Archive for the ‘Philosophie’ Category

One way or another, you gonna pay for nude ^^

dimanche, avril 14th, 2019

”La morale n’est indispensable qu’à ceux qui pensent bas.”

L’autre Monde ou le cadran stellaire. Maurice Maeterlinck

C’est toujours embêtant les citations, même celles qu’on reçoit sympathiquement et qui conviennent si bien à certains moment, dans un contexte précis.
Mais baste! 🙂 Vive Nasredin, le coquin, et sa coquine!

Enfiler un manche

dimanche, avril 14th, 2019

S’il est une partie délicate concernant la lutherie des instruments à cordes, c’est bien l’association du manche avec le corps de l’instrument.
Dans le cas précis qui m’occupe à présent, il s’avère que la découpe de la caisse a été faite trop profondément pour que l’inclinaison du manche corresponde au plan des cordes et permette un réglage de leur hauteur (par rapport à la touche) seulement via celle du pontet.
Afin de corriger ce défaut, j’ai découvert que le manche avait été calé avec un bout de bois ridicule (épaisseur 2 mm) qui ne permettait pas une symbiose suffisante entre les deux éléments que sont le corps et le manche. De plus, le manque de résistance du vide ainsi créé entre le talon du manche et le corps n’a pas arrangé le vissage et le filetage intérieur en a pris un coup…
Je ne sais pas s’il s’agit du réglage du manche d’origine, mais le travail a été véritablement salopé 🙂

Le meilleur système connu pour régler un manche est celui des guitares acoustiques Taylor qui consiste à insérer de très fines lamelles de bois entre la caisse et le manche afin que celui-ci soit parfaitement aligné. Ce réglage est permis grâce au fait que les manches Taylor sont démontables SANS devoir démonter la caisse.
Chez Taylor, ça se joue au nanomètre mesuré au laser, ce sont des guitares créées et fabriquées industriellement et numériquement.
Et ça marche carrément bien, quand même 😉
Le système de cale utilisé chez Taylor permet donc un réglage ultra précis de l’angle du manche, afin de le positionner sur le point d’équilibre qui donnera le son parfait de l’ensemble à cordes.
Voyez la chose expliquée par Bob Taylor : https://www.youtube.com/watch?v=-2XnmKePcUE
C’est ce qui est appelé le NT neck: https://www.youtube.com/watch?v=sguFTS-Fruc
Pour les fans, toute la fabrication est expliquée en vidéo… n’oubliez pas d’aller voir celles de Larrivée et autres Martin too 😉

C’est donc en m’inspirant du système de Taylor que je vais caler ce manche de façon propre et efficace quant à la transmission du son entre le manche et le corps et tâcher de remédier à ce défaut grossier indigne d’une Mosrite (quand bien même c’est une Avenger MiJ) 🙂
Ayant conservé les chutes de contreplaqué de mon modèle en bois du drakar d’Oseberg, je vais pouvoir les utiliser.
Trouver du contreplaqué de 1,5 mm doit être possible, mais baste, pourquoi ne pas recycler?

Il va s’agir de coller deux parties entre elles, de les percer aux endroits destinés à recevoir les vis, puis de poncer la pièce selon un angle allant de 2 mm environ à 0 d’un bout à l’autre de la pièce.
La continuité de cette planitude inclinée (shim = tapered wedge) de la cale en coin assurera la solidité du montage tout autant que son efficacité mécanique et acoustique.

Une fois le collage effectué avec une colle à bois vinylique sous presse (deux planches et un gros serre-joint, un vieux Canard pour la macule), on ponce selon l’angle désiré, commandé par l’angle fourni par les deux plaques de dimensions différentes.
Le marquage des trous à percer est aisément fait à l’aide d’une cartouche de stylo à bille récupérée dans un stylo palstique cassé et qui passe facilement dans les trous du corps.
On perce à l’aide d’un pointeau pour avant-trous, doucement pour tâcher de ne pas éclater le contreplaqué, on finit à l’aide d’une pointe abrasive conique (meule à rectifier…) sur un Dremmel, afin d’arriver au 4,5 mm de diamètre des vis bois.
Un essai est indispensable, et un ponçage de réglage fin vient terminer le travail 🙂
L’avantage du contreplaqué, c’est évidemment la visualisation facile des épaisseurs lors du ponçage grâce aux couches. l’inconvénient, c’est le risque d’éclatement comme on le voit du côté fin.

Si les vis ont un jeu ou tournent à vide dans le manche, on découpe de fines cales de bois que l’on placera dans les trous afin que les vis retrouvent leur effet de serrage et pour s’assurer de la solidarité effective des éléments.

Pour ceux qui aiment le travail bien fait et l’ingéniosité requise pour se dépêtrer de situations inextricables en matière de lutherie…
https://www.youtube.com/channel/UCdr6rJVSSx54ByuY5U2ohTQ
Pour vendre le matériel de lutherie que Stewart-MacDonald crée et fabrique, la meilleure solution, c’est de former gratuitement à leur utilisation. Bravo et merci pour toutes ces vidéos 🙂

Excellency for sashimis

samedi, avril 13th, 2019

https://lochduart.com/

Best salmon ever. And like whisky, it’s Scot.


