Chier sur la tombe de macron et de sa pédocriminelle d’épouse, la salaude bourgeoise.
Chier sur la tombe de macron et de sa pédocriminelle d’épouse, la salaude bourgeoise.
Tant qu’on n’y est pas confronté soi-même, on ne s’y intéresse pas. C’est le cas d’au moins 70% de la population. Parmi les 30% restants, il y en a encore probablement les deux tiers qui sont par sauvegarde dans l’inconscience et le déni, pour ne pas devenir véritablement fous.
Il y a toute une gradation dans la symptomatique et les ressentis, dans les histoires qui les provoquent.
Les livres de psychanalystes en sont remplis, tout comme certains sites de traumatologie et de psychologie.
En ce moment, la majorité des populations mondiales sont plongées sciemment dans la peur par les dominants, dont le rôle est pourtant (mais qui le croit encore?) de les protéger, de mutualiser les ressources et les défenses pour assurer un bien-être (ça s’appelle la santé) pérenne dans la société.
Le prétexte est au moins à deux niveaux: d’abord une épidémie de type grippale fort peu mortelle qui ne s’attaque pas aux jeunes ni aux bien-portants, ensuite la conscience que les populations, en grande majorité maintenues dans la pauvreté qui permet de les asservir, sont prêtes à s’insurger. Le mouvement des gilets jaunes, les révoltes à Hong-Kong et en Amérique du Sud, autant que les révolutions dites arabes en Afrique du Nord, sont les principales images de l’insurrection mondiale des populations face à la domination de quelques ultra-riches qui détiennent de façon absolutiste tous les pouvoirs sur terre.
Bref, un délire des dominants, apeurés par la révolte sourdante des populations à leur égard, justifiée par leur extrême richesse face à leur extrême pauvreté, est mis en place dès 2019. La réalité est une surveillance généralisée des populations par les formes les plus avancées technologiquement (reconnaissance faciale et comportementale algorithmiques), des confinements et des couvre-feu sans aucune efficacité sinon de maintenir dans la peur, de réduire les défenses immunitaires naturelles, et pousser à la violence ou au suicide.
Car hélas, toutes les populations, quel que soit l’âge, sont concernées: en France les petits enfants doivent porter un masque facial parfaitement inutile toute la journée. On est dans une pédagogie noire (voir Alice Miller “C’est pour ton bien”) décuplée, car comme le dit Marie-Estelle Dupont: ce n’est plus en prétextant un “c’est pour ton bien” -qu’on te frappe, qu’on te torture, au moins psychiquement- aux enfants, mais en leur infligeant un “c’est pour notre bien” -qu’on te musèle et qu’on t’oblige à être un docile esclave de la pensée des idiots (qui s’appellent pourtant eux-mêmes les “élites”).
Mon seul narcissisme s’est exprimé dans mes auto-portraits de nu. C’est quand même dommage. Mais bien plus que simplement “dommage”, c’est pathologiquement triste.
Chacun a une famille, une maison, des enfants, un travail rémunérateur, absolument TOUS les gens dont j’ai connaissance ont cela pour eux -et cela ne signifie pas qu’ils sont heureux.
Ben pas moi. C’est là que réside la très grande différence qui nous sépare: eux n’ont pas, outre quelques menues névroses et autres pathologies mises sous le tapis au moyen de la chimie, de trauma aussi néfaste que le mien et aussi invisible. Peut-être en ont-ils, mais ils semblent s’en accommoder.
On ne peut pas deviner, à moins d’être vraiment fou.
Vous, ils, ne sont pas, n’êtes pas le produit modifié d’un être venu au monde.
Hélas, moi, je le suis, issu d’une lignée abîmée, d’un géniteur à la très grande perversion narcissique, manipulateur d’une génitrice qui a préféré se laisser aller à l’abandonnisme peut-être déjà latent. Le tableau est sévère.
Un tableau qui crée sinon la folie, un mal-être d’une grande puissance ou un oubli de soi-même.
Pas d’enfants, pas de famille, pas d’argent, pas de rôle social… alors que très talentueux, bien sûr. Mais voilà, il faut satisfaire l’appétit inouï d’une apparence de perfection, de normalité, façade en carton pâte d’une famille absolument dysfonctionnelle (pour être un peu positif) mais que j’appelle, moi, en faillite.
