Guidés ou pas par je ne sais quel foutre de berger… ne vous attendez à rien d’autre…
Come prima… lacrima.
“On ne doit pas s’approcher et nager aux côtés d’un animal qui est à pleine maturité sexuelle”
Sauf s’il vous y autorise ou vous y invite.
Compris?
Ou bon dieu de merde, au choix.
J’ai regardé le twitter de Milo taleur, et j’y ai vu une image complètement débile: elle, nue de dos avec un tablier pour seul vêtement, posant la question de savoir si “on” avait faim… Auquel cas, on pourrait voir d’autres photos en devenant membre de son site, c’est à dire en payant.
…
Ah, de l’art donc. Et répétitif, en plus.
Non que ce ne soit pas agréable d’admirer un corps de femme, mais il semble manquer de consistance cérébrale.
Et c’est un grave problème lorsqu’on proteste et se revendique d’un féminisme actif.
Pour moi, cela signifie que l’on est assez intelligent pour être aussi con que celui qu’on combat.
Oui, ça m’embête un peu 🙂
Ça ne va pas dans le bon sens.
C’est un peu comme Ardouin Lupinette, le méchenchonchien qui ne peut exister qu’en croyant fermement que ceux qui pourraient bien être plus vindicatifs que lui sont tout simplement des opposants de l’extrême autre bord.
Une pathologie peu grave de psychose, mais fort embarrassante pour les relations sociales. Elle se caractérise par un ricanement un peu hystérique manifestant une sorte de contentement tout autant qu’une supériorité moqueuse, à tout bout de champ.
C’est d’un ridicule pour celui qui s’en aperçoit alors que l’auteur y croit dur comme fer, ancré dans ses certitudes d’antan.
C’est là que la sagesse vient buter, contre les esprits fermés qui croient à leur ouverture incommensurable.
Identiquement avec certaines femmes qui furent braves et ouvertes d’esprit à la vingtaine trentaine et qui, un peu plus tard, sous le joug de maladies diverses ou de raisons sociales, comme “la famille”, la “tribu”, les “enfants”, le “il faut bien”, etc, se font délibérément plus idiotes qu’elles ne le sont vraiment.
Tous ces gens-là passent des heures chaque jour à discuter de banalités et de choses sans importance, mais trouvent toujours le prétexte à ne pas répondre à ce qui les interpelle pour de bon. Quel gâchis!
C’est là qu’est la névrose: savoir qu’on n’aime pas ce qu’on vit, mais en tirer toutefois du plaisir. Et donc, continuer!
Et au prix de refuser, d’expédier, de disperser ceux-là même qui pourraient vous apporter un changement…
Terrible, non?
Non, aussi bien ces pauvres hères que ses proclamées “élites”. Je ne les supporte plus.
De ceux qui s’occupent à faire beaucoup de bruit une fois à la retraite alors qu’ils pourraient presque oublier le bruit quotidien de l’usine, vous savez, ceux qui vous emmerdent à longueur de journée avec des “travaux” inutiles et bruyants.
De même, ceux qui, à peine sortis de l’œuf, font de l’emmerdement par le bruit un plaisir censé compenser à la fois l’absence totale de réflexion et le manque curieux de prétentions.
Une calamité.
Tant il est vrai qu’au lieu de faire l’amour au moins une fois par jour, ils ont trouvé mieux (lol) en jouant de la disqueuse ou de la perceuse… En faisant vrombir les moteurs qui les empoisonnent et les feront crever, décalqués sur un mur ou écrasés dans un amas de tôles…
Et ces braves gens croient que leurs “élites” sont “déconnectées”? Mais mort de rire, les gueux.
Ils ne sont pas “déconnectés”, ils sont AILLEURS.
Et ça les amuse de venir vous faire une grimace de temps en temps et de vous prendre pour des crétins – ce que vous aimez être, il semblerait- depuis le poste de tévé.
Alors, oui, c’est l’heure du ménage pour moi.
La plupart des matrixiens croient que l’on ne change jamais. Ces braves. Oui, EUX ne changeront jamais, car ils ne le désirent tout simplement PAS.
Mais leur idiotie n’a d’égal que leur petitesse d’esprit et leur lenteur cérébrale.
Chacun croit qu’il est supérieur aux autres, du médecin au notable administratif, du patronet à la femelle cadre, du petit programmeur avec quelques facilités à la dominatrice qui sait s’entourer en croyant que, ni vu ni connu, elle peut profiter, tous!
C’est à vomir.
Et pourtant, dans cette masse informe et puante de bêtise populassière, il y a quand même quelques gens biens.