Comme pour chaque mets auquel on doit respect lorsqu’on les fabrique, la création de makis requiert des matières premières de qualité.
Le riz, les feuilles de nori, l’algue kombu (pour la cuisson du riz), le poisson, les légumes, j’en passe car s’il y a plusieurs sorte de poisson, quelques lamelles de gingembre marinées au vinaigre sont indispensables.
Lorsque l’on pratique l’art des sushis, avec le temps, il est nécessaire d’acquérir également des outils de qualité: un rice cooker en métal (ou le pot en terre utilisé dans le foyer central des maisons japonaises!), des couteaux d’excellente facture, un hangiri qui se révèle essentiel pour la préparation du riz.
La cuisson du riz est délicate car la quantité d’eau et la durée de cuisson dépend de l’âge du riz, qui sèche avec le temps.
Si le riz parfumé thaï qui accompagne les plats en sauce n’a besoin que d’être recouvert d’eau, le riz à sushis nécessite le double d’eau ainsi qu’un lavage préalable plus conséquent, en raison de son taux d’amidon. Les pots de rice cookers comportent des marques qui aident le novice. Seules l’expérience et la sensibilité du cuisinier lui permettent toutefois de réussir à chaque fois cette cuisson.
Une fois cuit, le riz est placé dans le hangiri afin d’y être éventé et refroidi, tout en séparant les grains. On y verse une juste quantité de vinaigrette à sushis (vinaigre de riz, sucre, sel, saké, mirin…) préparée ou toute faite. Un linge mouillé conserve le riz ramené sur un côté du hangiri.
De la découpe du poisson et du choix des parties plus ou moins grasses dépend le goût (les parties grasses sont les plus goûteuses).
Je conseille la sauce de soja Yamasa et le wasabi en poudre S&B, la panacée étant toutefois la racine de wasabi, mais elle ne se conserve qu’une semaine non entamée et coûte très cher. Je n’ai pas encore eu la chance d’y goûter alors qu’il y a dans le village tout proche de Poisson un maraîcher qui en cultive (mais comme avec les modèles photos, je n’ai encore jamais pu le rencontrer malgré mes nombreuses tentatives 🙁 ).
Après 20 ans de plaisir à préparer des makis, sushis et sashimis, j’essaye à présent de les réaliser plus vite afin de pouvoir nous permettre de nous délecter sans avoir à passer une demi-journée à travailler 🙂
Tant il est vrai que si la préparation est une méditation, la dégustation est un plaisir.


Pour éviter que le riz colle aux doigts? utiliser des gants latex ou tremper les mains dans un mélange d’eau et de vinaigre de riz (de qualité puisqu’il sera en contact avec le riz).
Sur ce, et vu que je viens de réceptionner mes pâtes japonaises, je dois aller préparer ma canne bouillie dont le bouillon fera une excellente base pour mes somen, agrémentées d’ail frais et de jeune oignons finement ciselés par exemple.

De la vacuité.

vendredi, avril 12th, 2019

La plupart des gens qui ne connaissent d’Internet que l’aspect ‘réseau social’ ont une vue extrêmement étriquée de ce que peuvent être les outils de la connaissance.

C’est le travers de ceux qui ne sont pas curieux.

Des pecnaudes et des pecnos qui, outre le fait d’être stupides, s’en targuent et s’amusent des rares qui ne le sont pas! :O

Ce n’est que très récemment que je me suis aperçu, plus ou moins à mes dépens, de ce que signifie “Internet c’est google facebook”.
J’avais connaissance de ce phénomène, mais je ne le concevais pas entièrement étant donné que j’y étais totalement étranger, et cela, depuis les débuts de ces programmes à ramollir le cerveau que j’ai vu naître, et dont l’absolu majorité croit aujourd’hui que c’est là la panacée (sisi! encore today).
Autant vous dire que ça fait mal 🙂
Bon, ça colle bien avec la crétinerie de l’humanité, ya pas de souci de ce côté-là.

Bah, du moment que j’arrive encore à me préserver, plus ou moins, de l’odeur pestilentielle de ce ramassis peu ragoûtant, ça va.
Continuez d’être bons dans des jobs d’esclaves, de consommer à outrance tout en vous affligeant des malheurs du monde, cela vous emmènera par le plus sûr chemin droit dans le trou final – ainsi que pas mal d’autres qui n’auront rien demandé, d’ailleurs (c’est le syndrome de la cordée… 😉 ).
Tiens, ça me rappelle le titre d’une expo des années 1980 “Du lange au linceul”… On pourrait penser bien plutôt que du trou vaginal dont on sort on revient au trou dans la terre-mère dans lequel on rentre définitivement, n’est-ce pas?

Bien à vous, j’ai tant à faire 🙂

C’est la fête.

mercredi, avril 10th, 2019

A tribute to George Carlin ;)

dimanche, avril 7th, 2019

I hereby quote (photo title) George Carlin using a popular expression I like much when going through some justified anger moment. 🙂
“Shit, piss, fuck, cunt, cocksucker, motherfucker, and tits.” You can add quite some MORE, too! :’D
Damn pricky twats! ^^

Contre l’inculture…

samedi, avril 6th, 2019

… il faut parfois employer les grands moyens.

