https://en.wikipedia.org/wiki/Psycho-Pass
Discovering such a great work years after it’s been created, but also after the fascist covidist totalitarianism period is of great redeem! ^^
https://en.wikipedia.org/wiki/Psycho-Pass
Discovering such a great work years after it’s been created, but also after the fascist covidist totalitarianism period is of great redeem! ^^
Le sport, sauf à pratiquer soi-même une activité physique de façon très narcissique d’ailleurs, est d’une inutilité qui confine à la das hubrys de l’humanité, comparé à l’art.
L’art est présent, qu’il soit musical, pictural, sculptural, voire simplement rêval. Présent ou pas, on peut l’imaginer, seul, le fredonner, le voir, le penser.
Le sport n’est qu’un substitut de vie, illusoire.
Le sport confine à la guerre, à la mort inévitable, au meurtre de la pensée.
On rentre au musée quand on est mort. Certains morts n’y rentrent jamais, et cela en raison du fait qu’ils n’ont jamais été vivants.
Par contre on ne vit que dans le spectacle et quand c’est vide, c’est que l’on dort.
A-t-on besoin d’autres choses, je n’ose dire objets, d’autres libidos que celles des mots?
C’est déjà un fort léger fardeau!
Quand bien même les idiots voudraient nous clouer le bec au pilori, et à moins qu’ils ne nous tuent, les mots vivent.
Et c’est une jolie couleur les mauvives!
Une ivresse dont on se sert avec parcimonie avec ses rugosités, son velours et de très jolis yeux qui ne vont jamais seuls.
On va donc créer une mini pièce de théâtre pour la prochaine scène ouverte de Noétika, je crois que c’est en octobre 2023 (y’a un morceau de toltèque, là-bas; petit, mais y’en a un).
Oh! on aura toujours une guitare à disposition, je crois, au cas où trop de spectacle vivant, trop de mots, viendraient pousser à la création.
Qu’il est bon de délaisser le thanatique pour l’érotique, au moins un temps, un temps révoltant, un temps révolutionnaire…
Mmm?
Pour un véritable artiste, la seule chose qu’apporte le succès, c’est de permettre qu’on oublie son nom au profit de son œuvre.
Les véritables artistes sont pauvres et leurs œuvres ne se vendent pas, afin de compenser, d’équilibrer, l’infinie richesse de leur âme, tant qu’elle vit.
Voilà pourquoi mais surtout comment.
La civilisation occidentale est finie. Sa tête tombe, son capital s’effondre…
Chaque saison que l’on appelait auparavant belle est devenue source de souffrances intimes et terribles, de celles auxquelles, même en s’écorchant vif, on ne peut échapper.
La souffrance de la chaleur extrême de l’air, des eaux, et de la terre qui s’enflamme en brasiers immenses et indestructibles.
Cette chaleur qui vous rappelle que l’enfer, c’est vous, que l’enfer c’est cette vie sur cette terre, mère, que vous incestuez sans cesse depuis des millénaires.
Comme si elle vous l’avait demandé, n’est-ce pas?
Mais voilà que le cœur vaillant, brûlant, rayonnant… puissant, ne peut contrôler ce qu’il n’est définitivement PAS.
Nous sommes des animaux. La fuite est notre but. La mort est cependant l’option la plus statistiquement viable.
On est là. Las. Et là-bas?
On ne sait rien. On badine tels des chimpanzés en rut.
Quelle belle fin que celle des maladies assurément mortelles, confondues avec celles qui ne sont rien.
Quelle insouciance de voir la vie se flétrir sans savoir ce qu’elle devient.
Alors l’hybris… passe-temps fugace? maladie infertilisante? moquerie, peut-être…
Chaque lettre écrite, chaque mot, chaque nano seconde est l’essence même de cette fuite mortelle.
L’artiste prend l’art à la légère, cependant, il n’est jamais léger avec ses œuvres.
Tiens, c’est le buzz du matin
Ça gueule de partout, les chiens
Incalculables petits a
Pour qui le dit ne peut être contredit
La conversation n’existe pas pour ces pauvres-là
C’est le bush sous la pluie
Le skunky qui sort du gris
Ils sont verts, ces abattis
Et pourtant déjà fort pourris
Fendieu! que je m’écris
Pendant que toi tu t’escrimes
Sur l’orthographe de mes cris, écrits
Petit! petit!
Petit a tu meurs, tu dépéris
Tu craquelles tes alibis
Colis sali, intempéri (répète bien)
A jamais l’oubli.
Fors la Vie.
Le jouis de dis d’emmanuel macron (président de la république française 2017-2022) ou
Peace, Piss macron.
FHP Lornet 2022
1er état: Encre de chine sur papier japonais sur fond pur coton Lana, matière organique.
Tes mots dits, tes maux dits, fléau.
#piss_macron
#pissmacron
“J’emmerde les irresponsables qui ne sont plus
des citoyens, les non-vaccinés, ces gaulois réfractaires,
fainéants, cyniques et extrêmes, qui foutent le bordel
alors qu’ils n’ont qu’à traverser la rue pour trouver du
travail et se payer un costard, au lieu de toucher un pognon
de dingue.”
L’artiste est toujours connecté à lui-même.
Non qu’il se gorge d’égocentrisme fallacieux, dont pourtant certains faux artistes, des imposteurs comme il y en a pléthore, aiment à le dire (!), mais bien plutôt qu’il suive sa Voie.
En connexion avec son tao, et du même coup avec le Tao, ce qui n’est pas rien.
C’est pourquoi le véritable artiste est multiple. Il est simple de voir comment un glissement a été effectué entre le supposé unique véritable artiste connu et l’une de ses œuvres, mineure. Leonardo da Vinci.
On célèbre la Joconde alors que c’est un banal portrait créé par un artiste pour le moins pas banal du tout, lui.
Mais voilà, le mitote (le rêve noir de l’humanité) est ainsi fait qu’il fait tomber un voile opaque sur la Vérité.
Dans l’avant, j’étais en deçà
et pourtant pas
Dès maintenant je puis être bien au dessus
c’est déjà vu
alors au midi
je pose mon pénis.
Au lever comme au coucher
La moiteur du lin filé
Corps tressaillés
espoir défilé
Flux rengainés
Rien qu’on ne puisse évacuer
Colère, dépit
Vide sidéré
tristes enculés
Au bas de l’échelle dépravés
Enlacés dans la cotonnée
L’amour est né.
Aujourd’hui c’est putain de ventu, comme s’il soufflait un renouveau printanier, comme s’il allait pleuvoir et lessiver les fous et les idées.
Et du coup, je ne suis pas resté bien longtemps, mais j’ai pas perdu ma journée, je suis revenu avec le programme 2022 de Mélenchon qu’on m’a généreusement offert. Zut, moi qui pestais du prix, ben je vais pouvoir le lire maintenant! prout 😛
Oh, j’ai bien senti que les nouvelles étaient allées bien vite, sur ce menu marché, mais ce n’est pas à un ex-survivant (un miraculé, oui), rescapé de la merde humaine qu’on va faire avaler, plus jamais!, de couleuvres.
Pour le calme et la sérénité, chacun va devoir s’assagir, à moins d’être artiste. 😉
L’artiste est capable d’auto-dérision.
Par exemple, et au choix de genre dévolu, je me dis souvent:
– “J’ai un vit normal”
– “J’ai une vie normale”
Et je me marre pendant des jours en voyant les bombes tomber.
L’image d’art qui me vient à l’esprit quand j’entends Ursula devenir absolument folle à en oublier sa féminité (et ça ne me fait pas du bien).