Connaître le prince, son histoire psychique, au moins la partie visible, certains ressorts qui, par ailleurs, s’appliquent au dominés via de tortueux cheminements.
Je n’ai pu reconnaître rien d’autre que le couple brigitte trogneux, perverse narcissique, et le très jeune manu macron victime de son professeur pédophile sexuel.
Le maître et son élève exclusif dans une relation hautement toxique et pourtant adoubée par la société oligarchique perverse de la petite bourgeoisie française, caractéristique dans sa nature perverse, néfaste et hautaine.
On retrouve identiquement mais sexuellement inversée, la même mécanique chez zob zemmour et sa jeune affidée, et dans bien des relations étranges qui se font jour chez les rupins et autres prétendus puissants.
L’inactivité, la non-création, le jeu excrémentiel, la jouissance de la transgression (qui culmine avec trogneux et strauss-kan, il faut le souligner), rien de bien nouveau dans l’humanité, mais à des échelles qui mènent les populations, par le truchement des systèmes économiques et politiques, vers une inexorable et prématurée fin.