Mais ils sont SI rares!
“Macron est un psychopathe” dit ce psychanalyste. C’est faux, c’est un névropathe. J’ajouterais de la pire espèce.
Un ami vient de me faire parvenir cette vidéo qui confirme mon analyse de ce triste personnage, mais vue sous un angle un peu différent, et presque plus saillant, si j’ose dire, que le mien.
Une analyse terrible, s’il en est, et en rital (avec des sous-titres pour les autres).
Edit: je n’avais pas vu que la vidéo est hébergée sur la chaîne des tarés égalité très conciliants mon cul sur la commode.
Merci de simplement, et encore une fois, ne regarder QUE la vidéo et de faire l’impasse la plus totale sur son contexte crétin. En théorie, on doit toujours et surtout se préoccuper du contexte, mais là… à moins que ce ne soit une petite blagounette que m’aurait fait mon “ami”…
Il est vrai que je ne suis pas d’accord avec ce “professeur” ( http://www.liberation.fr/checknews/2017/05/05/qui-est-le-professeur-adriano-segatori_1652278 ) lorsqu’il parle de pédophilie concernant Trogneux.
C’est fort embêtant, tout ça… je ne dis pas merci à mon “ami”.
Je me tâte de virer ce post… même si ça me fait un lien interne en moins.
Edit 2: j’ai finalement changé de chaîne youtube, c’est ainsi plus propre. La vidéo a été publiée la première fois sur le site destra.it ( voir tout de même ce que l’intéressé pense de son analyse et des réactions qu’elle a suscitées en italien ) , ça donne un contexte.
Edit 3: non, ça n’est pas plus propre en fait, car c’est la chaîne youtube d’un… ( http://www.charentelibre.fr/2013/07/05/municipales-le-fn-sort-du-boisdilemme-a-droite,1844564.php )
Il sont décidément partout!
Til min kære. 😉
PS: https://en.wikipedia.org/wiki/Louise_Bourgeois
Who is Arachné in greek mythology (in french 😉 )?
Cette année, comme l’année dernière j’ai effectué un sauvetage d’oiseau d’une espèce protégée.
Le CDC, comme je l’appelle, et qui n’a rien à voir avec le “chœur des andouilles” de SZarah, est un Choucas Des Chiottes. 🙂
Ce crétin de volatile est parvenu à entrer par la porte de la cuisine et à atterrir dans le trou des chiottes (pas propre, en plus, avec une trace de pneu et un peu de pisse 🙂 … faut faire des économies) probablement apeuré par le passage d’un habitant.
La mère, je suppose, était curieusement perchée sur la marquise, ce qui n’arrive absolument jamais.
Du coup, à l’aide d’une serviette, j’ai mis les mains dans la pisse pour retirer le bestiaux et le mettre au chaud dans une boîte avec des serviettes et une bouteille d’eau chaude afin que ses plumes sèchent.
Je ne vous dis qu’une seule chose, le choucas pue. Et ce n’était pas l’odeur délicate de mon urine, mais bien celle d’une bête sauvage. Pestilentielle.
Bref, CDC n’étant point blessé, je l’ai laissé cuire dans sa boîte à chaussures percée de trous d’aération une bonne après-midi en partie au cagnard. C’était début juin dernier, il faisait déjà chaud.
Pendant toute cette durée, la mère survolait l’endroit et appelait son CDC.
Mais, il faut qu’il soit bien sec pour pouvoir s’envoler (j’ai obtenu quelques infos sur le web et chez l’asso à laquelle j’avais amené un trocon martinet blessé l’année dernière).
Au final, je l’ai déposé en fin d’après-midi sur le toit du garage, afin qu’il puisse avoir de l’élan pour s’envoler. D’abord circonspect, il fît quelques pas en sautant, puis sa mère est venu le voir et ils sont finalement partis ensemble.
Ouf! pas besoin de faire 160 bornes!
Bonus: la photo des toutes jeunes rondelles qui en foutent plein le trottoir… des crottes noires et blanches comme elles… à moins que ce ne soit plutôt les parents, ces gros dégueulasses! 😀
http://quartiermetisseur.strikingly.com/
Et ya au moins un dessinateur qui assure grave et qui tient le coup 😉
Réveillé à 4 heures 30 du matin, je décidai de faire quelques clichés vers 6 heures.
Cette superbe photographie sera tirée à quelques exemplaires seulement, sur un papier aquarelle de très haute qualité, au format plus ou moins A2, avec des encres pigmentaires dont Epson assure que la durée de vie minimale est d’un siècle. L’exemplaire vaudra 4000 euros.
