Toutes des putes sur tous les réseaux, toutes des putains, mâles ou femelles aux petits pouvoirs de kapos nazis.
De toutes obédiences et de toutes origines, tous des blaireaux wannabe-on-ne-sait-pas-quoi_mais-ils-en-veulent-les-crétins.
Toutes des putes sur tous les réseaux, toutes des putains, mâles ou femelles aux petits pouvoirs de kapos nazis.
De toutes obédiences et de toutes origines, tous des blaireaux wannabe-on-ne-sait-pas-quoi_mais-ils-en-veulent-les-crétins.
Je lis dans la presse banquière (groupe ebra crédit mutuel): “Giorgia Meloni, fondatrice et présidente du parti post-fasciste Fratelli d’Italia, a porté plainte contre Brian Molko, leader du groupe de rock alternatif, qui l’avait insultée et qualifiée de « fasciste, raciste », lors d’un concert le 11 juillet au festival « Sonic Park » de Stupinigi, près de Turin.”
Cela me rappelle l’exact même remarque, suivie d’un bannissement de la susdite plateforme (pseudo) sociale soi-disant indépendante (LOL), d’un co-fondateur crétin des méninges, qui considérait le mot “fasciste” comme une insulte… sacrés petits communautaires.
Toute ressemblance avec… etc, serait purement fortuite.
Les connards (de con, organe sexuel femelle ou vagin) fascistes sont partout.
Quelle tristesse que ce manque de raison qui parcourt l’absoluté de l’humanité.
Petit con (tu te reconnais, je le sais), je t’emmerde à vie, tu es déjà trop vieux et trop plein de certitudes pour changer.
Après twitter, face de pouk, maintenant voici mastodon/mamot (serveur de la quadrature du net; à part Zimmerman, qui a le même nom que Bob Dylan et toute sa tête, je suppose, les autres sont des communautaristes pervers qui profitent, comme la Rome papale du XVe siècle leur a commandé: vous ne ferez que de l’usure, dans votre ghetto… les idiots qui y croient encore 🙁 ) me suspend.
Et bien, vous allez donc tous, selon vos conditions générales d’utilisation, conserver mes données (pour faire augmenter un peu la température, haha, les “écolos” ^^ ) car je ne vais rien intenter. J’attends vos plaintes judiciaires contre ma liberté d’expression.
En fait, la coupure de ces machins pseudo-communicatifs néo-libéraux-capitalistes est d’une totale jouissance.
J’aurai mis bien du temps à m’en apercevoir.
A moi l’action créatrice sans limite.
A moi les écrits créatifs et imaginaires concernant ce que je ne pense ni ne fait, comme par exemple les “exterminations de déviants”, dans un futur si lointain que Star Wars est une futile rigolade 😉
Gandhi disait “œil pour œil rendra l’humanité aveugle”, dit-on.
Mais bastonner des condés à mort, avant de les exécuter, ou mieux de les laisser diminués (ce qu’ils sont déjà, zut) à vie, lorsque la violence qu’ils exercent sur les citoyens se fait insupportable, semble être une alternative plausible. Dans tous les cas, ça fait du bien de l’écrire, dans un contexte de folie perverse locale tout autant que mondiale.
Puisqu’ils nous font ce qu’on ne ferait pas à d’autres, comme disait le brave djizuss, pourquoi ne pas essayer?
Vaine tentative de rétablir un équilibre sain, à défaut d’une justice pesée. Quelle tristesse que d’avoir de telles pensées.
Quand il fait trop chaud parce que trop solaire nucléaire et mortel, la lumière qui m’habite souffre de cette concurrence.
Les normies n’en ressentent rien, leur prolifération doit cesser. Ils ne peuvent d’aucune façon comprendre ce qui se joue là.
L’expansion de la perversion doit connaître son moment d’arrêt.
Vous dégustez avec grand appétit, déjà, la merde verbale des pervers politiciens, tels que le nains hongrois à talonnettes, le minuscule et vilain petit juif vociférant son remplacement, la progéniture d’un tortionnaire, grosse et blondasse à l’horrible faciès de porc breton industriel saturé de chimie pharmaceutique…
Et vous adulez un fou pervers dont le seul fait est d’avoir manipulé une incestuelle pédocriminelle impunie.
Tout cela dégouline, pue, et propage les maladies excrémentielles.
Et vous dites, tous: “c’est comme ça”, d’un air satisfait et supérieur.
