Archive for the ‘psychanalyse’ Category

La folie narcissique (Racamier)

jeudi, avril 20th, 2023

Comprendre le moment psycho-social et politique que l’on vit, en France, surtout depuis 2017 (période exemplaire s’il en est!), avec les conséquences attendues de guerre civile et de folie partagée (nous sommes début 2023). Si vous savez lire, personne ne le peut à votre place.
Racamier est à placer avec Freud, Yung et Lacan (même si ce dernier est un radical-qui-pète-les-couilles 🙂 comme moi).
Racamier Paul-Claude, Le génie des origines, Psychanalyse et psychose, Payot, 1992.

“En guerre” … sabotage

lundi, avril 17th, 2023

Lorsqu’un psychopathe à la tête d’un état, un pervers narcissique paranoïaque (au sens psychanalytique des termes, et c’est sévère) dit à la population qu’il dirige (plutôt qu’il gouverne): “nous sommes en guerre”, alors il faut retourner contre le cuistre sa logique afin de le faire taire et de l’humilier.
La toute première chose à faire lorsque l’on mène une guerre, c’est de couper toutes les communications (liaisons et transports terrestres, aériens et maritimes) et télécommunications (télévision, radio, internet) par les moyens du sabotage.
La guerre voulue par le cuistre pervers et totalitaire se retourne ainsi contre lui qui, sans parole ni audience, se retrouve nu et vide, seul face à son deuil et à sa dépression, sans pouvoir l’évacuer chez d’autres. Il en meurt.
La vie peut ainsi reprendre son cours, forte d’une expérience enrichissante bien que traumatisante.
L’eau du Tao ne peut être empêchée que temporairement.

Se préserver

dimanche, avril 16th, 2023

Petit résumé de combat et de sanité.

Racamier (Paul-Claude) nous apprend que la perversion narcissique est toute dans l’agir et dans la parole. Ce qu’on appelle pensée n’existe pas chez le pervers narcissique. Le pervers narcissique n’a pas d’objet, il considère ses congénères comme des ustensiles.
Maffesoli (Michel) donne une définition des élites dirigeantes comme ceux qui ont le pouvoir de dire et de faire. En effet, et malgré le délire vulgaire et ridicule de Wharol (Andy) à propos des 15 minutes de gloire de chacun grâce aux médias — plutôt la télé-réalité que les publications web, encore que le virus de la médiocrité se propage; seules les élites (et les wannabe elite — gens de médias) ont accès aux financements d’état (l’argent de tous les citoyens) pour faire et à la publication par tous moyens disponibles, quand ils le souhaitent, de leurs discours afin de dire.

Racamier nous apprend également que la seule façon de faire cesser la torture psychique (et souvent bien réelle et physique, quand bien même seulement induite) d’un pervers narcissique, c’est de l’humilier afin qu’il en meure. Une seconde solution est la fuite, mais cela n’empêche pas que le pervers continue son massacre des moi narcissiques d’autrui.
A l’aide de ces deux éminents penseurs on peut envisager “d’avancer le temps” (plutôt que d’attendre une éventuelle solution extérieure — une élection? … si elle est encore autorisée…), afin de faire cesser la perversion narcissique d’un dirigeant totalitariste, simplement en ne l’écoutant pas, jamais. Et en n’en parlant jamais (le pervers narcissique excelle à  ce qu’on parle de lui quand il n’est pas là).
Sa parole, jusque là commentée, analysée, scrutée (toutes choses dont il jouit) devient alors rien (tout comme ce qu’il est en réalité, un être totalement vide) et ne produit plus aucun effet, tel un virus désactivé — utilisé dans les véritables vaccins — sauf à ce que tous le voient dans sa réalité de manipulateur sadique et paranoïaque — et puissent donc s’en prémunir de façon définitive!

L’effet de cette humiliation totale de cet être totalitaire qu’est le pervers narcissique serait quasi immédiat. Les effets en seraient tout d’abord violents, car le pervers n’a aucune limite. On peut supposer qu’un tel psychopathe dirigeant un état lancerait ses chiens sur tous ceux qui ainsi l’auraient humilié. D’un état totalitaire et soumis aux états d’exception, on passerait alors vers une véritable dictature, basée sur la guerre civile ordonnée : la police et l’armée au service de quelques fous et contre tout le reste des citoyens, avec de nombreux morts. Le “sang et les larmes” que le pervers narcissique n’a jamais voulu regarder en face dans sa vie personnelle, mais qu’il introjecte dans ses proies, fussent-elles une population entière.