(artwork by Djet in “Le monde selon Zach”, ed. Grand Angle 2018)

Giant sushis

jeudi, avril 4th, 2019

Dans l’adversité de la bêtise humaine, il faut savoir appétit garder.
J’ai tout récemment trouvé un poissonnier, par ailleurs meilleur ouvrier de France, qui soigne ses produits et qui propose du véritable thon rouge méditerranéen!
Je n’aurai donc plus à faire 11000 kilomètres pour en savourer 🙂
J’ai également craqué pour quelques Gillardeau, et moi qui suis, au fond, anglo-saxon, j’ai compris pourquoi ce sont les préférées des Britanniques pourvus d’un palais.

Si jamais un modèle photo se propose concernant mon annonce, et que je l’accepte, et que ça se passe forcément bien, j’ajouterai en bonus une dégustation de sushis, makis, sashimis, selon mon humeur et le temps disponible 🙂
Je rappelle que mes dates de disponibilités sont du 13 au 19 avril 2019.

Un kapo con

mercredi, avril 3rd, 2019

Je suis tombé sur un bon, sur mon premier haineux (ou connard) de réseau social 🙂
C’est le genre de personne qui a toujours du mal à s’accepter si elle n’a pas un souffre douleur, surtout lorsqu’elle n’a pas fait son caca du matin, je pense.

Décidément je les attire 🙁

Je ne le connais pas, mais il s’amuse à jouer les inquisiteurs, les sheriffs avec les deux neurones qui se battent en duel dans sa petite tête de cinglé.
Encore un con procédurier frustré qui a manqué sa vocation, probablement.
Non que je sois irrespectueux des règles régissant les activités artistiques, mais il y a l’art et la manière de le dire et c’est révélateur, surtout dans ce cas précis, de la personnalité qu’on a en face de soi.
Et le gars se dit “artiste”… Au secours! 🙂

Alors forcément, ça s’est passé dans un groupe fermé. Les idiots pervers aiment la confidentialité que leur procurent les cercles restreints où ils s’épanouissent aux dépens des autres.

Tout récemment, j’ai donc posté une annonce de recherche de modèle pour de la photographie de nu destinée à être exposée et afin de participer au FEPN (festival européen de la photo de nu) à Arles.
Bien mal m’en a pris 🙂
Partout où je l’ai fait, je n’ai eu ni critique, ni aide, ni de quelconque ennuis tel que celui-ci. Il n’y a donc pas que des gros cons sur cette planète, ouf! 🙂

Peut-être maladroite et imparfaite (surtout pour les fascistes qui se préoccupent plus des détails administratifs que de l’action créative, bien sûr), l’annonce propose une compensation financière au modèle qui servira de base au projet artistique.
C’est de là, je pense, qu’est parti un déchaînement de violence et d’agressivité sans pareil, venant de personnes qui, soit ne rémunèrent pas les modèles (travail en collaboration) soit payent les modèles à des tarifs très bas. On devine déjà la considération qu’ont ces personnes pour les modèles…
Mon offre doit être si incroyable que les esprits faibles et jaloux n’ont pu y voir qu’anguille sous roche, à travers le prisme déformant de leurs esprits malades.

Il est vrai qu’il y a beaucoup de cinglés dans le milieu, tant du côté photographes que modèles. La preuve, je viens de tomber sur un taré 🙂

J’ai donc subi un déchaînement de violences et d’agressions écrites sans pareil, au prétexte que je rémunérais au lieu de défrayer, sachant que le montant reste identique et qu’au final, c’est exactement la même chose… mais soit!
A toute chose malheur est bon, je ne propose donc plus qu’un défraiement. C’est bien le seul bénéfice que j’ai pu tirer des tombereaux de bile qu’on m’a infligés.

On m’a accusé d’être un pornographe, un proxénète, d’inciter à la débauche et j’en passe. On m’a accusé de ne pas avoir d’activité déclarée, de ne pas avoir mes papiers (un siret) et d’être un faiseur de photos pour des sites type porn revenge et autres… J’arrête là 🙂

C’est surtout une personne en particulier qui s’est acharnée avec des propos qui rentrent dans le cadre de la diffamation publique tout en me menaçant de diverses délations à tous les services juridiques de l’univers 🙂
Toute contente de pouvoir poster des extraits de mes sites et de mes activités sur les réseaux sociaux (dont je rappelle qu’ils sont publics et pour lesquels j’ai donc une attention toute particulière) dans le but unique d’étayer son propos fallacieux, elle a sorti de leur contexte certaines images et autres textes, arguant toujours d’un manquement à la légalité ou d’une intention mauvaise de ma part.

Je comprends que les métiers artistiques soient difficiles, mais de là à n’avoir rien d’autre à faire que d’emmerder le monde de son cerveau malade pour sauver l’estime qu’on n’a pas de soi-même, c’est rude.
Il y a des personnes toxiques et qui aiment le montrer, en jouant les vertueux chevaliers, toutes fières qu’elles sont d’être un poids pour le monde 🙁

Ceux qui me connaissent un tant soit peu savent très bien que mon propos artistique n’a absolument rien à voir avec les allégations diffamatoires faites par ce genre de psychopathe en mal de reconnaissance et au “talent” douteux.

