Archive for mai, 2021
State of the border-art
jeudi, mai 27th, 2021NetS²
jeudi, mai 27th, 2021Schizoid borderline PTSD
jeudi, mai 20th, 2021Spaulding’s cooking
mercredi, mai 19th, 2021L’analyse fatigue, elle n’a plus la trique
mardi, mai 18th, 2021The four me
lundi, mai 17th, 2021On me disait, banalité de limités, que je me prenais pour le savant regardant les fourmis, parce que je tentais (ô désespoir) de prendre de la distance à propos de conflits armés de par le monde. C’était le sujet.
A y réfléchir, vraiment, le format de la discussion des plateformes privées ne laisse aucune marge; c’est une dictature des uns contre les autres.
Que vaut l’attraction vers le brandissement d’un panneau ou d’un morceau de tissu quand on peut essayer grâce à ses capacités intellectuelles d’envisager la résolution de ce qui se passe ici et maintenant surtout, mais aussi ailleurs?
Faut-il se prendre pour un émissaire, un dirigeant mondial politique, au lieu de savoir et de connaître ce que l’on vit réellement, ici et maintenant?
Pour autant, il n’est pas nécessaire d’oublier ce qui se trame de par le monde, mais jamais comme cause imminente du mal-être vécu; jamais.
Ce serait croire aux ombres de la fameuse caverne, quand bien même elles seraient numériques, en couleurs, avec audio et vidéo d’une qualité qui ne permettrait pas qu’on les différencient de la réalité perçue. Et voilà qu’on peut également se questionner sur ce qu’est la perception, qu’elle soit celle des individus ou d’une société. Le cartésianisme est un carcan.
La guillotine
lundi, mai 10th, 2021Ce qui me pousse à désirer la guillotine pour tous les gouvernants, dirigeants et dominants.
On pourrait dire un juste retour naturel du mal infligé aux populations mondiales, car en effet, le sentiment est probablement mondial.
Le capitalisme associé à l’hubris de l’humanité, mais qui ne précipite que pour une infime partie de celle-ci, mène au désastre que l’on connaît.
L’apparition d’un virus covida est le catalyseur de cette chimie.
Les éléments, les ingrédients étaient prêts, ils se sont précipités et ont précipité dans une alchimie diabolique. Comme tous ceux qui ont conscience et dénoncent les perversions humaines, à l’échelle mondiale, planétaire, chacun peut se rendre compte que l’argent et la domination totale qu’il permet, en est le principal détonateur.
Si l’on revient sur la situation de la France, un pays extrêmement riche, dont certains citoyens sont parmi les plus fortunés milliardaires du globe, possédant l’arme totale, nucléaire, une terre fertile et permettant facilement l’autarcie, il est frappant de s’apercevoir que les politiques mises en place par les voraces de l’argent ne lui permettent pas de soigner une petite poussée de patients dans ses hôpitaux, en raison d’un système de santé défaillant.
Cette défaillance est due à la doctrine capitaliste dont le seul but est de faire peser sur la masse des faibles le faux bonheur de quelques ultra riches.
Entre 2020 et 2021, seules les vies de la population la moins fortunée sont passées de vie à trépas. Une année complète à n’être plus rien. Le désastre économique, social et psychologique et médical viendra par la suite.
Mais on ne rattrape pas une année de vie. Ces vies brisées, anéanties, sont le seul fait des dominants et des gouvernants.
Personne n’a voulu priver les autres, et surtout les enfants, des visages et des émotions. Personne n’a voulu s’enfermer pour des prétextes fallacieux, en lieu et place d’une raisonnable et rationnelle gestion d’une maladie somme toute très peu mortelle en regard de toutes les autres.
Et surtout, seuls les dominants et les gouvernants, par bêtise et fatuité, ont refusé les soins à ceux qui en avaient besoin: retrait de médicaments peu chers et les seuls efficaces pour tenter de soigner, dispositions amenant à l’affaiblissement des défenses immunitaires naturelles du corps et des esprits, distribution, dans une logique capitaliste, de l’argent nécessaire à la société (systèmes sociaux et médicaux) aux industries non indispensables (aviation).
Une gestion de la population telle un troupeau de l’ère biblique, avec des méthodes de tortionnaires, le confinement, et probablement l’extermination désirée.
Cela, c’est le président macron qui en est le seul responsable, pour la France, décidant seul avec les pleins pouvoirs d’un dictateur immature, s’appuyant sur un conseil nommé par lui, dirigeant par décrets autoritaires et sous état d’urgence, avec une cour d’idiots utiles et autoritaires autrement appelés ministres ou majorité parlementaire, et soutenu par ces mêmes milliardaires qui l’ont hissé au pouvoir dans un décor de carton-pâte.
