manu rotchild (“fils de pourriture”, signification symbolico-phonétique) macron est le président pervers, bien plus que le psychopathe donald trump.
C’est un enfant psycho-sexuellement traumatisé qui se prend pour un dieu. Rien que de normal en psychopathologie.
Mais il détient le pouvoir grâce à l’entregent (l’entre-jambe?) de sa marâtre.
Ce n’est qu’en cela qu’il existe bel et bien une “exception cultureuse” française… si dramatique.
Archive for the ‘Philosophie’ Category
Le président pervers
dimanche, février 28th, 2021Suburban poster
vendredi, février 26th, 2021En me baladant dans les banlieues sombres et insalubres (of course), je suis tombé sur l’expression de la colère terrible qui sourd dans nos contrées.
J’en ai fait de mémoire une reproduction assez fidèle, bien que j’aie ôté les résidus de déjections projetées contre les photos qui l’accompagnaient.
Les conséquences des restrictions totales des libertés des citoyens d’aller et venir et de rencontrer qui ils veulent n’apparaissent encore que très peu au jour en cette fin de février 2021.
Cependant…
Connaître la réalité covida
samedi, février 20th, 2021Pour connaître la réalité au sens large, il faut d’abord connaître SA réalité à soi. C’est douloureux, long et très difficile.
Ensuite on peut espérer approcher, sans jamais l’atteindre, la vérité.
Plandemic.
https://plandemicvideo.com/
Fouché (anesthésiste réanimateur), Pavan (mathématicien enseignant chercheur), Carré (anesthésiste) <- ceux à voir, les trois premiers entretiens intégraux sans mise en scène (2h30).
NEW HOLD-UP+ LE BONUS
https://www.youtube.com/watch?v=ujWehztwa88
Aphorisme
jeudi, février 18th, 2021M’est venu cet aphorisme: L’amour ne coûte rien et pourtant il vaut plus que tout.
Je n’ai pas cherché à savoir s’il existe déjà car je m’en moque; il importe que je l’ai pensé.
Il résume convenablement à mon avis ce que ce brave Coluche disait de Freud et de la théorie psychanalytique: “a que y’a le cul a que y’a le fric”, dans une proposition erronée.
En effet, s’il y a bien le fric (et de nos jours, c’est exponentiellement criant) le cul est un raccourci peu à propos pour ce qui aurait dû être appelé l’amour, l’affection, la sensibilité, l’affect, la bienveillance, l’empathie, la sympathie. Bref, un “tas” de sentiments dont le “cul”, réalisation physique dans la sexualité génitale adulte de l’être humain, est un point de détail.
Alors, de cet aphorisme, que signifie-t-il? Car c’est un peu fourre-tout.
Et bien il met en relation d’opposition l’argent et les biens matériels, nécessaires mais vains, avec ce qui fait l’humanité, l’amour, pris dans son sens le plus générique qui soit.
Evidemment, on sait que l’humanité est également dotée de la possibilité de la plus grande perversion. Ainsi, ces deux objets sont souvent confondus, mélangés, embrouillés afin de créer un moyen de domination.
Quelles en sont les causes? Multiples et variées, dirais-je, mais toutes proviennent de l’élaboration de chaque être humain par son éducation et la vie qu’il a eu pendant son développement infantile, de sa procréation à… quelquefois à tout jamais, hélas.
Il y a pourtant des échappatoires, telles les névroses de vie, qui permettent, à moindre coût, selon une stratégie psychique d’économie, de survivre en regardant les trains passer. Celle-ci est la moins pire et la plus facile.
D’autres stratégies emploient la perversion et s’appuient sur les faiblesses des premières, elles s’en nourrissent et ne se préoccupent pas de savoir qu’elles meurent bien vite faute de courage. Il y a tant, peu importe donc.
Et il y a… autre chose.
manu macron ou la casse sociétale
mardi, février 16th, 2021Il a pris la France pour la mettre à genoux, telle une vieille femme de sa connaissance, qu’il a même épousée.
Cependant, la République est figurée sous les traits d’une femme jeune et éprise de liberté, pas comme sa vieille rombière, malade mentale, qui ne pense qu’à changer pour des millions les tapisseries et la vaisselle d’un logis qu’elle ne mérite pas, afin d’y laisser une trace de son odeur pestilentielle.
C’est la mort déguisée qui rôde sur l’innocence de la jeunesse qu’elle détourne et avilit afin de compenser ses défaillances primordiales.
Quant à son pantin, il décharge son incapacité à gouverner sur la population, tantôt imitant les autres, tantôt prétendant être au devant des initiatives.
Il affaiblit, pense-t-il, la volonté de puissance (qu’il n’a pas, outre ses manigances et ses manières détournées) d’un peuple, de concert avec ses pairs par un hasard malheureux aussi débiles que lui.
On en est là.
Les intellectuels sont dépassés par l’ampleur de l’escroquerie, car ils sont déjà vieux et à l’abri du besoin.
La terreur instaurée par les dominants du monde entier sur les populations, en ce début de seconde décennie du XXIe siècle, est inédite.
Son ampleur est planétaire.
Le prix à payer pour ceux qui l’ont instaurée sera celui du sang.
Traumatologie du fascisme français à partir de 2020
dimanche, janvier 10th, 2021Similitude des traumas entre violence sexuelle et privation de libertés essentielles à l’humanité.