Afin d’éviter une telle funeste période (qui par ailleurs ne manquerait pas de s’effondrer à son tour, mais à quel prix et au bout de combien de temps!) il est impératif que les esprits lucides et sains, dont je gage qu’il en reste quelques-uns parmi les élites et les corps dits intermédiaires, mettent en place un comportement rationnel plutôt que de suivre l’attrayante jouissance qu’un système pervers et ses pervers dirigeants pourraient leur faire miroiter.

Il s’agit là d’une histoire d’humanité.

Surpuissance

vendredi, avril 14th, 2023

La puissance du trauma psychique infantile est telle qu’à la fois bien peu se rendent compte de la chance qu’ils ont ou du malheur qu’ils vivent.
Tel un virus, le trauma et par extension l’humanité n’a qu’un seul dessein: se propager et survivre.
L’arme unique pour tâcher de contrer ce funeste dessein qu’est celui du trauma et de l’humanité est la parole.
En cela, ce qu’on appelle censure est un diktat malveillant au plus haut point, un faiseur de mort, un propagateur de virus.

Psychopathie

mercredi, mars 29th, 2023

Sortir de la psychopathie est tâche ardue. La plupart, qui en jouissent et en tirent profit – les sadiques donc, n’y arriveront simplement jamais sauf à ce qu’on les mettent hors d’état de nuire.
Un moyen terme, concernant macron le “président” psychopathe français, serait de l’émasculer en place publique dans l’espoir qu’il accède à la castration.
“Pour son bien” (comme il aime dire), évidemment. Mais surtout pour la sanité de millions.

NB: on ne peut forcer, mais ce serait là acte de “briser la glace en cas de danger”.

Ό άναξ, ου το μαντείον έστι το έν Δελφοίς, οΰτε λέγει ούτε κρύπτει άλλα σημαίνει

samedi, octobre 22nd, 2022

« Le prince dont l’oracle est à Delphes / ne parle pas, ne cache pas, mais signifie » (Heraclite, Β XCIII Diels- Kranz)

La loi symbolique des humains, qui évidemment n’est que symbolique mais dont la transgression a des conséquences bien réelles, semble ne plus exister en hexagonie, la Gaule du IIIe millénaire.
La démente période covid a pour effet, outre d’ouvrir certains esprits, de revenir sur les deux tabous essentiels que sont l’inceste et le meurtre, l’incestuel et le meurtriel ayant remplacé, à la faveur de psychopathologies graves et sérieuses, tout ce qui pouvait faire sanité.
Ce qui n’appartenait qu’aux dieux, dans toutes les mythologies, est devenu l’outil de l’auto-destruction du jouet, de l’objet essentiel, indispensable à ce que l’Homme appelle la vie.
Lacan disait “on est foutu”, j’ajouterai “vite”. Vite.

Flavescer flawlessly

jeudi, octobre 20th, 2022

On y croit? Et mon cul?
Mais rien n’empêche.
C’est là qu’on pêche.

A

mercredi, octobre 19th, 2022

J’ai été furieux et plein de rage ma vie durant.
J’ai découvert pourquoi et cela n’appartient qu’à moi.
Mon âme a-a-aaa-apaisée à présent me guide vers moi.

La maison enfermée

lundi, octobre 17th, 2022

Pendant de longs mois, la maison est enfermée,
recroquevillée, essoufflée, parsemée de saletés…
Pendant des années. En fait.

Prochaine thèse fantasmée

mardi, octobre 11th, 2022

Thèse de fin de 3e cycle en métapsychologie, avec tout mon soutien:

Le baiser théâtral par temps de covid.
Autoritarisme, paranoïa et perversion dans les sociétés occidentales du premier quart du XXIème siècle.