Il y a des photographes qui n’ont effectivement rien d’ artistes et qui se bornent à appuyer sur le déclencheur pour gagner quatre sous ou justement pour se rincer l’œil, le tout en étant (j’ose espérer) parfaitement en règle avec la gestapo administrative qu’ils vénèrent comme si cela devait combler leurs manques.
Le reste du temps ces piètres faiseurs d’images, pardon, ces remplisseurs de vide, semblent apprécier de dénigrer le travail d’autres personnes qui viendraient, pensent-ils, marcher sur leurs plate-bandes.

Bon, avec ce genre d’énergumène il n’y a absolument rien à faire, une fois que l’on a tenté, même longuement, de prouver sa bonne foi.
Ce genre de personnes est à classer avec les le pen, les morano, les finkelkraut, les estrosi, les houellebec, les bhl, les sarkozy, les macron et autre zemour, dans le même fût de fange qui les contient tous.
Ce sont des personnes qui, bien qu’ayant un certain intellect, l’utilisent à des fins de domination perverse et de subversion malsaine, qui aiment la haine de l’autre et ne peuvent supporter les sentiments positifs que procurent les esprit vifs et aimants.

Ils sont à la fois dépourvus de la plus simple rationalité (hors leurs automatismes de travailleurs médiocres) mais également de l’accès à un niveau symbolique qui pourrait leur permettre d’être sinon bons, au moins de se mettre à distance.
Ils ne pensent pas, ils sont faits d’une énergie de désespoir et de noirceur qui les ronge de l’intérieur sans même qu’ils en soient conscients -c’est là leur problème.

Ils ne savent rien de l’art. Ils croient qu’une activité artistique (un loisir pour eux, finalement, comme le macramé) leur permet d’accéder à ce qu’ils ne comprennent pas.
Mais cela est insuffisant et ils aiment souiller ce qui est beau, la liberté, la vérité, avec des prérogatives administratives dont ils croient qu’elles peuvent leur donner le sentiment de puissance qu’ils n’auront jamais.

Ils en font des tonnes, ça compense le vide et la nullité qui les habite et leur permet de déverser en toute bonne foi leur haine:)

C’est très triste.
Je les ignore donc.

NB: j’ai bien sûr suffisamment de matériel archivé pour prouver la diffamation publique, si l’on devait en arriver là. J’ai légalement trois mois.

Un matin calme

samedi, mars 30th, 2019

Nudité, morale, société et réseaux.

jeudi, mars 28th, 2019

Mapplethorpe censuré par facebook.

Le réseau social de zukerbieber, que j’utilise depuis peu, censure toute nudité. Plus exactement il censure les images d’organes génitaux externes, ainsi que les caractères sexuels secondaires comme les tétons/aréoles des femmes. Il ne censure pas les formes dépourvues de contraste pigmentaire et de système pileux.
Une anecdote connue est celle d’un utilisateur ayant affiché le tableau L’origine du monde de Courbet, représentant le bas d’un corps de femme dont le sexe est au centre et bien visible.

Facebook a depuis changé sa politique et accepte les photographies d’œuvres d’art montrant une nudité ( 14. Adult Nudity and Sexual Activity: (…) We also allow photographs of paintings, sculptures, and other art that depicts nude figures).
Il aurait donc fallu que je prenne une photographie de l’autoportrait de Mapplethorpe pour ne pas être censuré puis banni temporairement 🙂
La photographie d’art n’est donc pas, pour la machine à fric et à flicage de zuker, une œuvre d’art. On a les standards qu’on peut se permettre. Et si, comme j’adore le faire par pure provocation, j’allais du côté ad hominem, je dirais qu’il est jaloux, rien qu’à voir sa face (pour le reste, je ne peux me prononcer) 🙂

Ce qui est fort intéressant, c’est que l’on a une liste non exhaustive mais cependant fournie, de mots décrivant de façon précise et réaliste de ce qu’il est interdit de faire chez le milliardaire voleur. Les mots seraient donc autorisés dans le règlement, mais pas dans l’expression de ses congénères et surtout pas lorsque cette expression se fait de façon picturale.

Mais sinon, prendre publiquement la défense d’un pédophile notoire lui aussi milliardaire tel la star michael jackson (hop! plus de majuscules non plus pour ce cas), ça, c’est possible dans le monde parfait de zuker bieber.

Ouais, 1984.

Alors, il faut nuancer le propos, évidemment.
C’est dans une logique de domination perverse que facebook établit son règlement: l’attrait qui lui a permis de faire fortune en volant les données de la plupart des habitants de la planète sans en dire mot lui permet aussi de se dispenser de trouver des solutions intelligentes aux problèmes rencontrés dans l’expression des êtres humains constituant son sérail.
Le vol des données est inscrit dans son règlement. L’anthropophilie, non. La philanthropie, oui, bien sûr… surtout pour lever des fonds et se donner bonne conscience.
Il vous a donc séduit, vous vous dites que c’est finalement bien pratique, utile… et cela devient indispensable, petit à petit. C’est là qu’est la perversion.
En quoi un réseau de communication devrait obliger ses usagers à utiliser une application qui fabrique elle-même ses règles pour, sous couvert de rendre service, phagocyter littéralement ceux à qui elle prétend rendre ce service de “lien” social?