La domination qui s’exerce sur la majeure partie de l’humanité par des faits de couvre-feu, d’incarcération domiciliaire, de contrôles miliciens et policiers, de restrictions diverses et multiples concernant les arts, le sport, la vie en général à l’exception de l’alimentation, est une folie menant, plus elle dure, à la plus sûre réussite des dominants sur les populassières.
En France, par exemple, les dominants petits comme les ministres vivent sur les deniers de la population, sans rien produire sinon des ordres d’obédience orgasmique, avec 30 000 euros par mois en moyenne, alors que la moitié de la population active vit avec environ 1200 euros mensuels, le smic.
Si l’on se rapporte à la philosophie psychanalytique d’Alice Miller, la pédagogie noire, qu’elle dénonçait dans l’éducation des enfants, est aujourd’hui mise en pratique à une échelle mondiale sur l’entièreté des populations.
Injonctions paradoxales infinies, culpabilisation de chaque individu (coupable d’être potentiellement porteur de la mort pour autrui) sont les ressorts politiques, et uniquement politiques, de la domination de la bourgeoisie capitaliste issue de la révolution française, en ce qui concerne la France.
Non seulement la population n’y voit que du feu, dans sa grande majorité, prise par la peur de mourir ou par le sentiment fallacieux d’être ainsi protégée de la mort, mais elle s’écharpe entre elle à ces sujets.
Il n’y a rien d’autre qui soit plus plaisant aux dominants qui peuvent ainsi, au prétexte infondé d’un virus finalement absolument peu grave en regard de la peste ou d’ébola, jouir orgasmiquement de leur toute-puissance sur des foules immenses.
Dire ce qu’un être peut faire, quand il peut ou doit le faire, jouer de lui comme d’une bête, d’un animal, ainsi que ces dominants le font avec les enfants, sexuellement, est une jouissance perverse incommensurable.
En France, brigitte trogneux, l’épouse du président de la république, est de ceux-ci. Elle jouit follement, dans son hyménée (hymen né?) déjà vieilli et ménopausé, de ce qu’elle a dû apprendre dans sa famille de bourgeois richissimes: pour parvenir à faire ce que les hommes font, joue de ton vagin. Elle a mis en action, au mépris des règles de l’humanité, sa séduction au profit de son envie de pouvoir et de pénis: quoi de plus facile que de séduire un jeune garçon de 15 ans, alors qu’elle a autorité sur lui en tant que professeur?
Laissons là ces besognes sexuelles de bourgeoise de province qui ont pour le moins fort bien réussies.
Ceux qui aiment s’appeler eux-mêmes “la classe” politique, émargeant à plusieurs dizaines de milliers d’euros mensuels -le détail a son importance- se vautrent dans une sexualité perverse et ce ne sont pas seulement quelques brebis galeuses. Alors qu’ils sont adultes et responsables de leurs actes, en plus d’attributions qui mettent en jeu la vie de millions de leurs concitoyens, ils font fi de la plus simple morale. Il est vrai que la morale n’est pas judiciarisée, comme cela est arrangeant quand on a déjà tous les autres moyens à disposition.
Un ponte de sciences politiques, olivier duhamel, école de putards, aimait se faire sucer le chibre par son propre beau-fils âgé de 13 ans. Que voilà une belle initiative de dominant. Deux femmes autour de lui en sont mortes pour préserver le secret de monsieur et la bourgeoisie de pouvoir parisienne.
Il s’agit donc ici d’histoires de familles de la grande bourgeoisie (si on peut encore l’appeler ainsi). Un des fils Kouchner, Antoine, aujourd’hui professeur à l’Université Diderot à Paris, a été victime de la pédocriminalité de son beau-père duhamel, politologue (on a presque envie de rire si ce n’était désespérément tragique) à l’école de sciences politiques qui forment journaleux et putards de fransse…
Lui, Antoine, ne dit rien, c’est sa sœur jumelle qui livre un secret, connu depuis des dizaines d’années et qui a probablement coûté la vie à deux femmes, d’une manière ou d’une autre, un secret honteux pour le perpétrateur qu’est olivier duhamel.
Bien sûr, l’argent qui coulait et coule toujours à flot constant dans ces milieux a opportunément masqué l’ignominie de cet homme par ailleurs respecté bien qu’irrespectable en permettant à chaque protagoniste de tirer partie de la fortune de ceux qu’il faut bien appeler des nantis, pour le meilleur (les criminels) et pour le pire (les victimes).
Ainsi vont les perversions des dominants, qui s’abattent sur les plus faibles, leur propre progéniture étant une cible privilégiée.
Aparté: d’où parlé-je? Je parle depuis la chambre placard interdisant toute sortie d’aisance et obligeant au spectacle au moins auditif d’une génitalité d’adultes, parentale, à un enfant entre ses 3 ans et ses 16 ans. Voilà d’où je parle. Au moins.
