Moi, j’ai vécu dans une famille incestuelle, si je commence par le moins.
J’aimerais bien que cela serve à quelque chose, mais la condition humaine est telle que seul le déni peut éventuellement en sortir.
Il n’y a qu’à voir le couple trogneux macron et ce qu’il suscite pour s’en faire une idée.
A-t-on imaginé ce qu’un personnage (ô combien important… “lol”) mâle ayant “violé” -faisons court- une jeune fille de 15 ans alors qu’il en avait 39, devenu premier magistrat d’une puissance nucléaire, susciterait aujourd’hui?
Ah, mais là, c’est une “femme” et surtout qu’une “femme de”… Comme si l’emprise n’était que vilénie masculine…
(Le titre fait référence au livre de Marie Cardinal “Les mots pour le dire”, pour les incultes – merci à Agnès en passant)
Inceste : la contagion épidémique du silence
https://aivi.org/vous-informer/consequences-de-linceste/le-deni-l-amnesie.html
https://www.cairn.info/revue-dialogue-2015-3-page-109.htm
Bien cher,
On ajoute ce texte qui résume assez bien ce que peuvent ressentir les victimes ainsi que les mécanismes tant psychologiques que physiologiques qui s’expriment dans un tel chaos:
https://www.memoiretraumatique.org/assets/files/v1/Articles-Dr-MSalmona/201508-reconnaissance-des-consequences-psychotraumatiques-sur-les-enfants-victimes.pdf