Ah tiens, update! Il paraîtrait que FB veuille censurer également les suprémacistes blancs.
La plupart des crétins, politiques, éditorialistes, journalistes et autres penseurs du commun ou pseudo intellectuels vont voir cela d’un bon œil: “enfin! que l’on se débarrasse de cette partie de l’humanité qu’on ne saurait voir!” diraient-ils en cœur.
Sauf que, sauf que… d’une, Fb ne respecte pas le premier amendement américain. Ah, ils vont dire que “ouiii, mais bon, FB c’est mondial et donc, pour ce coup-là, ptète ben que la loi des zôtres est mieux que celle de not’ brave contrée!”
Ah.
Mais pas pour le reste hein! En cas de conflit juridique avec zuker bieber, hopla! faut se déplacer en Californie pour voir Monsieur le Président, “votre Honneur” qu’on dit là-bas 🙂 [bon, l’affaire de l’Origine du monde a été traitée en France, une exception qui confirme leurs règles]

On ne peut pas, on n’a jamais pu et on ne pourra jamais, par quelque moyen que ce soit, éviter que l’Humanité penche plutôt du bon côté que du mauvais.
Les deux en sont l’essence même. [tip: c’est l’équilibre insaisissable qu’il faut tâcher de désirer sans jamais l’atteindre]
Ce n’est donc pas à coup de censure, qui au mieux rendra invisibles les mauvais côtés et leur permettra de se faire jour en actions violentes et meurtrières plutôt qu’en mots, que l’on peut espérer rendre le monde meilleur… “Weyland Company, for a better world” comme on le voit dans Alien predator numéro chéplukoi.

Que signifient donc ces tentatives de cacher sous le tapis ceux que les pseudo pensants appellent impies?

C’est ultra simple: la domination, le maintien d’une hiérarchie sociale, économique et politique à caractère religieux qui leur profite, au détriment d’une grande masse qui n’a pas les mêmes capacités de réflexion qu’eux, tout en psalmodiant “le vivre ensemble”. Non que ceux-là soient dépourvus d’intelligence, non!
Mais les cerveaux malades d’une grande partie de l’Humanité créent sans relâche des ersatz d’intelligence que la vie entière des Hommes s’échine à remettre dans un “droit chemin” convenable, afin d’éviter les emmerdes et de, si possible, mourir le plus tard possible tranquilou au crochet de ceux qu’ils auront dominés de toutes les façons toute leur vie durant.
Sisyphe.

On digresse? Déjà, non. Et puis de toute façon, et alors?

Streisand et Macron, deux têtes de gonds

lundi, mars 25th, 2019

Je viens de lire les propos du gérontophile marital à propos de la femme septuagénaire gravement blessée au crâne par la police à Nice.
D’une part, on peut dire que sa gérontophilie s’arrête à ses petits intérêts personnel (sa vieille à lui), étant donné avec quelle suffisance et quel mépris il traite une concitoyenne blessée gravement par le bras armé de sa politique inconsciente.
Je cite le cuistre: “Elle s’est mise en situation d’aller dans un endroit interdit (…) Je lui souhaite un prompt rétablissement, et peut-être une forme de sagesse.”
Petit rien du tout vantard, comme si tu étais sage, toi! Tu te sens plus pisser, hein? Et si on te faisait rentrer la sagesse à coups de plots, qu’en dirais-tu, toi?
Tu rejoins ainsi, médiocre, les propos fous de Streisand qui affirme que les violences psychologiques et sexuelles qu’a infligées Michael Jackson à de nombreux enfants “ne les ont pas tués”.
Je vous dirais bien d’aller au diable, mais vous y êtes déjà, et ça suinte, ça dégouline. Vous êtes des salauds.

A touch of Japan

vendredi, mars 22nd, 2019

For sale 50 grands each 🙂

Hemispheric touch of japan.

Kiss my ass @ OK Corral

dimanche, mars 17th, 2019

This is what you can call a cold revenge.
Some like 20 years ago I’ve been part of a pseudo artist work that ended in a bad manner (not for him of course), thanks to the pseudo artist himself, a bit like the story with Roberta de Clitoris.
Let’s make clear the very end: a 100 box instead of the 10% of the 6K previously promised (which is 600 box) for quite some amount of work with quite some hardware and at any time of day and night.
What reminded me about this story is the picture of some graph play on words tagged in a Cartier shop in Paris last saturday, during the 18th week of ‘yellow jackets’ protest (with some great destruction of riches’ symbols): it says “Pas de Cartier pour les bourgeois” which actually means “no mercy for the bourgeois” in with ‘mercy’ is ‘quartier’ in french which is pronuonced just like the famous luxury trademark ‘Cartier’.
The déchu artist I won’t name him (but you’ll easily find who he is…) was- as an ‘artist’ I mean-so, was at the time, early 2000’s, making me work on my computer to scan and develop photos and make some graphic artwork for him, of course as ‘tests’ (meaning non payed or ‘for the fun’ of it, for the most part of it …).

