Deux têtes de vainqueurs qui ne se cachent pas et qui veulent envoyer au chômage les graphistes (3D ou autres) avec l’aide de la (soi-disant) intelligence artificielle, afin que les patrons des boîtes de jeux vidéo s’en mettent encore plus plein les poches sans même bouger une couille.
C’est vraiment sympa l’idiocracy et les jeunes débiles qui la servent (je suis certain qu’ils ont plein d’arguments, mais comme dirait Didier Super dans une de ses chanson: “TA GUEULE”, j’ajouterai avec vulgarité “CONNARDS”)
Qu’est-ce que la jeunesse peut être conne parfois, au lieu d’être consciente de ce qu’elle a entre les mains…
J’espère que ces “génies” vont vite trouver comment créer du fric et de quoi manger “grâce à l’intelligence artificielle”… Si toutefois il reste des humains à qui cela pourrait servir, bien sûr.
On rentre au musée quand on est mort. Certains morts n’y rentrent jamais, et cela en raison du fait qu’ils n’ont jamais été vivants.
Par contre on ne vit que dans le spectacle et quand c’est vide, c’est que l’on dort.
A-t-on besoin d’autres choses, je n’ose dire objets, d’autres libidos que celles des mots?
C’est déjà un fort léger fardeau!
Quand bien même les idiots voudraient nous clouer le bec au pilori, et à moins qu’ils ne nous tuent, les mots vivent.
Et c’est une jolie couleur les mauvives!
Une ivresse dont on se sert avec parcimonie avec ses rugosités, son velours et de très jolis yeux qui ne vont jamais seuls.
On va donc créer une mini pièce de théâtre pour la prochaine scène ouverte de Noétika, je crois que c’est en octobre 2023 (y’a un morceau de toltèque, là-bas; petit, mais y’en a un).
Oh! on aura toujours une guitare à disposition, je crois, au cas où trop de spectacle vivant, trop de mots, viendraient pousser à la création.
Qu’il est bon de délaisser le thanatique pour l’érotique, au moins un temps, un temps révoltant, un temps révolutionnaire…
Mmm?
Tiens, c’est le buzz du matin
Ça gueule de partout, les chiens
Incalculables petits a
Pour qui le dit ne peut être contredit
La conversation n’existe pas pour ces pauvres-là
C’est le bush sous la pluie
Le skunky qui sort du gris
Ils sont verts, ces abattis
Et pourtant déjà fort pourris
Fendieu! que je m’écris
Pendant que toi tu t’escrimes
Sur l’orthographe de mes cris, écrits
Petit! petit!
Petit a tu meurs, tu dépéris
Tu craquelles tes alibis
Colis sali, intempéri (répète bien)
A jamais l’oubli.
Fors la Vie.
Digression digestive…
Quand on aiguise soi-même ses outils de maître, on se fournit au même endroit que l’étoilé Trois Gros, et on fête la mort souhaitée à l’oppresseur.
T-shirt mis en vente à 50 euros, 100 euros pour un t-shirt porté par l’artiste et non lavé, 10 millions pour une livraison à la CIA et consorts, gourmands d’ADN (#parano_coquins!)
Le berger, assis sur la force de ses chiens de troupeau, va bientôt décréter que si l’on a la piqûre, on peut sortir brouter l’herbe verte, mais que si on ne l’a pas, on reste à l’étable, confiné. A tout jamais, car il y a autant de piqûres que de dangers.
On note que l’on ne sera toujours qu’autorisé à brouter l’herbe, à consommer et à travailler jusqu’à ce que ce corps finisse en gigot dans l’assiette d’un berger ou d’un de ses congénères.
Le berger établit les lois pour qu’elles le servent.
Le troupeau a un semblant de conscience et éprouve donc de la peur. Il sait qu’il va mourir, peu importe de quoi. Il sait que les vieux du troupeau meurent statistiquement plus vite et plus nombreux que le reste du troupeau plus jeune.
Mais si l’on insuffle la peur de mourir parmi tous les membres du troupeau, de façon réelle mais manipulée…
Alors on crée une nouvelle échelle de manipulation, une manipulation presque totale, basée sur la peur et sur les chiens de troupeau, afin de servir uniquement les bergers.
“… dans la vallée de la mort, etc.”
L’incestualité est une dictature. Comme toute dictature, comme tout autoritarisme, il se trompe d’objet et les “autorités” s’inversent et se mêlent dans un paradoxe (au sens de Racamier) inextricable. Elles sont partout et pourtant jamais là où il faudrait, alors qu’elles ne sont justement nécessaires que par leur absence; en des lieux et des espaces (multiples par nature) à la fois distincts et confondus.
