D’œil (épisode 2)

Macron se demande comment il va bien pouvoir faire sans ces grandes lèvres format raisin dans lesquelles il enfonçait son visage jusqu’aux joues…
Pas d’enfants. Y aurait bien la fille, c’est pas comme s’il ne connaissait pas le chemin.
Fini.

Il s’est échappé dans un salon en interdisant quiconque de venir le déranger. Pas le moment quand la folie revient au galop.

Mais il s’est engagé auprès des rupins que servaient sa femme. Il va falloir y aller de nouveau. Pas le choix.

Les cabinets se sont chargés d’organiser des funérailles nationales, bien sûr sur le dos des GC*. Les ministères ont pris sur eux de charger les ultras de tous poils, jusqu’au vatican, daesh même. Israël n’a pas encore fait savoir son avis.
Il va falloir faire le tri.

Pour le moment, la presse des chiens et des milliardaires ne moufte pas; on se contente des larmoiements habituels et d’une grandiloquence de posture. Aucun ordre venu d’en haut, faire profil bas.
Même la date des funérailles n’est pas communiquée. Inhabituel.

Sur les lieux du crime, aucune caméra n’a rien enregistré.

Drussac se charge de l’enquête, mais il sent bien que rien ne va se passer comme il le faudrait. Plus de fric, des recrues à l’ouest, du matos usé jusqu’à la corde, des bagnoles plus vieilles que les recrues, elles-mêmes plus très fraîches.
Prendre sur soi. C’est ce qu’il se dit. Ça peut être le début d’une carrière.

Sur place, effarement général.
Peu de vidéos (géo)locales, rien sur les réseaux sociaux à part quelques-uns qui se marrent, tout est resté sous les radars.
Des capos se demandent si le manque de moyens criant ne serait pas à l’origine d’un tel défaut d’informations. Ils blaguent sur les collègues qui se retrouvent avec un cancer des couilles à cause des imsi-catchers…

* gentils contribuables ou gueux couillons.

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