Et la faillite, c’est l’abîme, c’est la fin, totale.
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Alors, quand un petit enfant gâté d’argent devient le décideur de la population dont je suis, non, je ne peux le tolérer, je ne peux que souhaiter sa mort, la sienne et celle de sa salope de brigitte, oui. Quelle merde puante s’assoit là, sur un trône chiotteux pour y déverser ses excréments, devant des lécheurs coprophages qui s’esbaudissent d’une “si belle” histoire d’amour entre une femme vieille et manipulatrice, excitée par la chair fraîche d’un puceau déjà pourri, et un jeune idiot au visage mongoloïde.
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Il y a quelque chose de pourri dans cette démocratie.
Je n’en veux pas à “tous”, comme certains, j’en veux à ceux qui fabriquent cet état, qui en jouissent sans jamais en pâtir et qui sont bien peu nombreux.
Mais voilà, la masse populassière est comme hypnotisée, inconsciente, inerte et crédule face à ce qu’elle croit, par désir profond de sécurité, être ce qu’elle nomme “la marche des choses, du monde”.
Tristesse infinie, mélancolie ennemie.
On me disait, banalité de limités, que je me prenais pour le savant regardant les fourmis, parce que je tentais (ô désespoir) de prendre de la distance à propos de conflits armés de par le monde. C’était le sujet.
A y réfléchir, vraiment, le format de la discussion des plateformes privées ne laisse aucune marge; c’est une dictature des uns contre les autres.
Que vaut l’attraction vers le brandissement d’un panneau ou d’un morceau de tissu quand on peut essayer grâce à ses capacités intellectuelles d’envisager la résolution de ce qui se passe ici et maintenant surtout, mais aussi ailleurs?
Faut-il se prendre pour un émissaire, un dirigeant mondial politique, au lieu de savoir et de connaître ce que l’on vit réellement, ici et maintenant?
Pour autant, il n’est pas nécessaire d’oublier ce qui se trame de par le monde, mais jamais comme cause imminente du mal-être vécu; jamais.
Ce serait croire aux ombres de la fameuse caverne, quand bien même elles seraient numériques, en couleurs, avec audio et vidéo d’une qualité qui ne permettrait pas qu’on les différencient de la réalité perçue. Et voilà qu’on peut également se questionner sur ce qu’est la perception, qu’elle soit celle des individus ou d’une société. Le cartésianisme est un carcan.
Ce qui me pousse à désirer la guillotine pour tous les gouvernants, dirigeants et dominants.
On pourrait dire un juste retour naturel du mal infligé aux populations mondiales, car en effet, le sentiment est probablement mondial.
Le capitalisme associé à l’hubris de l’humanité, mais qui ne précipite que pour une infime partie de celle-ci, mène au désastre que l’on connaît.
L’apparition d’un virus covida est le catalyseur de cette chimie.
Les éléments, les ingrédients étaient prêts, ils se sont précipités et ont précipité dans une alchimie diabolique. Comme tous ceux qui ont conscience et dénoncent les perversions humaines, à l’échelle mondiale, planétaire, chacun peut se rendre compte que l’argent et la domination totale qu’il permet, en est le principal détonateur.
Si l’on revient sur la situation de la France, un pays extrêmement riche, dont certains citoyens sont parmi les plus fortunés milliardaires du globe, possédant l’arme totale, nucléaire, une terre fertile et permettant facilement l’autarcie, il est frappant de s’apercevoir que les politiques mises en place par les voraces de l’argent ne lui permettent pas de soigner une petite poussée de patients dans ses hôpitaux, en raison d’un système de santé défaillant.
Cette défaillance est due à la doctrine capitaliste dont le seul but est de faire peser sur la masse des faibles le faux bonheur de quelques ultra riches.
Entre 2020 et 2021, seules les vies de la population la moins fortunée sont passées de vie à trépas. Une année complète à n’être plus rien. Le désastre économique, social et psychologique et médical viendra par la suite.