L’autorité folle

jeudi, septembre 29th, 2022

Cette période où la folie l’emporte au sein et au service des dominants fait confondre à certains esprits éveillés l’autorité et l’autoritarisme, maniaque et pervers.
C’est non seulement embêtant, mais très dangereux. Si l’on veut bien considérer les trois états psychiques principaux que sont la névrose, la psychose et la perversion, cette dernière, bien qu’ayant toujours existé, semble l’emporter sur les deux autres à la faveur du cours de l’humanité et des systèmes qu’elle met en place pour sa survie, économiques, politiques et donc sociaux.
Une grande masse de névrosés se contentent d’un déni inconscient de ce dont ils sont l’objet; c’est la vie pensée comme heureuse mais débilitante basée sur la reproduction et la consommation, afin de croire “qu’il en va ainsi”.
Cependant, et bien que ces signaux soient encore faibles et plutôt utilisés comme des outils pervertibles, le mouvement d’émancipation est toujours présent et semble s’attaquer désormais à certaines fondations de la perversion dominatoire, à savoir la sexualité: les femmes et les enfants dénoncent les tortures maltraitantes “communes” et ne se résolvent pas au déni. Une conscientisation du malheur dont l’art est la principale voie d’accès et qui prend la forme politique et sociale de rébellions, de révoltes et de séditions.
Les réponses à cette émancipation saine, dans les régimes politiques les plus variés, sont évidemment l’emploi de la force afin de mater toutes velléités de liberté et de préserver la domination des castes perverses.
Ce qui peut être plus grave encore pour la société, c’est que ceux qui entendent prendre soin d’autrui, afin de réduire la folie auto-destructrice des survivants de maltraitances, peuvent être amenés à confondre des mouvements d’autoritarisme pervers et toxiques avec une autorité saine. Cela est permis par la nature même de la perversion que Racamier et Caillot à sa suite ont tenté de définir avec un certain succès.
Cependant, et il faut y revenir, la nature même de la perversion est indissociable de la jouissance dont elle se nourrit, ce qui en fait un phénomène mouvant dans son immobilisme et insaisissable dans ses contours.
Eiguer tente de son côté de parvenir à cette même fin en s’appuyant sur le groupe plutôt que sur l’individu malade, car cet individu est jouir de folie et amour de la destruction de l’autre dans le cas de la perversion narcissique. La collusion de ces mots antagonistes montre à quel point la tâche est ardue.
Fût une époque où Freud pouvait encore fuir la folie destructrice de la perversion en s’échappant dans un autre pays que le sien où les gouvernants étaient moins sujets à la pédagogie noire qu’à l’amour de la liberté, mais surtout à une certaine modération (si l’on veut bien y croire encore).
Aujourd’hui, dans ces premières décennies du XXIe siècle, l’Homme a atteint sans encore le formuler ni le formater entièrement un régime planétaire.
L’expérience inédite (!) d’un virus de type coronavirus aux symptômes principalement grippaux, dont on ne sait rien de la genèse (c’est à la fois fort ennuyeux et de bien peu d’importance face aux phénomènes politiques construits sur et par sa présence bien réelle)  mais dont on sait qu’il a émergé près d’un laboratoire d’ingénierie génétique étudiant à des fins de modification précisément ces virus de chauve-souris, a montré à quel point la bascule dans un régime totalitaire mondial est aisée.
La perversion, disais-je, mène à la psychose. L’inertie de la névrose peut probablement pendant un temps faire contrepoids aux saillies qu’amènent les psychoses dans la société, mais c’est là un équilibre forcément fragile et qui ne repose en rien sur la raison.
Si la perversion s’étend de façon suffisamment globale, la psychose remplacera bientôt la banale névrose pour le malheur de tous.
La névrose est un pis-aller assez confortable et jusqu’à présent assez efficace également. Jusqu’à présent.
La psychanalyse, et par extension toutes les formes thérapeutiques bienveillantes (de celles qui permettent d’aborder la mort en paix, la vie durant), ne peuvent se laisser manier, subrepticement, par un autoritarisme rampant, fruit de la perversion.
J’admets que certaines contingences matérielles puissent, hélas, empêcher un instant les déroulements de cures, mais il faut impérativement et le plus vite possible, dire et montrer à la lumière de l’esprit le phénomène autoritaire en prenant conscience qu’il vient remplacer, de façon éminemment perverse, la saine autorité sans laquelle le sens est inversé pour devenir insensé.
Se dire que l’assurance psychique de l’homme sain est un rempart suffisant aux attaques perverses est un leurre. La fuite était, était!, un moyen terme pour garder une certaine sanité, mais les progrès techniques (surveillance de masse en toutes matières, sociale, médicale, politique, bref, physiologique à défaut d’être encore intégrée au psychisme mécaniquement) sont aujourd’hui mis à la disposition des pervers qui nous gouvernent.

