Archive for the ‘Résistance’ Category

Bien niquer les créateurs graphistes avec la french fuck tech de jeunes crétins

mercredi, septembre 11th, 2024

Deux têtes de vainqueurs qui ne se cachent pas et qui veulent envoyer au chômage les graphistes (3D ou autres) avec l’aide de la (soi-disant) intelligence artificielle, afin que les patrons des boîtes de jeux vidéo s’en mettent encore plus plein les poches sans même bouger une couille.
C’est vraiment sympa l’idiocracy et les jeunes débiles qui la servent (je suis certain qu’ils ont plein d’arguments, mais comme dirait Didier Super dans une de ses chanson: “TA GUEULE”, j’ajouterai avec vulgarité “CONNARDS”)
Qu’est-ce que la jeunesse peut être conne parfois, au lieu d’être consciente de ce qu’elle a entre les mains…
J’espère que ces “génies” vont vite trouver comment créer du fric et de quoi manger “grâce à l’intelligence artificielle”… Si toutefois il reste des humains à qui cela pourrait servir, bien sûr.

https://www.leprogres.fr/economie/2024/09/10/chat3d-cette-start-up-lyonnaise-veut-faire-gagner-du-temps-aux-createurs-de-jeux-video

Enviable Wallonie!

mardi, septembre 10th, 2024

Un autre média qui fait du bien:

https://aoc.media/entretien/2024/07/12/benjamin-biard-face-a-lextreme-droite-laudiovisuel-public-belge-a-institue-un-cordon-sanitaire/

Barrer l’accès à la souveraineté du peuple et nier sa volonté autant que son vote

lundi, septembre 9th, 2024

Barrer + Nier = barnier.
Barrer l’accès à la souveraineté du peuple et nier son vote autant que sa volonté.
Alors oui, sur certaines pancartes il y a le fameux ‘rn’, mais je trouve mon analyse sémantico-littéraire plus sympa et beaucoup plus réaliste, car les partis ne sont que les surfaces des systèmes.
En gros, croix de Lorraine ou croix gammée, croix celtique ou croix tout court sont identiques, ce ne sont que des signes pour aveugles inconscients.

Carotter

samedi, septembre 7th, 2024

Ci-dessous, l’article complet du TLF (Trésor de la Langue Française) concernant ce verbe.
Vous donc, les franssés de la France rance (comme le dit si bien Barbara Stielgler — j’adore ce terme si juste) vous vous êtes fait carotter. Pas seulement votre participation aux zélections, mais votre “vote”, bande d’ignorants qui croyez encore à la “démocratie” telle que présentée par les usurpateurs et autres imposteurs pervers qui, s’ils n’en pensent pas moins que vous êtes des “gens qui ne sont rien”, vous font croire que vous avez quelque importance.
Bref, vous, les barrageux, les castors, les nigauds malgré vous, la carotte vous allez l’avoir encore plus profond dans des endroits qui ne sont pas faits pour cela.
“Ne courez pas, je suis votre ami”, dit le fou pervers à l’épouse incestuelle qu’il a mariée alors qu’il a été séduit à l’âge de 14 ans par cette vieille abusant de sa double autorité d’adulte et de professeur.
Vos manifestations ponctuelles sont des guignolades. Prenez les armes, coupez les têtes, même si cela ne changera rien au temps géologique, un répit même court ne peut être inutile.

CAROTTER, verbe.
I. Verbe intrans., vieilli, fam.
A. JEUX. Jouer mesquinement, ne hasarder que peu d’argent à la fois. Ne faire que carotter (Ac. 1835-1932).
Rem. 1. ,,Se dit surtout au jeu de billard“ (Lar. 19e, QUILLET 1965). 2. Cf. carotte D 1 b.
B. P. métaph. Ne faire que des affaires médiocres. Pour s’enrichir, il s’agit ici de jouer de grands coups; autrement on carotte (BALZAC, Le Père Goriot, 1835, p. 125).
[Avec un obj. interne] Loc. Carotter l’existence. Vivre chichement. Synon. ne vivre que de carottes.
II. Verbe trans., fam., pop. ou arg.
A. Carotter qqc. (à qqn). Soutirer quelque chose (à quelqu’un), en particulier des sommes d’argent relativement modestes en abusant habilement de sa crédulité, de sa générosité. Goujats (…) tout entiers à se carotter les uns aux autres un écu neuf ou une vieille idée (E. et J. DE GONCOURT, Journal, 1857, p. 461). Carotter de l’argent à qqn. Je carotte froidement des volumes, sous prétexte de service de presse supplémentaire (COLETTE, Claudine en ménage, 1902, pp. 135-136).
1. [L’obj. désigne une réalité concr.] :

1. Ce qui est trop commode, monsieur, c’est de s’emparer du bien des autres et d’en user comme du sien; c’est de leur carotter leur monnaie sous le prétexte mensonger d’assurer leur droit au sommeil, à l’intimité et au repos, …
COURTELINE, L’Article 330, 1900, p. 279.