Mais on ne rattrape pas une année de vie. Ces vies brisées, anéanties, sont le seul fait des dominants et des gouvernants.
Personne n’a voulu priver les autres, et surtout les enfants, des visages et des émotions. Personne n’a voulu s’enfermer pour des prétextes fallacieux, en lieu et place d’une raisonnable et rationnelle gestion d’une maladie somme toute très peu mortelle en regard de toutes les autres.
Et surtout, seuls les dominants et les gouvernants, par bêtise et fatuité, ont refusé les soins à ceux qui en avaient besoin: retrait de médicaments peu chers et les seuls efficaces pour tenter de soigner, dispositions amenant à l’affaiblissement des défenses immunitaires naturelles du corps et des esprits, distribution, dans une logique capitaliste, de l’argent nécessaire à la société (systèmes sociaux et médicaux) aux industries non indispensables (aviation).
Une gestion de la population telle un troupeau de l’ère biblique, avec des méthodes de tortionnaires, le confinement, et probablement l’extermination désirée.
Cela, c’est le président macron qui en est le seul responsable, pour la France, décidant seul avec les pleins pouvoirs d’un dictateur immature, s’appuyant sur un conseil nommé par lui, dirigeant par décrets autoritaires et sous état d’urgence, avec une cour d’idiots utiles et autoritaires autrement appelés ministres ou majorité parlementaire, et soutenu par ces mêmes milliardaires qui l’ont hissé au pouvoir dans un décor de carton-pâte.
On ne reviendra pas sur le temps perdu, il est passé, et la colère d’aujourd’hui ne sera que fortifiée par les suites sociales catastrophiques des années suivantes.
La vie, par son inarrêtable cheminement, possède intrinsèquement une résilience que l’on pourrait appelée automatique. A quel prix?
L’Humanité, son essence, sa nature, se laissera-t-elle posséder et détruire plutôt que de faire table rase des parasites qui prétendent la gouverner et la conduire à sa perte à leur profit?
L’assassinat des dominants serait un trauma terrible pour bien des âmes, mais faut-il renoncer à l’Humanité pour n’en sauver que quelques cuistres?
Guillotine.
Préface de benjamin griveaux sous la direction de matzneff et alia, dont la bite est bien connue des enculés… pardon, dont la plume est bien connue des amateurs.
Hélas, Lolita n’est, quant à elle, jamais devenue ni maîtresse ni “Junon” autoproclamée de dizaines de millions de personnes… qui n’en ont par ailleurs rien à foutre, si l’on ose dire.
Ni conscient, ni volontaire, l’acharnement sur les plus faibles. Dans la très grande folie de la période du virus covida, on pense que les faits divers sont à l’ordinaire, le piment d’une vie si monotone. On ne sait pas encore que c’est là symptôme du désarroi total plus que du quotidien.
Les faibles, les éclopés psychiques aux multiples syndromes, les pauvres, mais en fait toute cette société qualifiée de 99% est laissée comme bétail.
Ainsi l’on traite cette population dont on ne veut plus qu’elle soit un peuple, si revendicatif, si plein de cette vie que les dominants, les 1%, envient parce qu’ils n’ont que les milliards et la fausse jouissance.
Ainsi, des millions et des milliards d’êtres souffrent, peut-être dans l’espoir d’une résilience à tout prix, mais qui n’arrivera pas.
Les bourreaux stupides s’affairent déjà à la construction d’une sorte d’empire de la sécurité et d’une domination totale et sans merci.
Il n’y a hélas pas de complot sinon pour les puissants de conserver et d’élargir leur toute-puissance illusoire.
Mais il y a une façon de tordre la réalité pour justifier les moyens d’une fin la plus triste possible.
Il n’y aura plus d’égalité, l’équité n’ayant jamais existé, plus de revendicatifs gilets jaunes, plus que des robots volants pour asservir le troupeau malmené.
On reviendra, bien qu’on ne l’ait jamais quitté, à la doctrine de la flagellation sur les tout-petits, c’est plus simple que de s’apercevoir que c’est là la cause principale de la violence et de la répétition des drames de l’humanité.
D’un virus l’autre, une majorité de la peur ne veut voir qu’un mauvais moment; un moment qu’on oubliera bien vite.