I’ve been through some pages about the guy’s new work as a gallery manager, after he left his pseudo artwork. I quote him:
“Deux ans plus tard, il raccroche ses ambitions artistiques. “J’ai eu un moment de lucidité, dit-il. Parfois, il est bon de persévérer, et parfois, non.” “( in  )
“À l’origine il y a un changement brusque, existentiel : arrêter d’être artiste, faire les choses autrement, changer de vie. C’est un choix égoïste, pas politique. Je l’ai fait pour moi, pas contre le système. Et ça n’a rien à voir non plus avec le marché dont je ne connais alors rien, et dont je ne me soucie pas. Cela a plus simplement à voir avec une crise de lucidité un peu plus aiguë et longue que d’habitude : je ne suis pas un grand artiste, je ne vais pas le devenir et je vais crever de désespoir et d’amertume si je m’entête une minute de plus dans cette voie.” ( in  )

As an art historian with quite some background, as an artist myself, and as an ex acquaintance, I can say: AT LAST!
But that’s not really my point here. He owes me 500 plus the 100 of interests. I don’t care much about such a money, but now, he will know that the past is NEVER forgotten, however people can live through some high difficulties. Furthermore, I know HE likes much money though… “I mean, we’re across the street from the Carlyle!” ( in  )
What I care about is not being taken for an idiot.
Having passed by a quarter analysis doesn’t make you someone. Knowing you’re bad and making profit out of it using people’s weaknesses is really common.
That’s not a character trait. It’s just going deeper into the ‘sickness’ of humanity.

I wish him good luck in ‘la petitesse’ of his life. It’ll all end like ‘petits fours dans les raouts’: shit.
Plus, you can also give back the money and stop manipulating people with a stupid smile, thanks!

Farewell!

Complice

dimanche, mars 17th, 2019

C’est vrai ça,quoi! La réjouissance n’est que pour lui! [‘ré’ parce qu’il n’en a jamais assez, le cuistre]

Quel plaisir de voir le Fouquet’s attaqué, démoli, saccagé, en feu!
Il aurait bien aimé que ce soit la Rotonde, en fait. Haha. Le jaloux qui trépigne.

C’est égal, c’est inadmissible, cela ne doit plus advenir, il en décide ainsi – l’impuissance est terrible pour qui ne la supporte pas.

Qui sont donc ceux-là qui, vivant d’expédients, osent emmerder sa majesté qui prend quelque menu repos sur les hauteurs enneigées, après avoir vendu sans répit armes et bagages aux banques et aux dictatures? Il se donne tant de mal afin que ruisselle sa majestueuse fiente qu’il prend pour de l’or, et que les gueux devraient prendre pour argent comptant… Alors, contents?

Comme le dit Lordon (et d’autres) nous sommes dans le 1984 d’Orwell, où les mots n’ont plus prise avec la réalité tout en disant leur exact contraire: “la guerre, c’est la paix”, etc.
Pour que tout cela cesse, les causes, comme les conséquences, le psychopathe (et tous ses sbires) doit se retirer, et l’on aura, avec quelque chance, une opportunité de retrouver une marche saine. A tout le moins on aura l’espace de penser sans devoir subir les hérésies stériles des moulins et des venteux (avec un ‘a’ si vous voulez).
Qu’il persiste dans la fatuité de sa folie et un funeste destin ne peut que lui être promis, sans même qu’il soit souhaité pas plus que souhaitable.

Fin du grand débat, début du grand débarras ! Frédéric LORDON Bourse du Travail Paris 14/03/2019:
https://www.youtube.com/watch?v=wjYwlNN0DlI

On vient te chercher chez toi

vendredi, mars 8th, 2019

C’est l’une des chansonnettes poussées gaiement dans les manifestations politiques des gilets jaunes contre toutes les injustices: “emmanuel macron, ô tête de con, on vient te chercher chez toi”. Le bon sens populaire près de chez vous 🙂

Pour peaufiner ma petite analyse présidentielle je voudrais citer un passage du livre “La Manipulation affective dans le couple: Faire face à un pervers narcissique” de Pascal Couderc et Pascale Chapaux-Morelli paru aux éditions Albin Michel.
On y découvre un portrait saisissant et fort ressemblant aux profils psychologiques des hommes de pouvoir -tous les dominants, en fait, en particulier de certains des premiers magistrats français, et qui sied à merveille à l’actuel président français.
Attention, ce genre de lecture n’est pas à conseiller aux consensuels de tous poils 🙂

 

“Le Tout-Puissant

Le Tout-Puissant (son envergure vaut bien des majuscules…), que nous choisissons de peindre sous les traits d’un homme bien que nombre de femmes aient ce type de personnalité, est celui qui pense être le centre du monde et croit pouvoir agir sur ce dernier en monarque suprême. Ne dit-on pas : « Dieu Tout-Puissant » ?