Bande de veinards, vous la voyez avant 🙂
Le message est très clair: “on vous attend et on sait se défendre”.
Le sujet représenté est un jeune enfant qui tient non pas une fronde, tel David ou un Palestinien, mais bien un lance-pierre. Il est situé à l’entrée du village de Plogoff ou Plougon.
L’avertissement est sévère, mais ce n’est qu’une statue 🙂
Ne tentez pas le diable… quand même 😉
C’était bien ces petits moments.
J’ai reçu ma nièce âgée de 3 mois, avec ses parents.
Il est commandant de bord moyens courriers chez RyanAir, une entreprise de losers ( https://www.lci.fr/international/greve-pilotes-ryanair-300-euros-le-costume-entretien-d-embauche-payant-contrats-precaires-conditions-de-travail-irlande-2095416.html )
Arrivés crevés et un peu décalés (surtout la petite dont l’ostéo a changé un peu le rythme, en disant, “il faudra revenir” haha! tous les moyens sont bons pour faire du fric, hein, l’ostéo? ^^) je les ai remis en place 🙂 . La petite qui ne faisait plus ses nuits est partie ce matin, endormie “comme un bébé” heureux. Genre “ranafout’ qu’on me transporte du lit à la voiture 😀 .
Les rythme de la maman et de sa petite vont se re-synchroniser.
Tout bonnard.
Bon camping les jeunes 😉
I want you ALL to get MAD. That’s MY purpose and YOUR fate.
https://www.mixcloud.com/jahthecat1/2-many-djs-as-heard-on-radio-soulwax-pt-3-2002/
As simple as feeling love together AND desire AND begin easy for a rough finish 😉
Told in music by Tina and Ike (notice the names’ order 😉 )
PS: do not care too much about the Tina and Ike personnal story, shit just happens sometimes. Care for the Orange amps 😉
Bon, je l’ai promis aux Berszerkers, je ne peux pas me défiler 🙂
Et vous allez tous en bénéficier, gratuitement, bande de rapias.
Ah? Parce que vous croyiez que l’émission “Palettes” sur Arte était faite de manière gratuite? Ah ah!
Aller. N’essayez pas d’être aussi con que vous l’êtes vraiment 🙂 [ la moitié de l’audience part]
Le sujet d’aujourd’hui est une photographie de l’artiste F. H. P. Lornet, intitulée “autoportrait au sortir de la douche”.
Il s’agit d’une photographie prise à travers un miroir, représentant partiellement le corps de l’auteur ainsi que son appareil photographique.
Oui, l’appareil génital (le pénis) est également au centre de toute l’attention qu’aura le regardeur. 🙂
La prise de vue n’étant pas satisfaisante, un recadrage droit et gauche a été effectué. C’est le seul recadrage. Il n’y a pas eu de rotation afin de rétablir d’éventuels défauts de parallaxe.
On notera donc que les lignes horizontales qui passent par l’appareil photographique et le bas du t-shirt sont telles quelles sur le négatif original, et parfaitement horizontales, soulignant ainsi la maîtrise de l’artiste quant à la prise de vue manuelle.
De même pour les lignes verticales de la sangle de l’appareil.
Ces lignes forment un quadrillage et quelques diagonales et sont une obturation au regard qui se porte naturellement sur l’objet central et l’arrière plan formant un fond. C’est inévitable, le regard évite le blanc inconsciemment quadrillé du t-shirt.
Le regard est porté vers les lignes naturelles du corps plutôt que vers des lignes géométriques.
Le corps de l’artiste, au premier plan, est le sujet principal de la photo. Le cliché coupe juste sous la poitrine et sous les genoux.
Le sujet est vêtu d’un t-shirt blanc Hanes et est équipé d’un Fuji X100 édition limitée.
Le bas du corps de l’artiste est nu et son pénis est décalotté, laissant apparaître le gland.
En arrière-plan, se trouvent une chaise et un bureau sur un sol de planches rustiques en bois. Ces éléments font évidemment penser à la “chambre de Vincent” peinte par Van Gogh. Un tissu semble être posé sur le petit bureau derrière le sujet (en fait il s’agit d’un sac EastPack).
La photo a été prise (arrêtez de voir dans les mots des tas de choses, SVP 🙂 ) face à la glace centrale d’un armoire à double portes. Le recadrage a donc été fait de manière à ce que l’on ne voit pas ce qu’il y avait dans l’armoire, les portes étant ouvertes au moment de la prise de vue.
