Make THEM bleed and suffer, for once.
Archive for novembre, 2020
Fucky fucky
vendredi, novembre 27th, 2020Eliminer avant d’être éliminé
mercredi, novembre 25th, 2020In Johann Chapoutot, Libres d’obéir, 2020 ed. Gallimard. ISBN 978-2-07-278924-3
Buter un système et ses représentants
vendredi, novembre 20th, 2020Objet-secret, climat et folie
mercredi, novembre 18th, 2020L’objet-secret, c’est ce qui est connu de tous partiellement, mais qui est un non-à-savoir; c’est un ultra paradoxe, comme le définit Racamier.
La période d’emprisonnement global voulue et exigée sous peine de prison par les dominants n’est pas un complot, comme se plaisent à le penser ceux qui ne pensent justement pas. C’est la dictature globale qui se met en place pour servir le système économique capitaliste néo-libéral.
D’une pierre deux coups, elle vient masquer fort à propos le réchauffement global qui détruit l’écosystème de vie de la grande majorité de l’humanité et du monde vivant. Les températures sont communément 10 degrés centigrades plus élevées que les moyennes observées sur un siècle, les forêts décimées par les incendies et eaux polluées chimiquement.
Des sécheresses inédites durant plusieurs années (en France, c’est déjà la troisième année consécutive) ponctuées de périodes récurrentes de canicule insoutenable sont à présent l’atmosphère de la vie dans des contrées autrefois agréables. On s’esbaudit des records de températures et des pluies diluviennes et meurtrières, des tempêtes qui font de belles images au service des systèmes de communication des dominants.
Les interdictions pleuvent comme si elles pouvaient de quelque façon que ce soit contribuer au bonheur de la non-mort des populassières.
On n’attrape pas de virus et on n’est pas contagieux quand la pêche à la ligne est interdite (France).
On soigne mieux les personnes quand on ferme des hôpitaux et qu’on rend le système de santé uniquement rentable. N’est-ce pas là le but ultime de l’hôpital que de faire de l’argent?
Le président français, sous régence de sa mère de substitution, a toujours 15 ans, mais il est heureux d’avoir engrangé quelques millions chez un banquier. Quel talent!
La confusion totale des générations, voulue par brigitte trogneux, l’épouse de ce président, est à la manœuvre dans les esprits. Tout comme elle a violé manu macron, en dissipant ainsi ses vélléités d’inceste avec ses propres fils (du même âge que sa proie sexuelle sur laquelle elle avait autorité en tant que professeur), elle contribue à l’embrouillage des esprits en prétendant vouloir s’intéresser aux violences faites aux enfants.
Elle est là, la folie, la décadence des esprits pourris par l’argent surabondant et qui ne s’occupent que de l’apparat.
Qu’un virus, qu’une épidémie arrive, et la machine peut se mettre en marche; c’est le déclic qui permet à cette folie de s’imposer à tous avec les moyens de violence existants, police et armée. Le tout, évidemment, pour le bien des populations. Le tout, évidemment, décidé par une ou deux personnes complètement malades, mais qui ont valeur d’exemple dans le système présent, le capitalisme néo-libéral, qui s’appuie sur de solides fondations.
On avait l’habitude de blaguer, une fois adulte, en demandant “As-tu un mot signé des parents?” lorsqu’une personne faisait une demande.
Aujourd’hui, c’est la réalité “en marche”, comme le nom stupide du parti inexistant d’un incestué (manu macron) par sa régente (brigitte trogneux).
Toute activité humaine et donc sociale et donc vitale est désormais interdite, la pêche à la ligne est interdite! mais pire encore l’accès aux livres est interdit.
L’autodafé “soft” de l’incestué manu macron est en marche.
L’art est interdit car il est non représenté, non accessible. Les idiots crient que tout va bien.
Moi, je n’arrive plus à penser. Je me demande comment j’en viens à souhaiter la mort (violente pour être cathartique) des tous ces dominants… Car les fondations de dizaines de milliers de morts à venir sont en ce moment-même mises en place par ceux-là, les dominants, les puissants iniques.
C’est la santé (on ne peut PAS séparer le corps de la psychè) de millions de personnes, même et surtout de celles qui aiment se bercer d’illusions -tels les nombreux “ignorants” des années 1930- qui se dégrade et les conduit à une mort certaine.
Sans être consciemment voulue, la mort de millions de pauvres sera forcément bienvenue dans un système capitaliste, néolibéral, robotisé, technologisé.
Il faudra en passer par là plutôt que de tuer les quelques fous, ultra milliardaires (certains bientôt ‘trillionnaires’) et dominants, ignorants de tout sauf de leur jouissance, se baignant dans le foutre de leur vie de stupre.
Pourquoi faire propre quand on peut faire sale? Ou serait l’orgasme d’être, comme le sous-entend le président français manu macron, jupitérien?
La secte politique / twilight zone
dimanche, novembre 15th, 2020Quelle idée saugrenue! m’est venue en regardant la saison première de “The vow”, un documentaire de la chaîne HBO qui traite de l’intérieur, grâce à des témoins et participants, de la secte organisée par keith raniere. La principale folie que retiennent les amateurs de superficialité, c’est évidemment le marquage des femmes par brûlure aux initiales du gourou, dans la zone pelvienne antérieure.
Mais il est question de bien autre chose que ces faits divers, il est question de manipulation de masse, certains parlent de lavage de cerveau.
Cette dernière expression est un souci majeur car elle suggère une action nettoyante. C’est tout sauf cela: ce sont des cerveaux disponibles aux manipulations, bien propres justement.
L’action perverse d’un gourou ne tient qu’au contexte qui a créé ses proies et à celui qui l’a créé, lui-même.