Ceux qui en sont affligés ou apeurés s’échappent vite; ils ne comprennent pas, inconsciemment, l’absence chez moi de ‘neurones miroirs’ dont eux sont pourvus puisqu’ils n’ont pas eu à subir une torture psychique handicapante au plus haut point. Certains ont développé une intelligence qu’on dirait mathématique ou scientifique, rien de bien extraordinaire sinon que leur énergie peut être canalisée vers ces matières, puisqu’elle n’est pas occupée à combattre ce qu’ils ne connaissent pas. La plupart n’ont que peu d’intelligence, disons qu’elle est moyenne et suffisante pour se sustenter. Rares sont ceux qui peuvent comprendre et sympathiser. L’empathie est inutile voire contre-productive pour tous les protagonistes.
Violence nécessaire…
lundi, décembre 7th, 2020Pierre-Henri Castel – Le mal qui vient : essai hâtif sur la fin des temps
-https://www.youtube.com/watch?v=-OuzBtTyebo
Eliminer avant d’être éliminé
mercredi, novembre 25th, 2020In Johann Chapoutot, Libres d’obéir, 2020 ed. Gallimard. ISBN 978-2-07-278924-3
Objet-secret, climat et folie
mercredi, novembre 18th, 2020L’objet-secret, c’est ce qui est connu de tous partiellement, mais qui est un non-à-savoir; c’est un ultra paradoxe, comme le définit Racamier.
La période d’emprisonnement global voulue et exigée sous peine de prison par les dominants n’est pas un complot, comme se plaisent à le penser ceux qui ne pensent justement pas. C’est la dictature globale qui se met en place pour servir le système économique capitaliste néo-libéral.
D’une pierre deux coups, elle vient masquer fort à propos le réchauffement global qui détruit l’écosystème de vie de la grande majorité de l’humanité et du monde vivant. Les températures sont communément 10 degrés centigrades plus élevées que les moyennes observées sur un siècle, les forêts décimées par les incendies et eaux polluées chimiquement.
Des sécheresses inédites durant plusieurs années (en France, c’est déjà la troisième année consécutive) ponctuées de périodes récurrentes de canicule insoutenable sont à présent l’atmosphère de la vie dans des contrées autrefois agréables. On s’esbaudit des records de températures et des pluies diluviennes et meurtrières, des tempêtes qui font de belles images au service des systèmes de communication des dominants.
Les interdictions pleuvent comme si elles pouvaient de quelque façon que ce soit contribuer au bonheur de la non-mort des populassières.
On n’attrape pas de virus et on n’est pas contagieux quand la pêche à la ligne est interdite (France).
On soigne mieux les personnes quand on ferme des hôpitaux et qu’on rend le système de santé uniquement rentable. N’est-ce pas là le but ultime de l’hôpital que de faire de l’argent?
Le président français, sous régence de sa mère de substitution, a toujours 15 ans, mais il est heureux d’avoir engrangé quelques millions chez un banquier. Quel talent!
La confusion totale des générations, voulue par brigitte trogneux, l’épouse de ce président, est à la manœuvre dans les esprits. Tout comme elle a violé manu macron, en dissipant ainsi ses vélléités d’inceste avec ses propres fils (du même âge que sa proie sexuelle sur laquelle elle avait autorité en tant que professeur), elle contribue à l’embrouillage des esprits en prétendant vouloir s’intéresser aux violences faites aux enfants.
Elle est là, la folie, la décadence des esprits pourris par l’argent surabondant et qui ne s’occupent que de l’apparat.
Qu’un virus, qu’une épidémie arrive, et la machine peut se mettre en marche; c’est le déclic qui permet à cette folie de s’imposer à tous avec les moyens de violence existants, police et armée. Le tout, évidemment, pour le bien des populations. Le tout, évidemment, décidé par une ou deux personnes complètement malades, mais qui ont valeur d’exemple dans le système présent, le capitalisme néo-libéral, qui s’appuie sur de solides fondations.
On avait l’habitude de blaguer, une fois adulte, en demandant “As-tu un mot signé des parents?” lorsqu’une personne faisait une demande.
Aujourd’hui, c’est la réalité “en marche”, comme le nom stupide du parti inexistant d’un incestué (manu macron) par sa régente (brigitte trogneux).
Toute activité humaine et donc sociale et donc vitale est désormais interdite, la pêche à la ligne est interdite! mais pire encore l’accès aux livres est interdit.
L’autodafé “soft” de l’incestué manu macron est en marche.
L’art est interdit car il est non représenté, non accessible. Les idiots crient que tout va bien.
Moi, je n’arrive plus à penser. Je me demande comment j’en viens à souhaiter la mort (violente pour être cathartique) des tous ces dominants… Car les fondations de dizaines de milliers de morts à venir sont en ce moment-même mises en place par ceux-là, les dominants, les puissants iniques.
C’est la santé (on ne peut PAS séparer le corps de la psychè) de millions de personnes, même et surtout de celles qui aiment se bercer d’illusions -tels les nombreux “ignorants” des années 1930- qui se dégrade et les conduit à une mort certaine.
Sans être consciemment voulue, la mort de millions de pauvres sera forcément bienvenue dans un système capitaliste, néolibéral, robotisé, technologisé.
Il faudra en passer par là plutôt que de tuer les quelques fous, ultra milliardaires (certains bientôt ‘trillionnaires’) et dominants, ignorants de tout sauf de leur jouissance, se baignant dans le foutre de leur vie de stupre.
Pourquoi faire propre quand on peut faire sale? Ou serait l’orgasme d’être, comme le sous-entend le président français manu macron, jupitérien?
