La “bonne société”, c’est évidemment celle que les dominants appellent ainsi, la leur.
On ne peut pas l’enlever, la bonne société est celle des riches, bourgeois ou nobles, qui s’entendent entre eux le plus simplement du monde.
Les véritables intellectuels ne font pas partie de ce monde, on peut s’en rendre compte aisément en écoutant les Pinçon-Charlot qui ont étudié leur vie durant les rouages de ce monde social à qui la planète appartient d’une manière ou d’une autre et que l’on peut considérer comme responsables de son anéantissement, à savoir celui de l’humanité. [ <- y’a un souci dans cette phrase, hein? 😉 ]
C’est là toute la difficulté de saisir ce qui est le mal dans un monde auquel on est habitué depuis la naissance. On peut même presque dire que les philosophes, dans leurs tentatives multiples, avancées mais toujours vaines, de caractériser l’humain ont participé également au déni qui caractérise l’absence de prise de conscience de ces drôles d’animaux qui parlent et prétendent être pourvus d’une conscience.