Une sorte de symbiose se crée ensuite entre celui ou celle vu comme un maître à vivre, un maître à penser, et tous les autres disponibles pour cette folie.
Il en va de même que dans la “4e dimension” (titre en français de twilight zone), ou le paradoxal le dispute à l’invraisemblable.
Quelle que soit la vérité, les faits permettent toujours d’y trouver un inattendu.
La peur qu’engendre la vérité est si forte, intenable, totale, que l’on préfère bien vite s’en affranchir en déployant force d’énergie pour la réfuter, quitte à se mourir.
Comment penser que ses semblables puissent être voraces au point d’être stupides? Mieux vaut donc fantasmer une autre réalité, plus adéquate et plus facilement compréhensible, de celle qui emmène sans lutte et sans souci vers une fin regrettable mais sans saveur.
Dénerver, ce n’est pas supprimer les émotions comme on peut le faire par des moyens plus subtils et définitifs, c’est couper les liens de la sensation d’avec l’émotion. Cela empêche toute réaction.
A la lumière “del covida, hombre!” on voit comment les bergers, paniqués mais qui n’en montrent rien, sacrifient leur troupeau pour les erreurs qu’ils ont faites eux-mêmes.
On ne trouvera évidemment aucun membre du troupeau pour exprimer ce qu’il en pense – disons, très peu; pourtant c’est là le génie de La ferme des animaux d’Orwell de montrer que ces animaux, ce sont nous, les humains; qu’il soit question de religion (le lien dans la crédulité) ou de politique (tentative dévoyée d’organiser la cité) les animaux conservent une sorte d’inertie propre dont la peur fondamentale est le moteur.
“On en a eu assez de soigner le troupeau, il prospérait plus vite que ces petites maladies, et puis, nous bergers étions en bonne santé. On avait bien assez de viande et de laine et les pâtures ne manquaient pas (… encore).”
Alors quand est venue la grippe honnie et que les bergers ont vu les troupeaux fondrent, ils ont poussé les faibles vers la falaise, croyant se débarrasser de la peste. C’est tout le contraire qui se produisit.
Les MC (les moutons costauds) devinrent les maîtres de cérémonies. Ils avaient développé une grippe puissante qui ne les atteignait pas, au contraire de leurs infortunés et faibles camarades de troupeau. Les bergers étaient fiers de ces bêtes costaudes, “en voilà qui nous ressemblent” se disaient-ils.
Cette grippe qui n’atteignait pas les MC s’arrangea pour passer chez les bergers pour y faire un massacre.
“Plus de barrière! plus de bergers! nous sommes libres!” s’écriaient les moutons costauds.
Ils prospéraient et vivaient donc libres, sans se soucier des pâtures… qui vinrent à manquer sous la pression cannibale de leurs mandibules.
Restes de la paix
dimanche, novembre 8th, 2020L’incestualité est une dictature. Comme toute dictature, comme tout autoritarisme, il se trompe d’objet et les “autorités” s’inversent et se mêlent dans un paradoxe (au sens de Racamier) inextricable. Elles sont partout et pourtant jamais là où il faudrait, alors qu’elles ne sont justement nécessaires que par leur absence; en des lieux et des espaces (multiples par nature) à la fois distincts et confondus.
Le renversement, souhaitable, est compromis par la perversion narcissique. Bien peu entrevoient ces forces majeures.
La peur véritable, en quelque sorte inaliénable, bien peu la connaissent, et c’est heureux. Que ceux-là dirigent tous les autres, c’est là que réside l’imposture magnifiquement tordue, imposée et pervertie, de l’humanité.
Tirage d’artiste. Impression encres pigmentaires (Ultra Chrome Epson) sur papier pur coton Lana (et Arches) contrecollé sur dibond, crochet, écarteurs.
53 x 37 cm. Certificat d’authenticité. Exemplaire 1 sur 3, définitif (aucun autre tirage). 300 € (port et emballage inclus).
Titre: Restes de la paix.
Never mind the bollocks
vendredi, novembre 6th, 2020Tirage d’artiste. Impression encres pigmentaires (Ultra Chrome Epson) sur papier pur coton Lana contrecollé sur dibond, crochet, écarteurs.
53 x 37 cm. Certificat d’authenticité. Exemplaire 1 sur 3, définitif (aucun autre tirage). 300 € (port et emballage inclus).
Titre: NMTB_fuck_away_bitch.
Liberté d’expression, chérie!
jeudi, novembre 5th, 2020Ou de la misarchie réelle.
Face à l’absence totale de raison, d’honnêteté morale sinon de scrupules, une seule solution: la déraison.
Face à un “conseil” autocratique et anticonstitutionnel, une seule solution: la sécession.
La méthode: l’insurrection.
Le moyen: l’art, la création.
D’après une idée faussement originale d’Alain Acquebart, produit par Chimou Bénichou (apport de cachets et du cachet, on est en France) et Marie-Jo Gropierre (qui roule…etc), avec l’ascendant des suppôts religieux de toutes obédiences y compris putardes, une chanson punk et misarchique qui crache son venin…
Encore plus loin.
Désobéir c’est la santé!
… face aux crétins qui veulent nous éduquer.
Catharsis abréactionnelle fantasmatique: “égorger manu“. Ça fait du bien.
Crédits d’augmentation des cachets : guitares, chant, production, post-production, écriture, fausse basse, prise de son et de vue, montage, effets, mixage, création, interprétation, publication et tout le saint frusquin: FHP Lornet. 2020 under diktat.
MP3 (4 mb)
MP4 (48 mb)
Sécession
mercredi, novembre 4th, 2020Inconscient automatique
mercredi, novembre 4th, 2020La couleur ne fait pas l’homme
dimanche, novembre 1st, 2020