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Les chiants cons
samedi, octobre 15th, 2022Graeculi not!
mardi, octobre 11th, 2022Prochaine thèse fantasmée
mardi, octobre 11th, 2022Thèse de fin de 3e cycle en métapsychologie, avec tout mon soutien:
Le baiser théâtral par temps de covid.
Autoritarisme, paranoïa et perversion dans les sociétés occidentales du premier quart du XXIème siècle.
Lame
dimanche, octobre 9th, 2022Peut-on lire l’âme sur un corps?
Qu’en est-il d’une image?
Est-ce notre regard ou ce sur quoi il pose?
Un mur bouche-t-il vraiment la vue?
L’espace est-il une dimension?
Et combien y en a-t-il?
“Tout le monde délire”
Oui, mais quoi d’autre?
Quoi d’autre l’instant fugace d’une vie d’âme?
Quoi d’autre, te dis-je!
Tant de temps résumé en un souffle, une poussière
Quelquefois une étincelle…
Si petite dans le temps, si lointaine dans l’espace
Si rien dans le tout.
Mais constituante!
L’âme à tore et à tra-vers…
Ultra
mercredi, octobre 5th, 2022L’autorité folle
jeudi, septembre 29th, 2022Cette période où la folie l’emporte au sein et au service des dominants fait confondre à certains esprits éveillés l’autorité et l’autoritarisme, maniaque et pervers.
C’est non seulement embêtant, mais très dangereux. Si l’on veut bien considérer les trois états psychiques principaux que sont la névrose, la psychose et la perversion, cette dernière, bien qu’ayant toujours existé, semble l’emporter sur les deux autres à la faveur du cours de l’humanité et des systèmes qu’elle met en place pour sa survie, économiques, politiques et donc sociaux.
Une grande masse de névrosés se contentent d’un déni inconscient de ce dont ils sont l’objet; c’est la vie pensée comme heureuse mais débilitante basée sur la reproduction et la consommation, afin de croire “qu’il en va ainsi”.
Cependant, et bien que ces signaux soient encore faibles et plutôt utilisés comme des outils pervertibles, le mouvement d’émancipation est toujours présent et semble s’attaquer désormais à certaines fondations de la perversion dominatoire, à savoir la sexualité: les femmes et les enfants dénoncent les tortures maltraitantes “communes” et ne se résolvent pas au déni. Une conscientisation du malheur dont l’art est la principale voie d’accès et qui prend la forme politique et sociale de rébellions, de révoltes et de séditions.
Les réponses à cette émancipation saine, dans les régimes politiques les plus variés, sont évidemment l’emploi de la force afin de mater toutes velléités de liberté et de préserver la domination des castes perverses.
Ce qui peut être plus grave encore pour la société, c’est que ceux qui entendent prendre soin d’autrui, afin de réduire la folie auto-destructrice des survivants de maltraitances, peuvent être amenés à confondre des mouvements d’autoritarisme pervers et toxiques avec une autorité saine. Cela est permis par la nature même de la perversion que Racamier et Caillot à sa suite ont tenté de définir avec un certain succès.
Cependant, et il faut y revenir, la nature même de la perversion est indissociable de la jouissance dont elle se nourrit, ce qui en fait un phénomène mouvant dans son immobilisme et insaisissable dans ses contours.
Eiguer tente de son côté de parvenir à cette même fin en s’appuyant sur le groupe plutôt que sur l’individu malade, car cet individu est jouir de folie et amour de la destruction de l’autre dans le cas de la perversion narcissique. La collusion de ces mots antagonistes montre à quel point la tâche est ardue.
Fût une époque où Freud pouvait encore fuir la folie destructrice de la perversion en s’échappant dans un autre pays que le sien où les gouvernants étaient moins sujets à la pédagogie noire qu’à l’amour de la liberté, mais surtout à une certaine modération (si l’on veut bien y croire encore).
Aujourd’hui, dans ces premières décennies du XXIe siècle, l’Homme a atteint sans encore le formuler ni le formater entièrement un régime planétaire.
L’expérience inédite (!) d’un virus de type coronavirus aux symptômes principalement grippaux, dont on ne sait rien de la genèse (c’est à la fois fort ennuyeux et de bien peu d’importance face aux phénomènes politiques construits sur et par sa présence bien réelle) mais dont on sait qu’il a émergé près d’un laboratoire d’ingénierie génétique étudiant à des fins de modification précisément ces virus de chauve-souris, a montré à quel point la bascule dans un régime totalitaire mondial est aisée.
La perversion, disais-je, mène à la psychose. L’inertie de la névrose peut probablement pendant un temps faire contrepoids aux saillies qu’amènent les psychoses dans la société, mais c’est là un équilibre forcément fragile et qui ne repose en rien sur la raison.
Si la perversion s’étend de façon suffisamment globale, la psychose remplacera bientôt la banale névrose pour le malheur de tous.