La secte politique / twilight zone
dimanche, novembre 15th, 2020Quelle idée saugrenue! m’est venue en regardant la saison première de “The vow”, un documentaire de la chaîne HBO qui traite de l’intérieur, grâce à des témoins et participants, de la secte organisée par keith raniere. La principale folie que retiennent les amateurs de superficialité, c’est évidemment le marquage des femmes par brûlure aux initiales du gourou, dans la zone pelvienne antérieure.
Mais il est question de bien autre chose que ces faits divers, il est question de manipulation de masse, certains parlent de lavage de cerveau.
Cette dernière expression est un souci majeur car elle suggère une action nettoyante. C’est tout sauf cela: ce sont des cerveaux disponibles aux manipulations, bien propres justement.
L’action perverse d’un gourou ne tient qu’au contexte qui a créé ses proies et à celui qui l’a créé, lui-même.
Une sorte de symbiose se crée ensuite entre celui ou celle vu comme un maître à vivre, un maître à penser, et tous les autres disponibles pour cette folie.
Il en va de même que dans la “4e dimension” (titre en français de twilight zone), ou le paradoxal le dispute à l’invraisemblable.
Quelle que soit la vérité, les faits permettent toujours d’y trouver un inattendu.
La peur qu’engendre la vérité est si forte, intenable, totale, que l’on préfère bien vite s’en affranchir en déployant force d’énergie pour la réfuter, quitte à se mourir.
Comment penser que ses semblables puissent être voraces au point d’être stupides? Mieux vaut donc fantasmer une autre réalité, plus adéquate et plus facilement compréhensible, de celle qui emmène sans lutte et sans souci vers une fin regrettable mais sans saveur.
Dénerver, ce n’est pas supprimer les émotions comme on peut le faire par des moyens plus subtils et définitifs, c’est couper les liens de la sensation d’avec l’émotion. Cela empêche toute réaction.
A la lumière “del covida, hombre!” on voit comment les bergers, paniqués mais qui n’en montrent rien, sacrifient leur troupeau pour les erreurs qu’ils ont faites eux-mêmes.
On ne trouvera évidemment aucun membre du troupeau pour exprimer ce qu’il en pense – disons, très peu; pourtant c’est là le génie de La ferme des animaux d’Orwell de montrer que ces animaux, ce sont nous, les humains; qu’il soit question de religion (le lien dans la crédulité) ou de politique (tentative dévoyée d’organiser la cité) les animaux conservent une sorte d’inertie propre dont la peur fondamentale est le moteur.
“On en a eu assez de soigner le troupeau, il prospérait plus vite que ces petites maladies, et puis, nous bergers étions en bonne santé. On avait bien assez de viande et de laine et les pâtures ne manquaient pas (… encore).”
Alors quand est venue la grippe honnie et que les bergers ont vu les troupeaux fondrent, ils ont poussé les faibles vers la falaise, croyant se débarrasser de la peste. C’est tout le contraire qui se produisit.
Les MC (les moutons costauds) devinrent les maîtres de cérémonies. Ils avaient développé une grippe puissante qui ne les atteignait pas, au contraire de leurs infortunés et faibles camarades de troupeau. Les bergers étaient fiers de ces bêtes costaudes, “en voilà qui nous ressemblent” se disaient-ils.
Cette grippe qui n’atteignait pas les MC s’arrangea pour passer chez les bergers pour y faire un massacre.
“Plus de barrière! plus de bergers! nous sommes libres!” s’écriaient les moutons costauds.
Ils prospéraient et vivaient donc libres, sans se soucier des pâtures… qui vinrent à manquer sous la pression cannibale de leurs mandibules.
Liberté d’expression, chérie!
jeudi, novembre 5th, 2020Ou de la misarchie réelle.
Face à l’absence totale de raison, d’honnêteté morale sinon de scrupules, une seule solution: la déraison.
Face à un “conseil” autocratique et anticonstitutionnel, une seule solution: la sécession.
La méthode: l’insurrection.
Le moyen: l’art, la création.
D’après une idée faussement originale d’Alain Acquebart, produit par Chimou Bénichou (apport de cachets et du cachet, on est en France) et Marie-Jo Gropierre (qui roule…etc), avec l’ascendant des suppôts religieux de toutes obédiences y compris putardes, une chanson punk et misarchique qui crache son venin…
Encore plus loin.
Désobéir c’est la santé!
… face aux crétins qui veulent nous éduquer.
Catharsis abréactionnelle fantasmatique: “égorger manu“. Ça fait du bien.
Crédits d’augmentation des cachets : guitares, chant, production, post-production, écriture, fausse basse, prise de son et de vue, montage, effets, mixage, création, interprétation, publication et tout le saint frusquin: FHP Lornet. 2020 under diktat.
MP3 (4 mb)
MP4 (48 mb)
Les fumer définitivement, eux et leur système.
vendredi, octobre 30th, 2020Et ils sont encore bien gentils de croire à la pseudo démocratie.
Il faut neutraliser de façon définitive les dominants et le système de domination.
La dictature mondiale de l’autoritarisme – 2020 AD
jeudi, octobre 22nd, 2020Pour faire plaisir à certains et les sortir doucement de leur déni, on pourrait parler de dictature sanitaire, en se basant sur le prétexte utilisé pour la mettre en place: un virus peu mortel mais assez contagieux.