La politique est la gestion de la société et des individus qui la compose, les citoyens (habitants de la cité). Le mot politique provient du grec ‘polis’ (la cité) et concerne donc tous les humains; même si bien peu s’en soucient, la politique, elle, fait son affaire de tous, ne serait-ce que par l’imposition et les taxes, mais évidemment dans tous les domaines qui régissent la vie sociale.
Pour ma part, l’expérience douloureuse et meurtrielle d’une enfance massacrée par une parentèle psychopathique me fait ressentir ce qu’est la réalité de la psychopathie perverse narcissique (cf. Racamier). L’arrivée au pouvoir en France d’un tel personnage, accouplé incestuellement avec une femme de l’âge de sa mère à l’âge de 14 ans, est un retour du refoulé sans commune mesure avec les petits traumas dont souffrent tous les humains.
Ayant vécu l’incestuel maternelle et la perversion paternelle (la complice du pervers est également sa victime), la résurgence de ce mode opératoire dans la vie politique de tout un pays semble être la persévérance du Mal.
Subir depuis sa naissance la perversion psychique et matérielle, jusqu’à sa majorité est pour moi bien plus grave que quelques années en camps de concentration, qu’un viol ou une torture ponctuelle, sans toutefois ignorer la gravité de ces faits, qui sont eux pénalement répréhensibles.
La perversion morale (narcissique donc) est d’une toute autre nature car elle prend l’apparence de la normalité et brouille, surtout chez les enfants mais également dans tout l’entourage, la perception que l’on peut en avoir. Le déni est provoqué par la perversion qui injecte le poison ainsi qu’un faux antidote chez les personnes qui la côtoient.
Tant que les pervers moraux trouvent des victimes complaisantes (n’oublions jamais que les victimes adultes ont, soit, une faille narcissique, mais qu’elles sont complices du pervers même malgré elles), leur vide intérieur n’apparaît pas, ils ne tombent pas en dépression et ne se suicident pas.
Le suicide étant la solution à un débordement de souffrances (psychiques et/ou physiques) impossibles à supporter, il peut être conscient comme on le voit dans l’euthanasie (la bonne mort, étymologiquement) ou inconscient et marqué par des comportements dits à risques mortels: toxicomanie, sports extrêmes, etc.
J’en ai fait l’expérience inconsciente en ingérant 7 à 9 comprimés d’un puissant benzodiazépine fortement dosé qu’un patient psychotique m’avait refilé, à l’âge de la majorité environ. Heureusement et malgré la surdose provoquant une insuffisance cardiaque possiblement mortelle, je me suis réveillé après deux jours de coma, passé inaperçus au sein de la maison familiale. C’est dire si l’attention donnée aux enfants était existante…
Les traumatismes sexuels, infantiles, répétés de façon constante pendant des dizaines d’années, sont les plus graves et marquent bien sûr l’existence réelle des syndromes post-traumatiques graves qui induisent des incapacités sociales et interpersonnelles connues des seuls spécialistes, hélas (et de ceux qui en souffrent, qui les vivent).
Ma comparaison personnelle va au délire de la famille fritzl en Autriche, dont les membres survivants se trouvent (et se trouveront toujours, hélas) en institution, tellement le traumatisme est grand dans l’inceste réel et procréatif et la manipulation perverse du père, nazi confirmé si l’on peut dire, et la complicité inconsciente de la mère.
Donc, oui, les pervers doivent être ostracisés afin de tâcher d’équilibrer la société qui souffre tant de leurs actions malfaisantes. S’ils en viennent à la dépression, comme le suggère Racamier à propos des fous pervers (macron en est un cas d’école), puis au suicide, c’est parce qu’ils se refusent à toute remise en question et à tout travail thérapeutique.
Bon, heureusement qu’il y a les livres et chez soi (comme ici 😉 tant que la “justice” des gouverneux ne m’aura pas emmerdé, mais bon, c’est public, je les attends).
Pour rappel, côté sombre des livres, il y a matzneff, pédocriminel comme brigitte trogneux, toujours en liberté, duhamel aussi qui s’est fait sucé le pénis par son beau-fils de 14 ans, toujours en liberté grâce à la prescription… et combien d’autres salaudes et salopards qui mériteraient de rester enfermés jusqu’à la fin de leurs “jours”, ces sombres merdes.
Je maintiens que le taré fou pervers (définition par Racamier ici) va devoir se suicider et que ça fera du bien à une énorme majorité de lucides. Quand bien même cela fait partie de ce qu’on ose appeler “humanité”.
Et donc, je me barre du truc de robots (le délire censureur robotique est arrivé instantanément) dès que j’ai accès à ce compte.
Comme disait quelqu’un en parlant du Net: “ils ont cassé notre jouet”. Tu m’étonneras, Sarah.