Il y a les limités
Il y a les dé-limités
Et il y a les autres, les fous.
Les limités, ce sont les normo-névrosés, rares aujourd’hui. Hélas.
Les dé-limités, ce sont les pervers, qui pullulent à foison dans la société néo-libérale capitaliste. Certains prétendent même s’adonner à l’art (du cochon).
Et puis, les autres. Ceux qui ont subi les affres des sus-mentionnés, par ascendance, en général, le temps n’ayant qu’un seul sens (…).
Ceux-là n’ont plus d’espace ni de temps, comme annihilés par la puissance énergétique de l’esprit. Là se trouvent les véritables artistes et les déments, les criminels de l’âme blessée.