2. [L’obj. désigne une réalité d’ordre spirituel ou intellectuel] Ce poète [Beauvivier] (…) qui se flatte, (…), de séduire son Juge et de carotter le Paradis (BLOY, Le Désespéré, 1886, p. 246).

2. … Berthelot, notre nouveau ministre des affaires étrangères, carottant à l’ambassadeur des renseignements sur la Russie, tandis que l’ambassadeur carottait du ministre-chimiste des renseignements sur le moyen de tirer parti des phosphates qu’il possède…
E. et J. DE GONCOURT, Journal, 1895, p. 869.

3. Arg. des casernes
a) Échapper au règlement par un subterfuge. Carotter le service, les corvées, l’exercice.
b) S’attribuer, en l’imitant habilement, l’allure de quelqu’un. Carotter l’idiot; carotter le génie de la Bastille (ESN. 1966).
4. Emploi abs. [Le compl. d’obj. est implicite] Chercher et obtenir par la ruse ou l’habileté des avantages.
Carotter avec qqc. Se livrer à la recherche de petits profits, spéculer avec quelque chose :

3. Une affaire exige le concours de tant de capacités! Mettez-vous avec nous dans les affaires! Ne carottez pas avec des pots de pommade et des peignes : mauvais! mauvais! tondez le public, entrez dans la spéculation.
La spéculation? dit le parfumeur, quel est ce commerce?
BALZAC, César Birotteau, 1837, p. 315.

Carotter sur qqc. En détourner frauduleusement une partie à son propre bénéfice. On s’est aperçu que l’économe carottait depuis longtemps sur le budget de la nourriture (DUB.) :

4. [Prochon au lieutenant]
… je t’en flanque [des bagages] sur le rable; je carotte sur la quantité; je réquisitionne une brouette; je… Ah! Quel fourbi!
GENEVOIX, La Boue, 1921, p. 66.

B. Carotter qqn (de qqc.)
1. Lui soutirer quelque chose habilement, en particulier des sommes d’argent relativement modestes, en abusant de sa crédulité, de sa générosité. On l’avait carotté d’une ration de pain et de plusieurs centimes (E. DE LA BÉDOLLIÈRE, Les Français peints par eux-mêmes, L’Armée, t. 5, 1842, p. 52).
P. ext. Duper, tromper en vue d’un avantage. La vieille habitude de carotter l’électeur (BERNANOS, La Grande peur des Bien-Pensants, 1931, p. 443); carotter le fisc (AYMÉ, Uranus, 1948, p. 169) :

5. … oui, plus de ces gens-là qui carottent le travailleur et qui le font chanter, par une infinité de ficelles indignes.
D. POULOT, Le Sublime, 1872, p. 203.

6. Les absents ont toujours tort. Cela signifie… que les absents doivent être invariablement carottés, filoutés, flibustés… de toutes les manières imaginables.
BLOY, Exégèse des lieux communs, 1902, p. 245.

Pop. Escroquer :

7. … La caisse s’est vidée sans que je devinasse par quelle fente! Ils étaient une bande à m’emprunter, à me carotter, à me voler… Ce que je sais, c’est qu’ils ont emporté jusqu’au dernier liard.
ZOLA, Les Héritiers Rabourdin, 1874, II, 2, p. 172.

2. P. ext., arg. Sonder quelqu’un, le faire parler. Synon. tirer la carotte à qqn (cf. carotte D 2 a) :

8. V’là les gendarmes! Ils nous sacréandent, ils nous carottent. En prison. (…).
Brument déclara vrais en tous points les aveux de son complice.
MAUPASSANT, Contes et nouvelles, t. 1, Une Vente, 1884, p. 145.