Le pouvoir politique des (pseudo) démocraties occidentales des pays riches aurait dû être une façon de gérer la cité, les pays, par l’entremise de l’état: offrir aux populations la sûreté des services publics pour lesquels chacun à sa mesure contribue via les impôts et taxes; les hôpitaux, les assurances pécuniaires contre les aléas de la vie comme le chômage, les services de l’énergie utilisée avec parcimonie et conscience, le cadre de vie respectant la biosphère de l’humanité, des moyens de communications et de rencontre, etc.
L’hubris des dominants, couplé avec les avancées terribles de la science (le nucléaire) et l’élaboration d’un système de domination (le capitalisme) des masses par quelques nantis ont détruit totalement les visées de la cité humaine.
Les ressources sont pillées, polluées à les rendre mortelles et toxiques et donc inutilisables, les écosystèmes sont niés et exploités jusqu’à leur fin totale.
Sans respect de la vie partagée par tous sur une planète finie et irremplaçable, les catastrophes que l’on crée soi-même sont là.
2020 est la troisième année de sécheresse en France, les températures sont toutes largement plus chaudes que celles d’un climat tempéré. Le continent européen glisse doucement vers un climat tropical voire désertique.
Lorsqu’une moitié d’année sans pluie se termine, c’est par des pluies continues et diluviennes, suivies de tempêtes aux vents violents. Il ne neige quasiment plus en hiver ni ne pleut et si la neige devait revenir ce serait pour tomber en abondance et être nuisible, du moins pour les humains et le vivant qui leur est nécessaire.
L’hubris des dominants a trouvé mieux que quelques crimes sanglants pour détruire les dominés. Fini les clavaudes du terrorisme, mais on peut toujours saupoudrer pour faire remonter le niveau de peur et la bêtise des masses.
Non, c’est la peur de la mort suite à maladie que les dominants instaurent aujourd’hui comme axe de leurs dictatures.
La liberté des populations est restreinte pour être anéantie avec jouissance.
Un virus du rhume, de la grippe, même s’il est mortel pour les médicalement faibles comme ceux ayant déjà de graves maladies et les vieux, fait partie de la vie.
De la même façon que la mort, un virus microscopique ne s’éradique pas; ni avec un confinement idiot et non ciblé, ni avec des couvre-feux, ni avec des amendes.
Ces (pseudo) solutions sont les outils de la dictature et de la domination des hiérarchiquement puissants pour écraser et manipuler les masses.
Très peu de voix s’élèvent contre la marche forcée de l’humanité, ou plutôt des pays riches, vers une fin totale et inéluctable sous la férule des inconscients auxquels ils ont donné les pleins pouvoirs.
Be aware
dimanche, octobre 18th, 2020Sans titre
samedi, octobre 17th, 2020Bon, donc, ayé, on est en dictature autoritaire, il ne manquait plus qu’un pas fini qui égorge, et ben hop! c’est fait.
Est-ce que les masques protègent de la connerie? 🙂
En tout cas pas de celle de mammon enculera (c’est manu macron en anagramme, faut le répéter) et de ses acolytes jeunots. Bon, y’a eu griveaux qui se masturbe en vidéo pour séduire une étudiante qui visiblement l’excite au plus haut point, alors qu’il se fait le chantre de la famille tradi catho… bien le bonjour à madame, faut du courage (ou pas mal de fric). Y’a aussi darmanin le chien, dont la wiki va jusqu’à chercher son grand-père algérien pour lui faire reluire le blason… un bon colon ce darmanin. On dirait le second prix local de piano attribué à macron manu pour lui donner une consistance… face aux gens, illétrés pour la plupart, qui ne sont rien (comparé à sa grandeur de victime de femme prof -soit-disant mûre- mais surtout pédocriminelle, brigitte trogneux-auzières-macron [la liste n’est peut-être pas finie!])
Faut les fumer.
la France est un pays fasciste
jeudi, octobre 15th, 2020La France a toujours été un pays fasciste.
D’où qu’on regarde, de de gaulle le militaire planqué au putsch réussi à pétain le militaire trouillard, la France est un pays qui aime le fascisme, le contrôle et l’ordre, telles les maximes du régime national socialiste.
Aujourd’hui, le fascisme s’immisce dans les foyers où, à cause d’un virus du rhume, les fêtes sont interdites.
Les milices policières et probablement bientôt l’armée sont déployées dans les rues pour contrôler, telle l’armée allemande pendant l’occupation, les laisser-passer des citoyens français qui vivent désormais sous couvre-feu dans les grandes métropoles.
Pour une grippe pas plus mortelle qu’une autre.
Contre un virus du rhume, qui est l’essence même de la vie qu’il faut partager avec tout le vivant, les dominants n’en peuvent plus de folie. Pas surprenant venant de psychopathes notoires.
Au lieu de penser (le peuvent-ils ces crétins?) à d’autres jouissances que l’argent et la domination dont les conséquences sont un changement climatique terrible engendrant des maladies nouvelles et un abandon total de ce qui fait l’humanité et la société (hôpitaux, services publics en général), ils font peser sur les populations mondiales toutes l’odeur de leurs propres merdes.
Il faut fumer ces gens-là. Ils ne se laissent aucune autre alternative.
