Les bas de la queue

Les pauvres gens, souvent les “baqueux” (qui ont la queue bien basse, dirait l’humoriste), les violents fils de violents, les déviants avides d’extrême-droiture, les malades du “quoi-qu’il-en-coûte”, pour qui rien ni personne n’est précieux… Ceux-là sont de minuscules trous noirs (trous du cul, dirait l’humoriste) qui font bien pâle figure face à la lumière.
Les moins stupides, les moins stupéfaits par leur bêtise, souvent croient que présenter des excuses suffit. Ce n’est qu’un premier pas.

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