Y a-t-il du beau, du bon et du sacré dans l’humanité, je le crois.
Cependant, et même à des fins personnelles, la foi, la saine lutte ne doit jamais se laisser amadouer par la face perverse de l’hubris.

 

Les communs névrosés

lundi, août 22nd, 2022

J’envie la vie des névrosés, elle est commode.
J’allais dire que c’est une vie misérable, de mon point de vue de psychotique. Mais c’eut été une erreur.
Cette vie de névrosés est un long fleuve tranquille, parsemé de famille, de procréation, encore de famille, de boulot alimentaire quelquefois gratifiant…
Un long fleuve, non sans ses petits écueils, que l’eau névrotique parvient à contourner, par la force de la gravitation et de la phusis.
Cependant, tout cela est bien facile, à dire vrai, même sous ses atours de ‘ô mon diou, que c’est difficile’.
Car oui, même branlantes, les substructures de la névrose commune permettent d’y voir gris, et cela suffit à la multitude.

J’aurais tant aimé me construire sur de telles branlantes fondations. Mais hélas, trois fois hélas, et même une quatrième, ce ne fut pas le cas.
De construction il n’y a même pas eu. Les aveugles n’y voient que du feu, si l’on ose dire, et préfèrent parler de destruction.
“Pero NO!” comme dirait king Bob des minions avec une certaine nonchalance.
Lorsque la construction est défaillante au point de n’exister jamais, elle permet le rien.

La construction bancale, très anale, fait le lit des névroses acceptées, se vautrant dans l’illusion que procurent les possessions et l’argent, quels qu’en soient les ressorts, que l’on en ait ou que l’on en n’ait pas.
C’est une douillette et confortable couche sur laquelle se vautrent les imbéciles, et en cela ils partagent la même stupidité, quelles que soient leur “classe sociale” ou leur “niveau de vie”, on aurait dit “leur fortune”, dans un temps moins “inclusif”.

Quelle merveille que ce sentiment des névrotiques, inconscient, de participer à un “je-ne-sais-quoi”.
Quelle merveille s’il n’amenait la perversion, toutes les perversions, de la plus basse, la plus vile, à la plus futile.

La pierre de touche de l’amour se mesure à la psychose.

[commentaire]
Toute cette énergie gaspillée et gâchée! dans la névrose commune!
C’est remarquable tout autant que phénoménal. Quoi d’autre pour nous mener à la fin?

Dysfonctionnalisme comme arme de destruction de l’humanité

lundi, août 1st, 2022

On n’imagine pas à quel point ce que la dysfonctionnalité grave des familles psychopathiques engendre comme psychoses ou leur corollaire, les états dits limites.
Pour prendre un exemple, un père mégalomaniaque pervers narcissique qui se serait trouvé une femme complice, qui, sous couvert de “bonne société” ou simplement pour “sauver les apparences” (plutôt que les êtres, n’est-ce pas?), s’en serait pris à son propre fils comme exutoire peut créer une véritable psychose chez cet enfant. La sœur est plus ou moins épargnée et utilise le modèle maternel pour survivre.
Ben c’est moi, cet enfant.
Je profite des rares moments de lucidité que je vis de temps en temps pour l’écrire.
Ces pathologies gravissimes de l’humanité que sont la perversion narcissique, sa complicité (salvatrice pour le complice) et l’utilisation des enfants comme exutoire est une pathologie virale et toxique au plus haut point.
Evidemment, les névrosés banaux ne peuvent rien y entendre. Mais ceux qui connaissent, par expérience et étude, les pathologies psychiques, savent quels dégâts sociaux elles créent.
En général, les plus faibles ne peuvent exprimer ce genre de choses car ils se sont suicidés bien avant de pouvoir prendre conscience du mal dont ils souffrent.