La névrose est un pis-aller assez confortable et jusqu’à présent assez efficace également. Jusqu’à présent.
La psychanalyse, et par extension toutes les formes thérapeutiques bienveillantes (de celles qui permettent d’aborder la mort en paix, la vie durant), ne peuvent se laisser manier, subrepticement, par un autoritarisme rampant, fruit de la perversion.
J’admets que certaines contingences matérielles puissent, hélas, empêcher un instant les déroulements de cures, mais il faut impérativement et le plus vite possible, dire et montrer à la lumière de l’esprit le phénomène autoritaire en prenant conscience qu’il vient remplacer, de façon éminemment perverse, la saine autorité sans laquelle le sens est inversé pour devenir insensé.
Se dire que l’assurance psychique de l’homme sain est un rempart suffisant aux attaques perverses est un leurre. La fuite était, était!, un moyen terme pour garder une certaine sanité, mais les progrès techniques (surveillance de masse en toutes matières, sociale, médicale, politique, bref, physiologique à défaut d’être encore intégrée au psychisme mécaniquement) sont aujourd’hui mis à la disposition des pervers qui nous gouvernent.
Y a-t-il du beau, du bon et du sacré dans l’humanité, je le crois.
Cependant, et même à des fins personnelles, la foi, la saine lutte ne doit jamais se laisser amadouer par la face perverse de l’hubris.
Sans
lundi, septembre 26th, 2022Night owl
dimanche, septembre 25th, 2022Athlétique
samedi, septembre 24th, 2022Vague vache
samedi, septembre 24th, 2022Nom de connard
vendredi, septembre 23rd, 2022Péter les ovaires et casser les couilles
jeudi, septembre 22nd, 2022Liquider les conséquences de la PN
mercredi, septembre 21st, 2022La perversion narcissique des parents a pour effet délétère sur les enfants de les rendre psychotiques.
Il semblerait que le système capitaliste occidental, dans sa plus grande partie, au moment de l’après-guerre du milieu du XXe siècle ait favorisé l’emprise de cette maladie mentale structurelle qu’est la perversion narcissique en mettant entre les mains d’esprits malades de ce virus mortel, ceux qu’on appelle les ‘boomers’ (nés de la forte natalité de l’après-guerre), tous les moyens économiques que la planète ait jamais connus.
Il n’y aura plus jamais de telle période car nous vivons aujourd’hui les conséquences non seulement psychologiques mais également matérielles et écosystémiques d’un effondrement total bien que lent, mais s’accélérant, de l’hubris portée à son apogée.
Ce n’est pas tant la nature de cette passion qui est en jeu, car elle est et restera toujours la même, que les moyens totalitaires mis à sa disposition.
Chacun sait aujourd’hui que la planète Terre, qui abrite l’écosystème permettant la Vie ainsi que la vie humaine, est fini. Il n’est pas terminé, il est fini.
Les comparaisons faciles avec les ratatinages de civilisations passées ne sont d’aucune utilité intellectuelle, elles favorisent même les illusions hallucinatoires qui permettent de continuer sur le chemin de l’abîme et de mourir, si l’on peut dire, de façon inconsciente.
Il n’y aura pas de retour pour l’humanité, et le ‘great reset’ de quelques fous est une hallucination schizophrénique permise par l’état d’ébriété que procure l’apogée de l’hubris concomitamment à la conscience à la fois de la finitude des ressources et de la mort prochaine de ceux-là mêmes qui s’emploient à l’élaborer.
Il n’existe aucune solution satisfaisante de quelque point de vue.
La liquidation des affreux, violente ou non, fera ressurgir parmi les uns et les autres de plus grandes maladies.
Se perdre et s’oublier dans les pires plaisirs ne changera que la vitesse à laquelle la perte s’établira, tantôt la réduisant, tantôt l’accélérant.
Chacune des Idées, jadis élaborées et qui nous sont parvenues depuis quelques milliers d’années tout au plus, ne peuvent aujourd’hui se concevoir sans que l’on s’aperçoive (enfin?) qu’elles sont hélas concomitantes de la matérialité nécessaire (en tant que Nécessité) à la vie humaine.
Les affects, qui sont donc tous des ‘maladies mentales’, périront avec ce qu’ils produisent de Néant.
L’Humanité ne maîtrise absolument rien, tout au plus pourrait-elle tâcher de survivre en conscience, mais sa nature même l’en empêche férocement.
Le Sage comme le gredin partagent la même nature et sont tout autant responsables, l’un comme l’autre, chacun à sa manière.
Il n’y a rien; il n’y a pas plus de dieu que de quantique hors de l’esprit humain qui crée ces commodes hallucinations.
Pour se rassurer, chacun doit se soumettre, prendre sa part, faire corps avec lui-même et s’arrêter.