On ne reviendra pas sur le temps perdu, il est passé, et la colère d’aujourd’hui ne sera que fortifiée par les suites sociales catastrophiques des années suivantes.
La vie, par son inarrêtable cheminement, possède intrinsèquement une résilience que l’on pourrait appelée automatique. A quel prix?
L’Humanité, son essence, sa nature, se laissera-t-elle posséder et détruire plutôt que de faire table rase des parasites qui prétendent la gouverner et la conduire à sa perte à leur profit?
L’assassinat des dominants serait un trauma terrible pour bien des âmes, mais faut-il renoncer à l’Humanité pour n’en sauver que quelques cuistres?
Guillotine.
Un coup bien fourré
vendredi, mai 7th, 2021Préface de benjamin griveaux sous la direction de matzneff et alia, dont la bite est bien connue des enculés… pardon, dont la plume est bien connue des amateurs.
Hélas, Lolita n’est, quant à elle, jamais devenue ni maîtresse ni “Junon” autoproclamée de dizaines de millions de personnes… qui n’en ont par ailleurs rien à foutre, si l’on ose dire.
La guerre des fous
mercredi, mai 5th, 2021Dans un présent peu futuriste, ceux qui ne ressentent pas la peur bourgeoise mais celle de l’effondrement passé, bien réel, mènent un combat sans issue.
Enthousiastes et débridés, dépressifs et accablés, seule la vie les tient comme par magie, capables d’être.
Point d’empire auquel faire face, tout n’est que cérébral. Cependant un système semble contenir quelques clefs, qui n’ouvrent d’ailleurs rien d’autre que des espaces exigus, sans horizon aucun, à l’infini.
On pourrait se penser dans un labyrinthe de laboratoire destiné aux bêtes. C’est ainsi que s’est renversé ce qui était et se transforme.
Il ne reste que les idiots utiles, télévisuels de la propagande sur tous supports, auxquels sans cesse se réfèrent les jugeurs, criant n’en rien faire au même moment.
C’est par ce biais d’une folie de bas étage qu’est née la guerre des fous. Elle a créé une véritable folie qui ne s’en laisse pas compter, une sorte d’hydre maternelle sortie tout droit d’un hymen en quelque sorte divin et boueux.
Une guerre sans merci qui laisse des pâtés d’esprits accumulés et scindés, étouffés et mouvants, sans lieu.
La place n’est pas prise avant d’être attribuée, c’est une non-place, une inexistence pour l’âme qui s’en trouve, avant même d’être, brisée.
Cette guerre des fous ne cesse jamais.
State of
lundi, mai 3rd, 2021A bit of full whites
lundi, mai 3rd, 2021Nissénivé
lundi, mai 3rd, 2021Ni conscient, ni volontaire, l’acharnement sur les plus faibles. Dans la très grande folie de la période du virus covida, on pense que les faits divers sont à l’ordinaire, le piment d’une vie si monotone. On ne sait pas encore que c’est là symptôme du désarroi total plus que du quotidien.
Les faibles, les éclopés psychiques aux multiples syndromes, les pauvres, mais en fait toute cette société qualifiée de 99% est laissée comme bétail.
Ainsi l’on traite cette population dont on ne veut plus qu’elle soit un peuple, si revendicatif, si plein de cette vie que les dominants, les 1%, envient parce qu’ils n’ont que les milliards et la fausse jouissance.
Ainsi, des millions et des milliards d’êtres souffrent, peut-être dans l’espoir d’une résilience à tout prix, mais qui n’arrivera pas.
Les bourreaux stupides s’affairent déjà à la construction d’une sorte d’empire de la sécurité et d’une domination totale et sans merci.
Il n’y a hélas pas de complot sinon pour les puissants de conserver et d’élargir leur toute-puissance illusoire.
Mais il y a une façon de tordre la réalité pour justifier les moyens d’une fin la plus triste possible.
Il n’y aura plus d’égalité, l’équité n’ayant jamais existé, plus de revendicatifs gilets jaunes, plus que des robots volants pour asservir le troupeau malmené.
On reviendra, bien qu’on ne l’ait jamais quitté, à la doctrine de la flagellation sur les tout-petits, c’est plus simple que de s’apercevoir que c’est là la cause principale de la violence et de la répétition des drames de l’humanité.
D’un virus l’autre, une majorité de la peur ne veut voir qu’un mauvais moment; un moment qu’on oubliera bien vite.
Mais on n’oublie rien, jamais. Ce sera dans les corps que le souvenir s’inscrira et ceux qui ont eu la chance d’être choyés connaîtront la douleur et la souffrance dont ils pensaient pouvoir s’affranchir.
Terrible avenir d’un non-futur.