Mais on n’oublie rien, jamais. Ce sera dans les corps que le souvenir s’inscrira et ceux qui ont eu la chance d’être choyés connaîtront la douleur et la souffrance dont ils pensaient pouvoir s’affranchir.
Terrible avenir d’un non-futur.
… MORT.
Attentats à la représentation en uniforme de ceux qui protègent les puissants de l’humanité, de ceux qui humilient et écrasent tous les Autres, et dont chaque élément devient symbole d’un système honni.
Dommage.
Une grande et industrieuse guillotine de plus de dix mètres de long, capable de trancher en une fraction de seconde dix rachis cervicaux et d’ôter la vie à autant d’êtres affligeants.
La peine de mort par décapitation réservée aux chefs (latin, capita, etc).
L’unique issue d’une réformée cour de justice de la république, applicable uniquement aux élus et aux dominants.
Est-ce que chez ceux-là la peur du châtiment obligerait, ne serait-ce qu’un peu?
Les éliminer tel un cancer que l’on pourrait *vraiment* éradiquer, se permettre de se soucier de l’essentiel, après s’être débarrassé de ce superflu confinant au vide.
Mais au lieu de cela, les lois dictatoriales sécurité et séparatisme ont préparé le lit du fascisme; le jeune manu et sa salaude de brigitte, et toute la lignée… Comment se fait-il que l’humanité aspire à la domination et au pire?
Le berger, assis sur la force de ses chiens de troupeau, va bientôt décréter que si l’on a la piqûre, on peut sortir brouter l’herbe verte, mais que si on ne l’a pas, on reste à l’étable, confiné. A tout jamais, car il y a autant de piqûres que de dangers.
On note que l’on ne sera toujours qu’autorisé à brouter l’herbe, à consommer et à travailler jusqu’à ce que ce corps finisse en gigot dans l’assiette d’un berger ou d’un de ses congénères.
Le berger établit les lois pour qu’elles le servent.
Le troupeau a un semblant de conscience et éprouve donc de la peur. Il sait qu’il va mourir, peu importe de quoi. Il sait que les vieux du troupeau meurent statistiquement plus vite et plus nombreux que le reste du troupeau plus jeune.
Mais si l’on insuffle la peur de mourir parmi tous les membres du troupeau, de façon réelle mais manipulée…
Alors on crée une nouvelle échelle de manipulation, une manipulation presque totale, basée sur la peur et sur les chiens de troupeau, afin de servir uniquement les bergers.
“… dans la vallée de la mort, etc.”
À George O.
Pour se rendre compte d’une progression, il faut partir déjà (bas), avec des paroles pas forcément justes, une voix hivernante et les accords qu’on peut 🙂
French or english.
Demain c’est le printemps… et plus personne ne le verra, pendant longtemps.
Après le confinement, quand ça ne marche pas, il y a l’extermination…
Curieusement, il sera plus aisé d’exterminer les quelques-uns, rupins et putards, que l’entièreté de la population.
Ce sera bien. Ce sera au couteau, manuel… @miky 😉
You don’t need that much CASH to get out of a certain prison you’re in for more than 50 years…
Make the step.
… and enjoy!
manu rotchild (“fils de pourriture”, signification symbolico-phonétique) macron est le président pervers, bien plus que le psychopathe donald trump.
C’est un enfant psycho-sexuellement traumatisé qui se prend pour un dieu. Rien que de normal en psychopathologie.
Mais il détient le pouvoir grâce à l’entregent (l’entre-jambe?) de sa marâtre.
Ce n’est qu’en cela qu’il existe bel et bien une “exception cultureuse” française… si dramatique.
En me baladant dans les banlieues sombres et insalubres (of course), je suis tombé sur l’expression de la colère terrible qui sourd dans nos contrées.
J’en ai fait de mémoire une reproduction assez fidèle, bien que j’aie ôté les résidus de déjections projetées contre les photos qui l’accompagnaient.
Les conséquences des restrictions totales des libertés des citoyens d’aller et venir et de rencontrer qui ils veulent n’apparaissent encore que très peu au jour en cette fin de février 2021.
Cependant…