Coco

jeudi, juillet 28th, 2022

Les livres d’amour que constituent, pour moi, la littérature DES psychanalystes (et non psychanalytique) s’accordent fort bien avec le discours de Lordon, en tant que puissante médecine anti psychotique.
Le capitalisme étant la perversion systémique mère de toutes les autres, il est responsable également des formes de vies névrotiques et psychotiques dont il se nourrit.
Frédéric Lordon : “Vous avez dit communisme ?…” Conférence du 28 juin 2022 à l’UNIL
https://www.youtube.com/watch?v=6xwSvkZY5hk

Les marches blanches

samedi, juillet 23rd, 2022

Les marches blanches servent à faire croire qu’il existerait un A que l’on puisse former avec tout un tas de a.
S’il arrivait qu’on marche sur l’immaculé, crotté — ce qui est notoirement possible —, ce beau fantasme ranimerait la ferveur assassine de nombreux a thanatiques.
Il n’est donc pas de A… peut-être un tas haut?

De l’inceste divin

lundi, juillet 11th, 2022

Shengold nous dit que l’inceste est l’apanage des dieux et de la royauté, dans l’Histoire, comme dans le mythe d’Œdipe.

N’est-ce pas manu macron qui a dit de son “projet” qu’il devait être “jupitérien”?
On voit maintenant qu’il aurait peur d’être châtré, tué…
Mais oui!

Quant aux autres, qui n’atteignent pas position aussi élevée dans la société, ils usent et abusent de leur pathologie manipulatrice perverse narcissique afin de se nourrir des âmes en les tuant.
Et y’en a plein… Et ça fait des dégâts.

 

Badass for a smartass asshole

samedi, juillet 9th, 2022

Hail to the king, CryBaby! 🙂
[*blink @Duke ;)*]

Being whole life* victim and survivor of an NPD parent

samedi, mai 28th, 2022

Trauma is constituted of repetitive shit. A “simple” rape at 20 years old is actually nothing compared to a traumatic experience that has been lasting for more than 20 years, including the pre born shit.
Having been the victim of an NPD parent, in my case a fucking father, is killing ‘softly’ the soul of ANY human being.
But what’s occupying me at the moment is the: why do symptoms can reverse and come back?
I had a great time living, probably the first of my life (considering I’m 48 yo) during february and march 2022. Then I had  serious illness (flu or 22’s name covida) and after that symptoms of what I call nolife or brain normal functions interruption.
As of today, I’m back to life and fighting instead of struggling. That means anything “normal” is “normal”, sometimes even a pleasure (always consider that in symptomatic periods anything “normal” is just a pain emerging from a nowhere memories).
So it’s like all psychoanalysts call the “too much” or “too few” mirror of what’s happened in education during childhood.
There is NO balance. I’m ok with with the mirrored too much, as it kind of compensate the nightmare I’m living in since even before being born.
The history of a NPD of course goes back to even before œdipian state, they have NO œdipian period. That is not safe at all, it’s insane.
As to counter effect this, those people, unconsciously, put on a life strategy and begin to look for victims.
As to my insane father, that was probably my mother at first, but I soon, being born became the one preferred victim.

Shengold

mercredi, mai 25th, 2022

Lecture du moment, Le meurtre de l’âme de Léonard Shengold.

Tout

jeudi, mai 12th, 2022
Je vais lire TOUT ce blog. C’est le mode d’emploi de ma (jusqu’à présent assez) triste vie.
Et ensuite, si j’ai encore quelque vie, quelques forces, si j’y parviens même… ça va chier dans l’ventilo, j’apporterai ma pierre à l’Humanité (carrément).

https://perversionnarcissiqueetpsychopathie.wpcomstaging.com/

 
Paul-Claude Racamier, « L’incestuel », in Vocabulaire de psychanalyse groupale et familiale, tome I, CPGF, Paris, 1998, p. 164.
Jean-Claude Guillebaud parle dans le même sens de l’inceste dans Le Principe d’humanité : « Le père qui possède sexuellement le corps de son enfant cède à un désir inhumain… Il brise le cours du temps. Il efface la parenté. Il interdit à la victime de prendre place dans la chaîne des générations. L’inceste est le cousin germain du génocide en ce qu’il aboutit à détruire l’individu en détruisant son lien de parenté. Ce qu’il violente, en somme, ce n’est pas seulement le corps de l’enfant, ou l’un de ses organes, c’est très exactement ce qui fonde son humanité. »
A lire en conclusion de l’article « La dimension anthropologique de l’inceste », sur le site de l’association AIUS. Pour rappel : l’incestuel désigne quant à lui un « équivalent d’inceste » encore plus maléfique que l’inceste génitalement accompli.