Le Tout-Puissant est resté dans ce que l’on nomme le « Moi idéal », soit le Moi narcissique du petit enfant pour qui le monde, c’est lui-même, et son modèle, également. Les autres ne sont pas pris en compte ; il reste centré sur lui et se nourrit de lui-même, contrairement au pervers narcissique qui cherche l’autre pour s’en nourrir. Le Tout-Puissant n’a que faire de l’autre et ne saurait s’en nourrir : il est déjà plein de lui-même et se considère comme étant riche de toute la substance du monde ! Il a en commun avec le pervers narcissique cette constatation : l’autre ne peut avoir le même statut que lui à ses yeux. Tous deux se considèrent comme supérieurs…

Si le pervers narcissique manipule par l’envahissement, la dépréciation, l’isolement et la destruction, le Tout-Puissant manipule, lui, par la tyrannie. Très exigeant non seulement envers lui-même, mais aussi envers les autres, son entourage, ses collègues, il peut ressembler au pervers narcissique. Toutefois, le Tout-Puissant n’est pas pervers, il n’a pas l’intention ou le besoin de détruire. Il anticipe donc moins par rapport à l’autre : ce qui l’intéresse, c’est dominer. Il est donc aussi plus conscient et plus stratège. La destruction de l’autre est présente malgré tout, mais en tant que conséquence de ses agissements plus que comme objectif. La destruction intervient « de surcroît » car elle est nécessaire pour asseoir la tyrannie.

Toute cette force qui se dégage du Tout-Puissant laisse évidemment penser que justement il est profondément vulnérable sur ce point. C’est un grand impuissant et son comportement exprime une attitude défensive : il domine par peur d’être dominé… On ne critique pas le Roi : il règne, et l’homme Tout-Puissant veut rester intouchable. Il est dans l’angoisse de la perte de son pouvoir (et en cela il se différencie du pervers narcissique, lequel, rempli de néant, est avide d’acquérir de la substance par « objet » interposé).

Le Tout-Puissant manipule donc pour installer son pouvoir et rendre sa tyrannie « opérationnelle ». Il passe ainsi le plus clair de son temps à prouver aux autres que ce qu’il accomplit est mieux fait, que ses idées sont les meilleures. Par essence, il est ambitieux, souvent hyperactif. Il déteste évidemment être pris en faute ou en flagrant délit d’imperfection. Son orgueil, alors blessé au plus haut point, l’amène à réagir par l’attaque : il accuse en retour (éventuellement de tout autre chose) pour détourner l’attention de sa propre culpabilité. Si, par exemple, on lui fait remarquer qu’il laisse traîner ses vêtements, il répond : « J’ai, moi, rangé tes chaussures de tennis pas plus tard qu’hier ! ». Comme personne n’est parfait, il trouve toujours comment « déplacer » le reproche et le faire translater vers l’autre.

« Mon mari est un homme intelligent, et il se met en quatre pour la famille… mais il nous écrase un peu ; je trouve qu’il s’impose trop, confie Ghislaine, 48 ans, employée de bureau. Auparavant, je ne m’en rendais pas compte, mais maintenant ses reproches m’étouffent ; il n’arrête pas de critiquer. D’après lui, ce que font les autres est toujours mal fait. Il est trop perfectionniste. Il a tout le temps de quoi redire. J’ai l’impression d’être constamment prise en défaut, comme coincée contre un mur. Avant, j’essayais de le contenter et de lui faire plaisir. Depuis quelques mois, je ne le supporte plus. Pourtant je l’aime… mais il exa gère. Il dirige tout, fait la loi sur tout. Quand nous partons en vacances, il prépare d’abord une liste de ce que chacun doit faire : moi, mon fils, sa sœur. On dirait qu’il dirige sa petite armée. Après, il fait un “check” de tous les points de sa liste pour vérifier que tout a été fait dans les règles – vous savez, comme les pilotes à bord des avions avec leur check-list. Notre fils, Vincent, est en général chargé de changer les piles des boîtiers d’arrosage automatique, pour le jardin, de préparer les vélos que nous chargerons ensuite derrière la caravane, ainsi que le matériel à emporter pour les éventuelles réparations. Eh bien, je crois que depuis cinq ans qu’il a cette haute responsabilité, il n’a jamais réussi à faire ce que son père lui demandait. Mon mari repasse derrière et pointe du doigt les “erreurs” ou ce qu’il juge comme tel. Les bicyclettes ne sont jamais assez bien nettoyées, les pneus pas assez ou trop gonflés. Les boîtiers d’arrosage sont mal réglés et Vincent oublie – selon mon époux – les trois quarts de ce qu’il faut emmener : trois paires de rustines au lieu de cinq, une huile spéciale, etc. Cette année, Vincent s’est soustrait à ces contraintes. Mon mari l’a traité de fils ingrat, de dégénéré… »

Ce genre d’homme (ou de femme) agit d’égale façon avec son conjoint. Le Tout-Puissant se comporte ainsi avec toutes celles et tous ceux qui l’approchent.