Bescond et trogneux, le compromis mortel
jeudi, septembre 24th, 2020Récemment, Andréa Bescond, victime de viol dans sa jeunesse, a participé à un entretien avec brigitte trogneux la pédocriminelle dans le magazine “elle”.
Ces deux femmes s’engagent “POUR les enfants maltraités”, comme le dit le titre. Rien que le titre montre déjà l’ambigüité des propos, à savoir qu’il aurait été fort à propos, justement, de dire “contre la maltraitance des enfants” plutôt que “POUR les enfants maltraités”, qui signifie que l’on aime bien ces enfants que l’on maltraite, n’est-ce pas?
Mais il est vrai que ces femmes et ce magazine de caniveau ne sont pas très portés sur le langage ni sur la bienveillance en général.
Alors que Muriel Salmona et Bescond se sont déjà accointées avec la pédocriminelle brigitte trogneux par le passé ( “juin 2018: Rendez-vous avec Andréa Bescond, comédienne, Mie Kohiyama, journaliste et Muriel Salmona, psychiatre” dans l’agenda de la coupable sur le site de l’élysée!) je note cependant que Salmona n’a pas osé participer à cette pantomime dégueulasse de pleurniche pour femelles en manque de sensations du magazine “elle”.
Ces compromis, qui se révèlent compromission, ne peuvent que servir le déni de la société et l’acceptation de la violence faites aux plus faibles, car il est de notoriété publique que brigitte trogneux, en position d’autorité, a abusé de son élève manu macron alors qu’il avait 15 ans et elle 39.
Quelle puissance peut avoir ce combat s’il est pipé dès le départ?
Que viendrait même faire la “cause” (des enfants) dans cette débauche de fausseté?
Non, tout n’est pas bon pour servir la cause des plus faibles, surtout de pactiser avec ceux qui, JUSTEMENT, ont abusé de ces enfants et qui veulent se refaire une virginité en prétendant les défendre.
Que brigitte trogneux dise la vérité, qu’elle a, elle aussi, été abusée et qu’elle a abréagi avec son élève mineur manu macron, et on en rediscutera.
Qu’elle accepte, cette salaude, de s’ostraciser pour montrer l’exemple à l’humanité, et on en rediscutera.
Ce serait là une femme d’honneur, pleinement consciente de ce qui se trame dans l’humanité, bien que victime elle-même.
Hélas, ce n’est toujours qu’une femme du déni bourgeois, car, oui, l’argent permet de se passer d’une partie de son humanité.
Moi qui ai été victime de maltraitance depuis que je suis venu au monde jusqu’à ma majorité, ce n’est pas une pseudo volonté de changer la loi, en passant par une criminelle dont on suppose qu’elle a une influence sur quoi que ce soit (c’est terrible, il faut en passer par une pédocriminelle femme pour penser qu’elle a encore une influence sur sa victime devenu époux et président de la république! se rend-on bien compte de ce que cela signifie? … ) qui me fera changer de point de vue.
S’il y a une loi d’imprescriptibilité de ces crimes, il faut qu’elle soit entièrement rétroactive.
Je ferai mon affaire de mon histoire et poursuivrai ma famille comme il se doit. Dans l’état actuel du droit, je ne peux que me masturber en attendant que ça passe; et bien qu’instruit plus que la moyenne, je suis réduit à n’être que rien pour la société, plutôt à sa charge qu’à la servir.
Car moi, oui, moi, je n’ai pas pu faire carrière comme Salmona ou Bescond ou Springora (que par ailleurs je ne n’accable pas, je connais trop les conséquences des traumas) ou toutes ces personnes qui ont subi un viol et qui se prétendent porte-parole d’une cause en faisant gros sous et grand bruit.
Cela me déplaît.
Il y a une gradation dans les traumas psychiques, comme dans les traumas physiques.
Toutes ces femmes, qui par ailleurs ont bien raison de faire avancer la cause des victimes de maltraitance, ont pu faire carrière et vivre de leurs savoirs, connaissances ou métiers. Pas moi.
Les #metoo millionnaires de l’industrie du cinoche, ça va bien. Non qu’elles n’aient pas raison de se plaindre de violences sexuelles, mais celles-ci ont été finalement peu handicapantes d’un point de vue extérieur; et l’on sait bien que lorsqu’il y a de l’argent, la dénonciation est plus aisée.
Toutes ces actrices sont bien vivantes et jouissent de la vie dans le luxe.
Non que leur combat ne soit pas juste et justifié, mais la colère s’empare de moi quand je vois Bescond jouer à touche-pipi avec la pédocriminelle trogneux POUR la cause des enfants maltraités – comme si c’était un FAIT inéluctable et qu’il faille s’en préoccuper plutôt que de s’en tenir à son macramé.
Cela cause une confusion totale, cela remet à la place d’honneur le déni de toute la population française concernant la sexualité et les comportements déviants des adultes avec les enfants.
Bescond, sous prétexte de servir une cause, se fourvoie et participe au déni collectif.
Alors oui, je pense qu’elle n’a pas compris son trauma et que l’argent et une sorte de bonheur de notoriété parisienne ont eu raison de ce qui faisait l’humanité chez cette personne. J’espère me tromper.
