Go! go! faster! pussycat đ ( Faster, Pussycat! Kill! Kill! (1965) )
Behind one kind of a great photography is often a woman:
https://www.marisapapen.com/stories
Great work from all part. One could say what some call ‘god’ exists! ^^ And that’s NOT because of the pictures, damn religious ones!
Je fais dĂ©libĂ©rĂ©ment l’Ă©loge de ce modĂšle fĂ©minin (je m’en fais l’apĂŽtre bien volontiers ^^) spĂ©cialisĂ© dans le nu photographique car une de ses photos crĂ©e actuellement le scandale auprĂšs des idiots de tous poils đ
Or, cette photo ci-dessous ne mĂ©rite qu’un seul titre, sachant qu’elle a Ă©tĂ© prise au cĆur de la plus grande cause de guerre et de conflits au monde: un soi-disant “centre” religieux.
Le titre? faites l’amour, pas la guerre / make love, not war.
La meilleure chose qui peut arriver Ă l’homme, c’est la femme, et toutes les tentatives d’organisation ou de lĂ©gifĂ©ration ne sont au final qu’un essai stupide de domination sous couvert de bienveillance. Mais tant il est vrai que seuls certains esprits plus ouverts ou plus capables que d’autres sont Ă mĂȘme de comprendre un tel discours…
Dans l’hiver froid et triste de l’an 2017-2018, une artiste (que j’aime appeler Roberta de Clitoris, n’y voyez aucune malice đ ) m’avait demandĂ© par personne interposĂ©e d’incruster des sous-titres sur une vidĂ©o revendicative (peut-ĂȘtre mĂȘme vindicative et vengeresse đ qui sait?). Mon incrustation de sous-titres façon cinĂ©ma 1, c’est Ă dire sur la partie vidĂ©o et pas sur les bandes noires, n’avait pas Ă©tĂ© acceptĂ©e bien que, une fois intĂ©grĂ©e Ă un player, le positionnement des sous-titres permettait de continuer Ă les lire, mĂȘme en ayant prĂ©sente Ă l’Ă©cran l’interface de lecture du player vidĂ©o ( voir sur vimĂ©o que si l’on essaye de faire une avance rapide ou de changer le niveau du volume sonore, on perd la visibilitĂ© des sous-titres…).
On regardera donc cette vidĂ©o sur vimeo et l’on saluera le geste artistique de Deborah de Robertis et la citation de GeneviĂšre Fraisse en toute fin du clip : “c’est l’illisibilitĂ© de la domination qui compte dans la domination”.
Pour ma part, et en tant qu’historien d’art et critique naissant, sans complaisance ni subventions, et encore moins pourvu d’un banquier Ă©diteur de pseudo magazine populo-culturel (tel les inrocks), je pense que la premiĂšre qualitĂ© de ce travail est la dĂ©nonciation de la domination, QUELLE QU’ELLE SOIT.
Partir de celle qu’a le mĂąle sur la femelle est un bon dĂ©but, mais on peut objecter que c’est dĂ©jĂ accepter la domination que de la rĂ©duire Ă telle ou telle type, genre, communautĂ©, secte ou groupe. Bref, une sacrĂ©e histoire de l’humanitĂ©.