Prononc. et Orth. : []. FÉR. Crit. t. 1 1787 propose la graph. caroter. Ds Ac. 1740-1932. Étymol. et Hist. 1. 1732 emploi intrans. « jouer mesquinement, en ne risquant presque rien » (Trév.); 1835 en partic. terme de bourse « risquer peu » (BALZAC, Le Père Goriot, p. 34); 2. emploi trans. « escroquer quelqu’un » (BALZAC, Petit dict. critique et anecdotique des enseignes de Paris, O.D., t. I, p. 158 ds Fr. mod., t. 22, p. 201); 1842 « extorquer de l’argent à quelqu’un » (FLAUBERT, Correspondance, p. 121 : les fils inventent un tas de blagues pour carotter leur père, afin d’en soutirer de l’argent); 1858 p. ext. arg. milit. carotter le service « chercher à esquiver » d’apr. LARCH., p. 433. Dér. de carotte* étymol. A 1 pour le sens 1 (cf. le sens de l’expr. ne vivre que de carottes, Ac. 1694) et B pour le sens 2; dés. -er. Fréq. abs. littér. : 33. Bbg. ROG. 1965, p. 50. SAIN. Lang. par. 1920, p. 141, 385.

Utilité publique en période fasciste perverse

vendredi, septembre 6th, 2024

J’aime beaucoup ces vidéos, et j’en ai vu des centaines depuis plusieurs années.
Elles sont un premier pas vers la connaissance et la compréhension lorsque l’on souffre et que l’on est témoin et/ou victime de meurtres psychiques ou de meurtres induits psychiquement (dans ma propre histoire j’en ai connu plusieurs outre le mien).
Bien sûr, les livres sont, du moins pour moi qui suis universitaire, un premier choix, mais l’information vidéos accessible à tous via les plus belles pages du web est une forme nouvelle est essentielle pour commencer à comprendre et à véritablement s’instruire.

https://www.youtube.com/watch?v=PcpZ3j2YW68

 

https://www.youtube.com/watch?v=ND7rDPQwiAw

SCI-HUB

samedi, août 31st, 2024

Sci-Hub is the most controversial project in modern science. The goal of Sci-Hub is to provide free and unrestricted access to all scientific knowledge.

https://elucid.media/societe/la-vie-dans-les-campagnes-la-realite-derriere-les-fantasmes-bourgeois

Benoît COQUARD est sociologue à l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae). Il travaille depuis plusieurs années sur les milieux ruraux et sur les classes populaires. Dans cette interview par Olivier Berruyer pour Élucid, Benoit Coquart lève le voile sur les fantasmes autour de ceux qui vivent dans les campagnes. Entre l’idée que ces citoyens incarnent « le vrai peuple oublié », et celle qui les condamne comme des « racistes » et des « ignorants », la réalité se révèle bien plus étonnante, et très loin de toutes les représentations médiatiques habituelles.

La barbarie de “l’état nation du peuple juif” en 2024

vendredi, août 30th, 2024

L’article ci-dessous m’a rappelé la visite du camp nazi bien franssé de Natzweiler Struthof il y a quelques années, dont un dessin (fait après la guerre à voir dans un baraquement reconstruit constituant musée) montrait les militaires nazis “si moraux” (les plus moraux de l’univers diraient les ministres de l’état juif d’israël aujourd’hui) lancer les chiens sur des prisonniers accablés, malades, dénutris, survivants zombies de la barbarie humaine.
Voilà ce que me rappelle la politique de l’état d’israël en 2024 telle que racontée ici par une survivante palestinienne des camps de la mort israëliens en Palestine.
https://www.rfi.fr/fr/moyen-orient/20240829-gaza-ils-ont-l%C3%A2ch%C3%A9-un-chien-sur-moi-t%C3%A9moigne-un-ex-d%C3%A9tenu-palestinien-d-une-prison-isra%C3%A9lienne

PS: si je voulais être barmitzvé moi-même, “feuj” quoi, mais avec un certain humour (noir bien sûr), je dirais que “bon, les zeux zolimpyks de cripples, c’est vraiment moignon comme on l’a aperçu dans certaines cérémonies indécentes (ohoh!), mais ça va deux secondes avec un fasciste pervers paranoïaque nommé macron, qui ne rêve que d’une chose: devenir un netanyounyou tout guerrier qui tue la vie. Donc finalement, la torture et la mutilation sexuelle pour une “religion”, non merci, j’ai donné, idem pour le délire psychopathologique des idiocrates, du micro-totalitarisme familial (comme le dit Bilhéran) à la vie en régime fasciste dictatorial covidisto-délirant. Allez vous faire foutre, les 99% de fascistes.