Le bois qui fait cadre autour de la glace verticale fait également cadre pour le cliché lui-même. On note que ce cadre n’est pas parallèle mais plutôt en forme de V, ce qui vient contredire le V inversé du mouvement des jambes, et bien sûr, ramène le regard au croisement de ces V, comme pour le lover (ce regard).
On note que les lignes diagonales des jambes légèrement écartées focalisent le regard sur le pénis, tel le mouvement de fuite d’une pyramide, lui-même parfaitement (bien que fortuitement, mais c’est là qu’on reconnaît un grand artiste) aligné au centre des deux lignes verticales que forment les pieds de la chaise et du bureau, eux-mêmes se prolongeant parfaitement dans les droites du plancher.
La partie gauche du miroir étant dégradée, le tain n’étant plus de la première jeunesse, un effet de profondeur de champs factice s’exerce sans que la mise au point ait quoi que ce soit avoir avec. C’est une technique très chafouine de l’artiste qui sait profiter des défauts du monde pour parvenir à un cliché parfait.
Un traitement colorimétrique et de tirage a été appliqué au négatif et donne à la photographie un effet de noir et blanc vieilli mâtiné de colorisation légère.
Passons maintenant à l’analyse du dessein de ce cliché.
L’article l’accompagnant est une réponse à Déborah de Robertis, artiste performeuse avec laquelle l’artiste a travaillé un moment.
Une dispute artistique et philosophique a éclaté en raison de l’attitude dominatrice et irrespectueuse de Roberta envers F.H.P. Cela a directement induit le cliché, en réponse à la mostre de ce que Déborah appelle elle-même “sa chatte”.
Le texte délivre les éléments présentés par F.H.P. afin d’expliciter la situation qui a amené à cette prise de vue politique et philosophique.
En effet, alors que F.H.P. était admiratif du travail de Déborah, mais qu’il lui faisait remarquer que le respect et l’amour de l’autre (ainsi que de soi-même) était l’essentiel de l’art et de la vie en général, elle a rétorqué (dans des écrits non publiés par respect pour leurs auteurs) en gros: “va te faire foutre!” en focalisant sur la relation financière de peccadilles prise pour prétexte. 🙂
Si vous savez lire, le reste est dans le texte artistique lié au cliché.
On ne s’attardera donc pas là-dessus.
Addendum: Il faut la lire et le voir pour le croire, mais Roberta s’arroge le droit de s’approprier des œuvres qu’elle n’a jamais créées par le simple fait de les souiller, par exemple avec son sang menstruel, comme elle l’a fait avec les photos de Bettina Rheims (voir ici: https://twitter.com/D_derobertis/status/1003320542462709761 ).
Bien sûr le propos est plaisant, mais la geste artistique n’est pas suffisante. Une pensée philosophique idoine est également indispensable.
To all my heart and sex girlfriends. They will know who they are (ain’t it @Nina and @Gaëlle? 😉 ). Sorry I’ve made an ordering… can’t do else with words 🙁 sorry to keep secret other names too 😉
Added ‘before’:
Sorry, I cannot give a list, as it would make a first and a last (at least ^^), and that’s not possible for me.
🙂
Chaque forme peut avoir des fonds différents.
…
🙂
Mais franchement, avoir le pouvoir quand on n’est pas capable de comprendre ce que les autres disent…
Utiliser ce pouvoir pour grossir son clito génétiquement limité à quelques centimètres… en étant ministre de l’égalité sur la commode… on dirait plutôt une compétition de connerie: de qui, le mâle ou la femelle, va être le plus con?
Ah la la! Vivement l’intelligence artificielle! :’) hihi
Cette photo représente le monument aux morts (terminologie de propagande administrative) de Plogoff, ville rebelle.
Le sculpteur est celui qui a immortalisé la résistance à la domination, en l’occurrence à ce moment-là, un pouvoir central décisionnaire de conneries plus grosses queue (sic 🙂 ) lui.
Il est atypique car il ne représente pas les traditionnels soldats morts et leurs femmes éplorées.
Ce monument est en fait un hymne à la vie. On y voit une femme tenant un enfant par la main, lui même tenant un oiseau contre son torse (bird is the word) de l’autre main.
On voit ici un hommage à la création de la vie. Tout comme l’œuvre de Courbet, “L’origine du monde”, que bien peu encore parviennent à comprendre, c’est un hommage à la création, à la vie, à l’amour… plutôt qu’à la mort, à la haine, et à la domination.
Le monument à la vie est déjà à lui seul un sujet photographique tant il doit inconsciemment faire réfléchir le passant de la place publique, de la place des fêtes et des soirées organisées l’été (on y déguste une soupe de poisson préparée par les matrones du coin carrément ex-cel-lente).