Ce type de personnalité provoque dans l’entourage, soit un réflexe de rejet et de rébellion, soit un état de dépendance et d’assujettissement, selon les circonstances et le caractère des individus. Le Tout-Puissant choisit généralement un conjoint qui l’admirera et saura lui obéir mais, comme il aime flatter son ego et exhiber une compagne de choix, il peut aussi s’attacher à une personne « remarquable », dotée d’une certaine personnalité, auquel cas il s’expose à des obstacles dans l’affirmation de sa tyrannie…”

Auteur: Pascal Couderc.
Source: https://www.pervers-narcissique.com/episode-11-la-manipulation-ordinaire/

 

Il y a ceux-là.

mercredi, mars 6th, 2019

Il y a ceux et celles qui, jamais ennuyés d’une quelconque façon qui dépasserait une démangeaison légère ou une poussière dans l’œil, se targuent de ne pas être des intellectuels.
C’est encore heureux!
Rechignant à la lecture d’un Lordon, expliquant fort bien, avec son biais inimitable, la philosophie -indigeste pour moi- de Spinoza à sa sauce, ils préfèrent se plonger dans les lectures viciées d’un prix à l’accession au monde des millionaires tels les Houelbec à sa mémère, les Piketti à son Duce, prêts même à défendre d’indéfendables idéologues tels que Finkelkraut à sa choucroute, Onfray mieux d’se barrer (à la Vogonstyr) ou encore des bhl aux initiales finalement fort proches de celles de magasins fourre-tout pour consommateurs décérébrés.
Il y a ces gens-là, mais parmi eux, on peut encore affiner les catégories.
Certains sont véritablement des cuistres. En dehors des apparences, ils ne désirent absolument rien. Une pseudo culture rassasiée d’Inrockuptibles banquiers, aux ordres d’une bienséance trash-chic tragique, de magazines en vogue leur faisant dégouliner un soupçon de ce qu’il faut absolument savoir pour remplir le vide de leurs vies et les soirées sociales obligatoires.
D’autres s’épuisent à la conquête d’apparences strictement vidéo-sociales, comme si ce qu’on voyait était l’unique et vrai reflet d’une vérité partagée, enviée, et finalement absolue.
D’autres encore, et ceux-là sont peut-être sauvables, s’accommodent d’un saupoudrage des précédents vices pour masquer quelques questionnements dont ils repoussent l’idée même jusqu’à un hypothétique plus tard. Plus tard.
Pourtant tous ces gens-là ont une chance dont ils ne seront jamais pleinement conscients.
Est-ce, au final, une chance que d’être et de rester aveuglé tels les imbéciles heureux que l’on rencontre parfois -au détour d’un coin de rue, au hasard, pendant une manifestation des gilets jaunes, telle une peste vicelarde- en se persuadant qu’il n’y a pas plus grand bonheur?
Ceux qui profitent éhontément de la masse de ces ignorants savent bien, quelquefois inconsciemment – en témoignent leurs lapsus- que leur salut à eux est dans cette masse informe que revêt la bêtise, si commune à l’humanité. Ceux-là sont les dominants, quels que soient leurs moyens.
Et pourtant!
Et pourtant il existe une sorte de force qui poussent les malchanceux à se dépêtrer de l’ignorance qui caractérise le plus grand nombre.
Cette force c’est la souffrance et la douleur, dans leur infinité de formes et de chemins. Cette force, c’est l’unique chose admirable concernant l’humanité.
Cette force, c’est le majeur tendu sur un poing fermé, seul dépassant de la surface où l’Être se noie.

Tasty humans

mercredi, février 20th, 2019

Not sure any of all those hysterical cretins can understand any humor, specially in my decadent democraturic country.

A need for a first amendment

mardi, février 19th, 2019

https://en.wikipedia.org/wiki/First_Amendment_to_the_United_States_Constitution

There’s a great need of something ressembling the first amendment of the US constitution in a small country that lives in a constant domination of any kind of cretins and keep doing so after sabotaging ANY little step of enlightment through ages.
Maybe something better than the first amendment could be found, but as always, human condition is so well done that it will stay the same for eternity.

Sad tasty humans.

Monster love

mardi, janvier 8th, 2019

Ain’t got no money…
Got my pretty tail 😉

This is the caterpillar of the now famous butterfly appearing in “The silence of the lambs” movie.
Shot on some potatoes plants at home. The damn beast eats quite a lot but I’ve let it do. No harm. Thanks for the pics buddy worm 😉
It is said that the butterfly itself has a cry like one would have read in Edgar Allan Poe short novel “The sphinx” (here in french audio, here in english text).
I wouldn’t believe it if I had not heard myself the cry of the caterpillar…
That’s a audio/video bonus of the cry, when someone -me- shake the branch the damn beast sits on 😀
A weird defensive “tak tak tak” sound.

About the photo title itself, one will look at this below video of Nina Simone song (and of course read carefully the lyrics):

Just like in Poe’s novel, my aim is not the main subject, but what I can tell through some commonly ‘common’ said pictures.
If one jumps freely from an idea to antoher, it’ll get soon to a famous Dali photography.
And will find a bit of its meaning too (and how it was created with women’s bodies).

Then, do not stop.
And let’s stay friends, girlfriends 😉