Pourquoi seuls les fascistes semblent se préoccuper de la pédocriminalité de brigitte trogneux?
lundi, septembre 21st, 2020Il est certain qu’à part mes articles, tous les autres que l’ont trouve sur le web en clair à propos de la pédocriminalité de brigitte trogneux épouse de manu macron, sont le fait de fascistes, de royalistes et d’individus d’extrême-droite. Les pseudo-écolo-gauchistes sont absents de la dispute ou l’expédient sous couvert de “haine” (le déni dans sa plus grande splendeur), le mot magique pour stopper toute discussion. C’est quand même pratique, ces facilités de pleutres, non? on dirait la loi gayssot… une loi inique qui réduit la capacité à penser au bon vouloir de dominants auto-décrétés.
Quand un professionnel dûment diplômé en fait état, le discrédit vient non de son analyse, mais du fait que ce sont les fascistes qui reprennent les premiers ces analyses, sans savoir pourquoi au fond, évidemment.
Il y a plusieurs raisons à cela.
D’une part, le pouvoir bourgeois en place favorise en coulisse la reprise d’arguments (bien que sensés) en premier lieu par des fascistes. C’est la petite ruse des dominants et de la bourgeoisie mise au pouvoir avec la révolution de 1789 qui s’exerce ainsi. Sans marine le pen et un troupeau de populassière bien dressé, manu macro n’aurait jamais été élu. N’oublions pas dans cette histoire les médias à la solde des milliardaires, ils représentent 90% de la presse française et manipulent ou au moins dirigent les opinions du susdit troupeau avec une facilité déconcertante.
Le complot des dominants de la petite bourgeoisie fortunée est assez facile à voir, quand on le veut bien. Car de complot, il ne peut y avoir sans volonté de domination.
Si cela fonctionne, c’est parce que la plupart du troupeau, contrairement à la bourgeoisie, est occupé à gagner sa pitance et n’a pas le loisir de s’informer; quand il l’a, il est déjà soumis et préfère rester dans son ignorance – merde, quoi! ya du sport à la tévé, c’est sacré.
C’est donc avec la confusion instaurée chez les faibles d’esprits que les dominants parviennent à conserver leur pouvoir et leurs places: faire en sorte que les fascistes (l’extrême-droite de la mort) et les humanistes (l’extrême-gauche de la vie) soient confondus, non par les solutions qu’ils proposent (diamétralement opposées), mais par la similitude de leurs constats, en général assez réalistes.
Il y a également une raison culturelle, de mœurs (coucou Mme Lespinne! une aparté pour te dire que t’es une vieille conne, probablement morte aujourd’hui, mais que je n’ai pas oublié ton refus de corriger un devoir au collège pour lequel j’avais passé une après-midi à travailler sur la bête du Gévaudan, ainsi que pour te dire que le mot “mœurs”, j’en comprenais le sens déjà à l’époque, oui, et qu’il était bien de moi dans un autre devoir. Pauvre merde #je règle mes comptes 🙂 ) qui tend à faire croire qu’une femme, forcément mère, est, de toute obligation, bonne.
La réalité est toute autre: les femmes, autant que les hommes, peuvent être cruelles, despotiques et inconscientes. Il n’y a aucune différenciation cérébrale entre femmes et hommes, autre que culturelle et donc acquise. Oui, on peut ajouter une différence hormonale et génétique (1 seul chromosome, wow!).
La femme salaude, telle que la mère de Jurgen Barscht parmi tant d’autres, est commune. Se demander et chercher à savoir pourquoi marc dutroux a eu la mère qu’il a eu ( https://www.rtl.be/info/belgique/societe/les-revelations-de-jeannine-la-mere-de-marc-dutroux-pour-moi-il-est-enterre-a-la-prison-de-nivelles-il-est-raye-de-ma-memoire–728522.aspx ) et qui protège facilement la femme de dutroux, comme elle met uniquement en cause, non ce qu’elle a donné ou pas à son fils, mais ce qui lui a manqué du fait de l’absence du père…
On peut facilement comparer brigitte trogneux avec Agrippine, mère de Néron (j’ai une déférence mal placée pour l’antiquité, d’où les majuscules 😉 … putes et salauds de l’arrière-temps! )
De même, les fascistes font feux de tout bois, et tournent chaque phénomène dans le sens de leur cause. Attaquer brigitte trogneux pour sa pédocriminalité, on le remarque facilement, ne revient pas à s’étonner de sa non condamnation pénale; le fasciste n’ira même jamais jusqu’à se demander quelle sont les conséquences psychiques pour la victime (ces conséquences sont depuis longtemps avérées par la psychanalyse et confirmées par les neurosciences qui viennent leur donner une réalité physiologique visible aux IRM fonctionnels, par exemple).
C’est le simple fait qu’on puisse attaquer par cet angle qui suffit au fasciste, peu importe l’importance de l’acte. Le fasciste est à peu près aussi bête que son détracteur anti-fasciste 🙂
Le fasciste ou le nazi a été battu à toutes forces pendant son enfance afin de réduire à néant sa créativité et sa liberté. C’est ce qui a conduit la majorité des Allemands à suivre un chef tel qu’hitler, lui-même roué de coups, car ils étaient tous dressés comme des bêtes selon les préceptes de la pédagogie vénéneuse (voir C’est pour ton bien, Alice Miller).
