

C’est un peu comme Ardouin Lupinette, le méchenchonchien qui ne peut exister qu’en croyant fermement que ceux qui pourraient bien être plus vindicatifs que lui sont tout simplement des opposants de l’extrême autre bord.
Une pathologie peu grave de psychose, mais fort embarrassante pour les relations sociales. Elle se caractérise par un ricanement un peu hystérique manifestant une sorte de contentement tout autant qu’une supériorité moqueuse, à tout bout de champ.
C’est d’un ridicule pour celui qui s’en aperçoit alors que l’auteur y croit dur comme fer, ancré dans ses certitudes d’antan.

C’est là que la sagesse vient buter, contre les esprits fermés qui croient à leur ouverture incommensurable.

Identiquement avec certaines femmes qui furent braves et ouvertes d’esprit à la vingtaine trentaine et qui, un peu plus tard, sous le joug de maladies diverses ou de raisons sociales, comme “la famille”, la “tribu”, les “enfants”, le “il faut bien”, etc, se font délibérément plus idiotes qu’elles ne le sont vraiment.

Tous ces gens-là passent des heures chaque jour à discuter de banalités et de choses sans importance, mais trouvent toujours le prétexte à ne pas répondre à ce qui les interpelle pour de bon. Quel gâchis!
C’est là qu’est la névrose: savoir qu’on n’aime pas ce qu’on vit, mais en tirer toutefois du plaisir. Et donc, continuer!
Et au prix de refuser, d’expédier, de disperser ceux-là même qui pourraient vous apporter un changement…

Terrible, non?