Le renversement, souhaitable, est compromis par la perversion narcissique. Bien peu entrevoient ces forces majeures.
La peur véritable, en quelque sorte inaliénable, bien peu la connaissent, et c’est heureux. Que ceux-là dirigent tous les autres, c’est là que réside l’imposture magnifiquement tordue, imposée et pervertie, de l’humanité.
Tirage d’artiste. Impression encres pigmentaires (Ultra Chrome Epson) sur papier pur coton Lana (et Arches) contrecollé sur dibond, crochet, écarteurs.
53 x 37 cm. Certificat d’authenticité. Exemplaire 1 sur 3, définitif (aucun autre tirage). 300 € (port et emballage inclus).
Titre: Restes de la paix.
Face à l’absence totale de raison, d’honnêteté morale sinon de scrupules, une seule solution: la déraison.
Face à un “conseil” autocratique et anticonstitutionnel, une seule solution: la sécession.
La méthode: l’insurrection.
Le moyen: l’art, la création.
D’après une idée faussement originale d’Alain Acquebart, produit par Chimou Bénichou (apport de cachets et du cachet, on est en France) et Marie-Jo Gropierre (qui roule…etc), avec l’ascendant des suppôts religieux de toutes obédiences y compris putardes, une chanson punk et misarchique qui crache son venin…
Encore plus loin.
Désobéir c’est la santé!
… face aux crétins qui veulent nous éduquer.
Catharsis abréactionnelle fantasmatique: “égorger manu“. Ça fait du bien.
Crédits d’augmentation des cachets : guitares, chant, production, post-production, écriture, fausse basse, prise de son et de vue, montage, effets, mixage, création, interprétation, publication et tout le saint frusquin: FHP Lornet. 2020 under diktat.
Tirage d’artiste. Impression encres pigmentaires (Ultra Chrome Epson) sur papier pur coton Lana contrecollé sur dibond, crochet, écarteurs.
53 x 37 cm. Certificat d’authenticité. Exemplaire 1 sur 3, définitif (aucun autre tirage). 300 € (port et emballage inclus).
Titre: See through / Velum.
Il arrive un moment où les femmes esseulées qui furent engrossées se retrouvent bien seules.
Un âge où la vie bascule, s’entendent-elles dire; où les idiots gestalteux disent que ce qui compte désormais, c’est la progéniture car plus rien n’est bon dans sa propre vie, qu’il n’y a plus rien à espérer.
Ces femmes-là sont désemparées et pourtant fortes d’une énergie peu commune. Il est certain que les opposés mâles ne s’y retrouveraient pas.
Mais voilà, elles ont quand même loupé certains coches, par joventudismo et par orgueil. Tardivement, les qualités de certains leur apparaissent comme salvatrices et finalement, bonnes.
Mais le temps, mignonnes, a aussi fait son office; puisqu’il faut bien rendre la monnaie, très chère. Monnaie.
Se finissent les histoires d’amour dans les nénuphars, sous le pont courbé des carpes.
Koï, Koï, le rut est loin, maintenant…
Entraînement: Mouvement irréfléchi par lequel quelqu’un est poussé à agir sous l’effet d’une influence irrésistible.
Bon. En l’église, ça adoucit les erreurs. Ya encore du boulot… mais vu le niveau planétaire, on publie quand même.
Longue introduction, passa lenta et caida rapida.
Il est incroyablement terrible de se rendre compte que la population ne sait plus être critique ni sensée dans ses pensées, probablement plus aujourd’hui que jadis.
Mon parcours de vie, mais surtout mon cursus universitaire, par sa longueur et ses expériences, m’ont appris ce qu’est la réalité et ont fait de moi un être critique dans ma vision du monde.
Je sais hélas que bien peu d’êtres humains sont dotés de tels esprits, mais j’en connais quelques-uns et je ne désespère pas d’en trouver quelques autres avant de mourir. J’espère le pouvoir alors qu’une dictature mondiale est en train de se mettre en place en cette année 2020.
Alors, évidemment, à l’arrache, deux balances des blancs automatiques différentes, forcément.
Un p’tit effet atténué “polaroïd”.
OSEF, pour le moment tout va encore presque bien.
Par contre, je retire ma proposition de sushis pour les modèles 🙂 (pour ceux qui suivent).