Au final, il s’avère que les fascistes et la plupart de ceux qui les combattent, hélas sans conscience, se rendent coupables de cacher la vérité. C’est une évidence revendiquée pour les fascistes, un peu moins tout de même pour les autres. Cependant, les anti-fascistes ne pensent en général pas par eux-mêmes, mais en réaction à une autre pensée (aussi inexistante soit-elle en tant que “pensée” bien sûr) et s’épargnent ainsi tout travail “philosophique” et tout libre arbitre.
Pourquoi donc alors les fascistes et brigitte trogneux sont si intéressés par les violences pédocriminelles qu’ils semblent ne pas supporter?
De la même façon que moi-même, ils ont également subit des violences pendant leur enfance, ce qui rend insoutenable de voir qu’elles existent, surtout chez les autres.
Cependant il y a une différence fondamentale entre eux et moi: je n’ai ni l’envie ni l’intention d’exercer à mon tour cette violence pour me débarrasser de celle que j’ai vécue.
brigitte trogneux a passé cette violence en manipulant et en violant le jeune manu macron, camouflant ce crime par le marriage et la prescription inique; les fascistes passent cette violence en la projetant sur ceux qu’ils disent différents quels qu’en soient les motifs.
Il est plus aisé de faire subir ce qu’on a subit et qu’on ne veut pas voir ni entendre, dont on ne veut pas prendre conscience afin de préserver les parents maltraitants en suivant le 4e commandement, que de savoir quels sont les coupables terribles qui ont eux-mêmes fait subir la violence de la maltraitance à leurs enfants pour se décharger de celle qu’ils ont vécue.
De la même façon, mais à l’inverse des fascistes, les antifas qui eux aussi ont subit des violences qu’ils ne peuvent dénoncer en raison du 4e commandement et de l’intouchabilité des parents, sont prompts à dénoncer le manque de respect pour des vieux et des vieilles comme trogneux, étant donné que ces critiques viennent de ceux qu’ils combattent.
Bien sûr ils se trompent de cible.
C’est d’ailleurs le défaut de toute l’humanité: les soldats qui font la guerre pour des nantis dominants ne se retournent que très rarement contre eux, figures de parentalité de substitution.
En résumé:
– il faut que ce soient les méchants fascistes qui reprennent un argument pour le discréditer de façon définitive et qu’il n’occassionne pas matière à réflexion. Les fascistes sont utiles à la pseudo-démocratie occidentale, c’est un tremplin facile.
– protéger à tout prix les femelles de toute causalité (êtres inférieures, elles en seraient bien incapables, n’est-ce pas? 🙂 ). Le fasciste aime protéger sa mère (par extension sa famille) au mépris de tous les autres qu’il xénophobe un max, jusqu’à l’extérmination physique.
– attaquer d’un point de vue moral mais sans fondement une personne pour arriver à la disqualifier simplement, elle et par extension un système -système qui permet par ailleurs aux fascistes d’exister (les électeurs et les écoutants du discours fasciste ne sont pas regardants à la véracité des propos, ils ne lisent ni ne s’instruisent, et encore moins pensent).
Les salissures que provoquent les fascistes en s’emparant de certains sujets servent aux antifas ainsi qu’aux dominants pour éliminer ces sujets de toute réflexion.
La norme de la violence.
mardi, septembre 15th, 2020“On ne peut pas parler de violences policières” a dit manu macron, victime présidentielle de l’imposteur brigitte trogneux, pédocriminelle et rombière bourgeoise de son état.
Il n’y a donc pas de violences, aucune, puisque ceux qui y sont autorisés par la loi des dominants servants un système qui ne profite qu’à eux, n’en sont jamais coupables.
Pourquoi donc cela est-il accepté et validé par la masse, femelle ou mâle, des individus?
La réponse est simple: ils sont tous faits sur le même moule, dépourvu tout jeunes de toute créativité et soumis entièrement au diktat d’une raison inhumaine.
Cette logique fagocytante s’empare de tous les domaines et il n’est hélas pas rare de voir que certains artistes (des imposteurs et usurpateurs également) y sont également soumis.
Il n’y a pas d’artiste, aujourd’hui, car ils ne font que remplir des caisses, se donnant bonne conscience de patamonculchiens et hébergeant en eux le plus terrible fascisme.
La simple pensée n’est plus accessible au prolétaire pas plus qu’au milliardaire et l’artiste contemporain veut les satisfaire tout deux.
Le monde est en cendres et il se voit comme une forêt luxuriante.
Le culterrisme
dimanche, septembre 13th, 2020La populassière est heureuse, elle le croit; elle obéit.
Elle obéit instantanément. La populassière ne pense pas.
Soumise entièrement à ses émotions, agressive, sans aucun humour ou sens comique, sans recul sur sa condition.
Le troupeau de populassière emmène malgré eux les conscients dans un mouvement de foule à la fois psychique et forcément physique.
C’est très embêtant.
La populassière n’écrit pas, ne lit que rarement, et encore une fois délègue sa pensée à d’autres qui tirent leurs gras revenus de ce commerce.
La populassière est passive; elle ne joue pas d’intelligence, elle aime à croire que son intelligence est celle de la répartie chanceuse.
J’ai grandi et été “éduqué” là-dedans.
Pas de chance.