Récemment, Andréa Bescond, victime de viol dans sa jeunesse, a participé à un entretien avec brigitte trogneux la pédocriminelle dans le magazine “elle”.
Ces deux femmes s’engagent “POUR les enfants maltraités”, comme le dit le titre. Rien que le titre montre déjà l’ambigüité des propos, à savoir qu’il aurait été fort à propos, justement, de dire “contre la maltraitance des enfants” plutôt que “POUR les enfants maltraités”, qui signifie que l’on aime bien ces enfants que l’on maltraite, n’est-ce pas?
Mais il est vrai que ces femmes et ce magazine de caniveau ne sont pas très portés sur le langage ni sur la bienveillance en général.
Alors que Muriel Salmona et Bescond se sont déjà accointées avec la pédocriminelle brigitte trogneux par le passé ( “juin 2018: Rendez-vous avec Andréa Bescond, comédienne, Mie Kohiyama, journaliste et Muriel Salmona, psychiatre” dans l’agenda de la coupable sur le site de l’élysée!) je note cependant que Salmona n’a pas osé participer à cette pantomime dégueulasse de pleurniche pour femelles en manque de sensations du magazine “elle”.
Ces compromis, qui se révèlent compromission, ne peuvent que servir le déni de la société et l’acceptation de la violence faites aux plus faibles, car il est de notoriété publique que brigitte trogneux, en position d’autorité, a abusé de son élève manu macron alors qu’il avait 15 ans et elle 39.
Quelle puissance peut avoir ce combat s’il est pipé dès le départ?
Que viendrait même faire la “cause” (des enfants) dans cette débauche de fausseté?
Non, tout n’est pas bon pour servir la cause des plus faibles, surtout de pactiser avec ceux qui, JUSTEMENT, ont abusé de ces enfants et qui veulent se refaire une virginité en prétendant les défendre.
Que brigitte trogneux dise la vérité, qu’elle a, elle aussi, été abusée et qu’elle a abréagi avec son élève mineur manu macron, et on en rediscutera.
Qu’elle accepte, cette salaude, de s’ostraciser pour montrer l’exemple à l’humanité, et on en rediscutera.
Ce serait là une femme d’honneur, pleinement consciente de ce qui se trame dans l’humanité, bien que victime elle-même.
Hélas, ce n’est toujours qu’une femme du déni bourgeois, car, oui, l’argent permet de se passer d’une partie de son humanité.
Moi qui ai été victime de maltraitance depuis que je suis venu au monde jusqu’à ma majorité, ce n’est pas une pseudo volonté de changer la loi, en passant par une criminelle dont on suppose qu’elle a une influence sur quoi que ce soit (c’est terrible, il faut en passer par une pédocriminelle femme pour penser qu’elle a encore une influence sur sa victime devenu époux et président de la république! se rend-on bien compte de ce que cela signifie? … ) qui me fera changer de point de vue.
S’il y a une loi d’imprescriptibilité de ces crimes, il faut qu’elle soit entièrement rétroactive.
Je ferai mon affaire de mon histoire et poursuivrai ma famille comme il se doit. Dans l’état actuel du droit, je ne peux que me masturber en attendant que ça passe; et bien qu’instruit plus que la moyenne, je suis réduit à n’être que rien pour la société, plutôt à sa charge qu’à la servir.
Car moi, oui, moi, je n’ai pas pu faire carrière comme Salmona ou Bescond ou Springora (que par ailleurs je ne n’accable pas, je connais trop les conséquences des traumas) ou toutes ces personnes qui ont subi un viol et qui se prétendent porte-parole d’une cause en faisant gros sous et grand bruit.
Cela me déplaît.
Il y a une gradation dans les traumas psychiques, comme dans les traumas physiques.
Toutes ces femmes, qui par ailleurs ont bien raison de faire avancer la cause des victimes de maltraitance, ont pu faire carrière et vivre de leurs savoirs, connaissances ou métiers. Pas moi.
Les #metoo millionnaires de l’industrie du cinoche, ça va bien. Non qu’elles n’aient pas raison de se plaindre de violences sexuelles, mais celles-ci ont été finalement peu handicapantes d’un point de vue extérieur; et l’on sait bien que lorsqu’il y a de l’argent, la dénonciation est plus aisée.
Toutes ces actrices sont bien vivantes et jouissent de la vie dans le luxe.
Non que leur combat ne soit pas juste et justifié, mais la colère s’empare de moi quand je vois Bescond jouer à touche-pipi avec la pédocriminelle trogneux POUR la cause des enfants maltraités – comme si c’était un FAIT inéluctable et qu’il faille s’en préoccuper plutôt que de s’en tenir à son macramé.
Cela cause une confusion totale, cela remet à la place d’honneur le déni de toute la population française concernant la sexualité et les comportements déviants des adultes avec les enfants.
Bescond, sous prétexte de servir une cause, se fourvoie et participe au déni collectif.
Alors oui, je pense qu’elle n’a pas compris son trauma et que l’argent et une sorte de bonheur de notoriété parisienne ont eu raison de ce qui faisait l’humanité chez cette personne. J’espère me tromper.
La pédocriminalité de brigitte trogneux, aucun souci pour 67 millions de Français. Au contraire, l’histoire se gargarise et le papier se vend d’autant mieux.
Aux enfants de la “patrie”, on vous la met bien profond. Honorez vos vieux et crevez pour eux, que ce soit à la guerre des fusils ou à celle des mensonges, crevez et supportez tout.
https://www.journaldesfemmes.fr/people/magazine/2665461-mort-brigitte-macron-mari-andre-louis-auziere-enfants/