Sleeping normies won’t wake up
Sleeping normies can dream of nothing
Archive for juillet, 2023
Sleeping normies
dimanche, juillet 30th, 2023Making our own “police” ^^
samedi, juillet 29th, 2023https://www.flickr.com/photos/154550824@N08/53078093889/
Thanks to Christopher.
Encore l’incestuel et la différence
samedi, juillet 22nd, 2023Je ne sais plus chez qui j’ai lu, d’Eiguer ou de Caillot, peut-être de Racamier ou d’autres encore , que l’incestué, et l’incestuelisé plus encore, ont un “sentiment d’être différents des autres”.
Il me semble que ce n’est pas là un “sentiment de”. C’est hélas une lésion psychique, certes quelque peu réparable, mais indélébile. C’est justement là que s’établit le tabou fondamental du bipède parlant, et de ce fait symbolisant sinon sublimant ce qu’il prend pour réalité, mouvements, actions (en gros le “quelque chose” plutôt que le “rien”).
Bilhéran parle de “témoins”, un stade que je place après ceux de victimes/survivants qui viennent simultanément comme le font l’antœdipe et l’œdipe dans la vie du petit d’homme.
Il y a une différence fondamentale entre celles et ceux qui ont une “ouverture” sur le trauma qu’ils peuvent intellectualiser pour l’approfondir, et en général font profession de thérapeutes, et ceux qui le vivent dans le temps, la durée, la chair, l’âme.
Ces vies ne sont pas comparables.
Visages de la perversion
vendredi, juillet 21st, 2023La pathocratie
mercredi, juillet 19th, 2023Ce bouquin est vraiment très mal écrit et/ou traduit (du polonais vers l’anglais, puis de l’anglais vers le français, arf). Mais quelques passages sont tout à fait clairs à propos de la perversion morale qui envahit l’humanité et cause sa perte.
Ecrit dans les années 1980, la description de la pathologie perverse des systèmes politiques amoraux s’applique à merveille au régime qu’instaure chaque jour un peu plus le méprisantiel de la raie publique en hexagonie.
In: La ponérologie politique, Andrew M. Lobaczewski, 2006, Les éditions pilule rouge.
…²
mardi, juillet 18th, 2023Encore une femme que j’admire pour sa probité, une qualité des plus rares. Et en plus elle fume.
Source: https://www.youtube.com/watch?v=iecQwlo5AhM
brigitte noguès et françoise trogneux…
jeudi, juillet 13th, 2023Non, rien.
14 juillet 2023
mercredi, juillet 12th, 2023Malgré la mobilisation de toutes les (maigres) forces de police d’un état à bout de souffle, le 14 juillet 2023, le président qui se prenait pour un roi est tué.
Sa dépouille mortelle sera conservée sur les lieux de son assassinat pendant 14 jours, afin que le Mal, pensait-on, soit résorbé.
Il n’en sera rien, car sa coterie, bave aux lèvres, n’en deviendra que plus hargneuse.
Cela aura été le plus beau feu d’artifices auquel on n’aura jamais assisté.
…
mercredi, juillet 12th, 2023Milan Kundera, dont je n’ai lu absolument aucun mot, encore, est mort.
Source: https://www.youtube.com/watch?v=Jlcv6OG2NYU
Nœud fou pervers et réactions
lundi, juillet 10th, 2023Le nœud pervers est à considérer parmi des individus adultes, bien qu’il trouve évidemment de précoces racines dans la période de la puberté.
La folie perverse, comme la définit Racamier, est l’état le plus maximal de la perversion narcissique qui ne s’applique dès lors plus à une cellule familiale ou de petite taille, mais à une échelle nationale ou supra-nationale. La puissance acquise par le pervers, qui se trouve ainsi à la tête de corps armés, et qui détient également la puissance administrative et donc de coercition sur les populations, est telle que la fuite vers la mort et le thanatos est inéluctable. Au mieux, dit Racamier, un échec politique cuisant (ou un deuil puissant, ajouterai-je) peut amener le fou pervers à la dépression et au suicide ( http://www.lornet-design.net/la-folie-narcissique-racamier/ ).
