De la perversion du droit français

Je vois dans la presse française, aux mains des banques et autres milliardaires, que “l’affaire abbé Pierre” prend une tournure bien opportune pour masquer les faiblesses d’icelle justice (la pucelle, pour la rime, pucelle qui malgré le glaive phallique et l’aveuglement est une figure inaccessible).
En effet, l’abbé Pierre est mort, ce qui rend toute poursuite pénale éteinte, même si les griefs peuvent être toujours bien présents. J’en sais quelque chose de ce qu’appelle le juge Durand (seul et unique véritable représentant de la Ciivise), le “présent perpétuel de la souffrance”.
Qu’en est-il des duhamel, des matzneff, des depardieu, et autres gens de cinéma, et tant d’autres de tous milieux à qui profite l’inique loi de prescription?

Ceux-là vivent tranquillement leurs derniers jours, ultra riches, car ils sont tous vieux et ont profité éhontément de la jeunesse d’enfants afin de les baiser et de leur enlever toute possibilité de vivre eux-mêmes tranquillement.

Cette France rance est le lieu qu’aujourd’hui le fascisme nazi, la terreur macronarde, vient encore une fois frapper par l’arrestation d’un presque idiot franco-russe, le dirigeant de Telegram.

Dans un contexte de génocide perpétré par l’état juif d’israël (constitutionnellement, cet état n’est même QUE juif!) sur le peuple palestinien, le monde occidental, à travers la voix délirante de macron (qui met en danger de mort chaque Français, tout comme l’état juif d’israël met en danger chaque juif) se fait le fer de lance du fascisme planétaire qui vient.

Oui, ceux-là qui par leur haine et leur perversion mettent le monde à feux et à sang méritent d’être neutralisés (si l’on emploie leurs propres termes) ou seulement hors d’état de nuire, grâce au placement d’office et sans limite de temps, en hôpital psychiatrique fermé.
Hélas, ils sont ceux-là même qui détruisent effectivement les services médicaux, hospitaliers et psychiatriques en particulier.

Les bourreaux ont horreur du SOIN, car ils jouissent de cette absence et de cette bassesse. Un bien triste monde dont les camps ne sont plus délimités par des grillages et des miradors, mais qui sont la planète entière sous le joug de quelques cinglés qui parviennent toutefois à hypnotiser la majorité de leurs congénères.

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