Il est si vrai que l’écriture est commode, tant elle permet d’oublier qu’il s’agit d’une auto-destruction dont seuls ceux qui créent peuvent jouir avant de finir, plutôt que d’en terminer.
lisbeth 2
lundi, septembre 12th, 2022Mort de la reine d’Angleterre:
un apport d’engrais vintage (de qualité!) qui ne compense pas son humiliante fortune, mais que chacun de ses sujets aurait aimé continuer à agrandir.
Cantique des quantiques
samedi, septembre 10th, 2022
Rien de ce qui ne m’est arrivé n’est arrivé par hasard, il faut s’y résoudre.
Une lutte pour la véritable liberté, celle de l’âme, dans les pires conditions.
Pas autant que celles du Joker incarné par Joaquin Phoenix au grand écran, à savoir une mère incestuelle profondément psychopathe au point de le laisser faire sa toilette alors qu’elle a les capacités physiques de la faire elle-même, un père ou plutôt une brute d’une extrême maltraitance dont on ne connaît que l’aspect physique (on ne sait pas s’il exerce également des violences sexuelles).
Une famille d’une toxicité extrême qui explique le principal symptôme visible du Joker, un rire incontrôlable qui se déclenche de façon présentée comme aléatoire, seul symptôme reconnu par le maigre suivi médico-social dont il bénéficie: un traitement médicamenteux de type camisole chimique qui permet à la société de ne plus se préoccuper de l’essentiel, et des entretiens que le capitalisme de crise et la financiarisation de la société vont supprimer par “manque” d’argent.
Voilà pour les racines du mal, présentées comme le pouvoir destructeur d’un système exclueur basé sur la richesse financière et le système capitaliste consommatoire qui broie littéralement, tels des exemples de foire, ceux que l’on peut exhiber publiquement, alors que les fleurs du mal semblent préserver plus facilement de la folie, tel le jeune Bruce Wayne fils de milliardaire politique, dont l’exutoire de sa phobie infantile ne pourra être que présentée comme une vengeance, prétendue saine, au service d’une justice qui ne vise, sous couvert d’universalité — mensongère évidemment, à ne s’occuper que de points de détail, comme si le Monde et l’Humanité n’étaient au final qu’un décorum dont la seule fonction serait de valider la marche connue et acceptée d’une société terriblement malade.
Notaires
samedi, septembre 10th, 2022Je dis aux notaires de province, à particule ou non, que jouer avec le feu finit par brûler à vif façon jeanne.
La puissance du retour de flamme de plusieurs perversions narcissiques familiales est mortelle, les “pinpons” en savent un peu à ce sujet.
Et ce qui est bien avec cette puissance dévastatrice, c’est que tout est parfaitement naturel, il n’y a jamais lieu de poursuivre.
DeArmond wheel fix
vendredi, septembre 2nd, 2022Mad Max 0 day
mercredi, août 24th, 2022Les communs névrosés
lundi, août 22nd, 2022J’envie la vie des névrosés, elle est commode.
J’allais dire que c’est une vie misérable, de mon point de vue de psychotique. Mais c’eut été une erreur.
Cette vie de névrosés est un long fleuve tranquille, parsemé de famille, de procréation, encore de famille, de boulot alimentaire quelquefois gratifiant…
Un long fleuve, non sans ses petits écueils, que l’eau névrotique parvient à contourner, par la force de la gravitation et de la phusis.
Cependant, tout cela est bien facile, à dire vrai, même sous ses atours de ‘ô mon diou, que c’est difficile’.
Car oui, même branlantes, les substructures de la névrose commune permettent d’y voir gris, et cela suffit à la multitude.
J’aurais tant aimé me construire sur de telles branlantes fondations. Mais hélas, trois fois hélas, et même une quatrième, ce ne fut pas le cas.
De construction il n’y a même pas eu. Les aveugles n’y voient que du feu, si l’on ose dire, et préfèrent parler de destruction.
“Pero NO!” comme dirait king Bob des minions avec une certaine nonchalance.
Lorsque la construction est défaillante au point de n’exister jamais, elle permet le rien.
La construction bancale, très anale, fait le lit des névroses acceptées, se vautrant dans l’illusion que procurent les possessions et l’argent, quels qu’en soient les ressorts, que l’on en ait ou que l’on en n’ait pas.
C’est une douillette et confortable couche sur laquelle se vautrent les imbéciles, et en cela ils partagent la même stupidité, quelles que soient leur “classe sociale” ou leur “niveau de vie”, on aurait dit “leur fortune”, dans un temps moins “inclusif”.
Quelle merveille que ce sentiment des névrotiques, inconscient, de participer à un “je-ne-sais-quoi”.
Quelle merveille s’il n’amenait la perversion, toutes les perversions, de la plus basse, la plus vile, à la plus futile.
La pierre de touche de l’amour se mesure à la psychose.
[commentaire]
Toute cette énergie gaspillée et gâchée! dans la névrose commune!
C’est remarquable tout autant que phénoménal. Quoi d’autre pour nous mener à la fin?