La perception par les populations de la folie narcissique diffère en raison de leur éducation et de leur instruction, mais peut se résumer à deux réactions notables: la colère et la violence, provoquées par les provocations et humiliations répétées du pervers (parfois jusqu’aux agirs mortels) ou la perversion sexuelle, dans le cas d’un bénéfice (une participation à la toute-puissance du pervers, une sorte d’appartenance à son ‘groupe’) et d’une personnalité plutôt névrotique.
Dans le premier cas, la réaction est négative, elle coûte (comme tout commerce avec un pervers d’ailleurs) à celui sous son emprise car personne n’aime conserver un sentiment de colère et une envie de violence trop longtemps. Or, les agirs du pervers sont incessants: la nature de sa folie demande qu’il aille chercher toujours plus loin, de façon plus humiliante voire débilitante, dans les recoins des âmes qu’il ne peut comprendre.
La colère ne semble pouvoir s’apaiser qu’avec la disparition du pervers, des agissements qu’il commettait et du champ de ses manipulations.
La réaction névrotique perverse sexuelle qui pourrait sembler plus positive, au moins à en juger par son acceptation sociale plus répandue, est cependant surtout une réaction perverse par nature. L’excitation produite par la domination du pervers engage ses acolytes ou collaborateurs ainsi que ses victimes-complices (voir Eiguer) à s’essayer à ce qui leur vient à l’esprit: l’utilisation du corps sexuel comme échappatoire inconsciente.
Il n’y a pas de mouvement de perversion narcissique qui irait d’un adulte pervers moral à un autre qui le deviendrait également. Racamier (voir ouvrage cité dans le lien supra) établit sans aucun doute la genèse de la perversion narcissique dans la période qualifiée d’antœdipe. On peut donc facilement faire coïncider la nature perverse choisie par un jeune enfant avec sa première décennie de vie, voire sa petite enfance.
Un pervers trouvera des collaborateurs eux aussi pervers ou compatibles, dont il profitera des failles existantes, mais il ne transformera pas la nature psychique des autres. Il la pervertira selon ses besoins et le terrain qu’il trouvera chez eux.
Dans le cas d’un chef d’état, le problème social que pose l’établissement d’un tel noyau pervers au sein d’un gouvernement réduit considérablement les moyens d’action pour réduire au maximum la capacité de nuisances d’un tel individu. La solution saine et évidente, l’évitement, la fuite, l’ostracisation (encore qu’il pourrait tirer jouissance d’un tel épisode) est impossible puisque la vie sociale est régie par la vie politique et les décisions, prises par le pouvoir… qui est au pouvoir.
Il y a également à déplorer la lenteur, l’inertie de la vie politique à l’heure d’une propagande totale et constante: la société thermo-nucléaire électrique du XXIe siècle nous permet d’être en contact avec le monde entier, en direct et à tous endroits. Il n’est que plus aisé pour ceux qui détiennent les canaux d’informations (aujourd’hui les grand groupes capitalistes néo-libéraux et les milliardaires) d’instiller dans les esprits connectés une sorte de virus mental en les occupant à autre chose qu’à la pensée critique.
Les populations étant plutôt saines concernant leur vie privée et intime autant que sexuelle, en majorité, la réaction perverse sexuelle est évacuée et il reste la réaction violente dont la seule issue semble la disparition de l’origine du mal, le pervers et son noyau constitué.
Kill french perv-in-chief
samedi, juillet 8th, 2023Ploting? :O
vendredi, juillet 7th, 2023Diktature launch.
vendredi, juillet 7th, 2023Voilà, on y est.
Pour sûr qu’il viendront chercher les “gens” comme moi; j’en serais embêté que pas, quand même.
Comment tout cela va-t-il se passer? Mystère.
Une junte du petit Paris qui prend le pouvoir par la perversion, l’applique perversement, et se vautre tant dans l’incestuel (relation de type incestuel du président de la république avec une professeur de 25 ans son aînée dès ses 14 ans) que dans le meurtriel (la police tue délibérément des citoyens)…
Pour trouver une idée plus dégoulinante et visible de tous du MAL, il va falloir tout le génie de l’humanité, si elle survit aux siècles à venir.
Il reste l’art et la pensée, forcément critique.
Mais les temps vont être terriblement durs et mortels, une sorte de torture sans fin qui a déjà commencée, une douleur à la fois intense et inaccessible à rien d’autre que plus de douleur, au point qu’on préférera la moindre au point de la confondre avec la pire.
Oui. Un tourniquet au mouvement perpétuel.