Mais une petite fille est venue au moment de la prise de vue, de façon impromptue.
Une très jolie petite fille au sourire promettant d’être ravageur lorsqu’elle aura grandi.
Et voilà 🙂
Là, c’est de l’art parce que c’est l’expression de la vie et de l’amour, de la spontanéité et de l’action. Crois-tu que c’est un hasard si cette jeune humaine est venue devant l’objectif, piètre résistance à la condition qui est la nôtre?
Il faut bien voir que l’envie d’être photographiée (plus par ses parents que par moi?) devant un monument représentant une allégorie de la vie est un signe de ce que les vieux cons appellent “l’innocence” de l’enfance.
Pourquoi donc aller vers une sculpture d’enfant tenant un oiseau? Dites-moi!
Pourquoi vouloir le toucher? Pourquoi vouloir le montrer, l’air de dire “il a raison! il est bon! faites donc comme lui!” ?
… je vous laisse à vos réflexions 🙂
Concluons toutefois en remarquant que le socle maître de la ronde-bosse présente l’inscription épigraphique en langue bretonne, s’assumant ainsi comme la terre locale. [limite c’est bouddhique]
L’inscription en français est inscrite, elle, sur un bloc de granit en forme de pierre tombale rapporté au pied du couple sculpté.
Bonne journée 🙂
Chanson du groupe Storlok sur la guerre des Bretons contre une centrale nucléaire que les Parisiens voulaient installer sur la Pointe du Raz dans le Finistère. C’était en 1980. Images “super 8” d’Eric Lenoir. Keleier Plogoff Diouzh ar mintin pa zav ar glizh E sav an ed hag ar gwinizh E sav an ed diouzh an douar Na pa vez c’hoazh an heol klouar Ouzhpenn an heol a zav abred Ouzhpenn ar gwinizh hag an ed Keleier fall dre ar c’hontre A zav abretoc’h vit an de Ha tud Plogoff a lavare E traoñ an tour an eil d’egile Livirit din e gwirionez Petra zo nevez er barrez Petra zo nevez e Plogoff Har ar parrezioù tro-war-dro Na pa welan war ar blasenn Jañ-Mari Kerloc’h teñval e benn Ar pezh a glevan a zo spontus Ouzhpenn m’eo trist ha glac’harus Gwerzhet eo Plogoff da Baris Ur sañtral vras ‘plas ar gwinizh Plas an ed ur mekanik foll A vije gouest da lac’han an holl Peotramant c’hoazh a-nebeudoù D’hor c’has er-maez eus hon douaroù ‘Vit hor c’has ‘maez ne raio ket Warlec’h an had e teuio an ed Hag en ed ranker da zormañ Araok ma chomje da vreinañ Hag amañ e parrez Plogoff An aotrou bras hag e gof teo Pa deuio gant e roched gwenn A zesko bale er vouilhenn Bez e tesko gant e ardoù Piv eo ar mestr war an douaroù Na pa ranko mont war e giz Don er vouilhenn betek Paris Ha bremañ p’eo echu va son M’ho peus ket soñj vat deus an ton Kanit anezhi war un ton all Ha kanit, kanit, ‘vel gwechall Traduction du breton: Les nouvelles de Plogoff Le matin quand se lève la rosée Se lèvent le blé et le froment Le blé lève de terre Quand le soleil est encore tiède Il n’y a pas que le soleil qui se lève tôt Il n’y a pas que le blé et le froment De mauvaises nouvelles de par la contrée Se lèvent plus tôt que le jour Et les gens de Plogoff se disaient Au pied du clocher Dites-moi en vérité Ce qu’il y a de neuf dans la paroisse Qu’y-a-t’il de nouveau à Plogoff Et dans les paroisses alentours Quand je vois sur la place Jean-Marie Kerloc’h la tête sombre Ce que j’entends est épouvantable Et triste en plus Plogoff est vendu à Paris Une grande centrale à la place du blé A la place du blé une machine folle Qui serait capable de tuer tout le monde Ou bien encore, petit à petit De nous chasser de nos terres Nous chasser elle ne le fera pas Après le grain viendra le blé Et on doit le moissonner Avant qu’il ne pourrisse Et ici dans la paroisse de Plogoff Le grand monsieur et son gros ventre Quand il viendra avec sa chemise blanche Il apprendra à marcher dans la boue Il apprendra avec ses manières Qu’il est le maître sur les terres Quand il devra retourner Profond dans la boue jusqu’à Paris Et maintenant que ma chanson est finie Si vous ne vous rappelez plus de l’air Chantez-là sur un autre Et chantez, chantez comme autrefois.